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samedi 2 octobre 2010

126 éoliennes coiffent Tanger : le Maroc s’engage dans l’électricité verte

RFI
Inauguration du parc éolien Dahr Saadane par le roi Mohammed VI, le 28 juin 2010.
Inauguration du parc éolien Dahr Saadane par le roi Mohammed VI, le 28 juin 2010.
AFP/ Abdelhak Senna
Par RFI

Le Maroc s’engage dans un vaste programme de production d'électricité « verte » visant à réduire sa dépendance aux importations d'énergie mais aussi à en exporter une partie vers l'Europe. Quelque 126 éoliennes surplombent la ville de Tanger sur près de 40 kilomètres pour constituer, selon la responsable du projet, Loubna Farabi, le « plus grand parc éolien d'Afrique ».

Edifié sur les crêtes du site de Dhar Saadane, le parc d'une capacité à terme de 140 mégawatts (MW) a été inauguré en juin dernier par le roi Mohammed VI; Il constitue l'une des premières réalisations qui concrétise le plan marocain de développement des capacités de production d'énergie renouvelable.

Une « opportunité en termes économiques » pour le Maroc

En privilégiant une diversification de ses sources d'énergie, le Maroc entend également « assurer sa sécurité énergétique », a rappelé ce 29 septembre 2010 la ministre de l'Energie et des Mines, Amina Benkhadra, dans un contexte de hausse continue de sa demande énergétique intérieure (+6,5% en moyenne chaque année).
Les lourds investissements nécessaires pour produire cette énergie verte, très coûteuse et à la technologie encore nouvelle, deviennent en effet peu à peu envisageables sur la rive sud de la Méditerranée en raison de l'intérêt de plus en plus affirmé des industriels et gouvernements européens.

L'Eolien ...

Le parc éolien de Dhar Saadane n'est que le premier chantier dans la conversion énergétique du royaume, qui veut atteindre une capacité de production éolienne de 2.000 MW en 2020, pour 280 MW installés aujourd'hui, pour un investissement de l'ordre
de 2,2 milliards d'euros.

L'énergie Solaire ...

Le Maroc bénéficie d'un gisement solaire lui permettant d'envisager des centrales solaires au rendement supérieur « de 20 à 30% » à celui d'équipements équivalents en Espagne. Mustapha Bakkoury, le président de l'Agence marocaine de l'énergie solaire (Masen) entend développer ce chantier solaire -encore très marginal dans ce pays- avec un plan de 6,6 milliards d'euros qui prévoit « 2.000 MW à développer entre aujourd'hui et 2020 ». « L'énergie solaire est encore beaucoup plus chère que les énergies conventionnelles » - de l'ordre du simple au double -, rappelle Mustapha Bakkoury, et « cet effort ne saurait être justifié que si nous nous inscrivons dans une logique économique plus large : l'objet du plan solaire est d'instaurer une vraie filière économique ».

L'énergie Hydraulique ...

La production d'origine hydraulique doit être renforcée avec la construction de « trois barrages par an jusqu'en 2020 » pour atteindre une capacité de 2.200 MW, selon M. Zniber.

Cinq sites ont été sélectionnés, le premier projet devant démarrer à Ouarzazate, avec une production espérée de 500 MW en 2015. Un appel d'offres pour une première phase doit être lancé avant fin 2010.
Le pays importe actuellement plus de 95% de ses énergies primaires (pétrole, charbon, gaz) et 18% de son électricité. Tout en laissant ouverte la possibilité de se tourner vers le nucléaire, le Maroc s'est d'abord fixé pour ambition de porter à 42% la part d'électricité d'origine renouvelable dans sa capacité de production en 2020, avec une répartition équitable entre hydraulique, éolien et solaire (14% chacun).

AFRIQUE AUSTRALE: Un cancer lié au VIH trop peu diagnostiqué et traité

IRIN


Photo: Mujahid Safodien/PlusNews
Les centres de santé ruraux ont des difficultés à traiter les patients atteints du SK
MANZINI, 28 septembre 2010 (PlusNews) - Le Sarcome de Kaposi (SK), un cancer lié au VIH, ne fait peut-être pas les gros titres en Afrique australe, mais prendre en charge cette maladie qui laisse des marques et qui est potentiellement mortelle représente une tâche colossale pour les travailleurs sanitaires.

Savoir comment administrer une chimiothérapie dans un petit centre sanitaire rural n'est qu'une des nombreuses difficultés auxquelles sont confrontés les travailleurs de la santé pour traiter les patients souffrant du SK dans 10 centres sanitaires gérés par l'organisation internationale Médecins sans frontières dans le district de Chiradzulu, dans le sud du Malawi.


Parmi les autres défis figurent le manque d'infrastructures et d'équipements sécurisés pour les chimiothérapies injectables, la gestion incomplète des dossiers et les problèmes d'approvisionnement en médicaments, a dit Yamika Kapitao, travailleur sanitaire de MSF, lors de la rencontre annuelle de la Rural doctors association for Southern Africa (Association des médecins ruraux d'Afrique australe, RuDASA) au Swaziland, en août.

Le Malawi affiche une prévalence nationale du VIH d'environ 12 pour cent, mais selon des études menées par le ministère de la Santé et de la population, les districts du sud comme Chiradzulu et son voisin, Thyolo, ont des taux record de 21 pour cent. Une recherche de MSF présentée lors de la rencontre a révélé qu'environ sept pour cent des quelque 11 100 patients sous ARV ayant participé à cette recherche dans le district de Thyolo avaient un SK.

« L'incidence en Afrique est toujours plus basse que dans les pays développés, mais en raison du pic dans le nombre de nos patients, et parce qu'ils se présentent très tard [pour un traitement], cela reste un danger permanent », a dit le docteur François Venter, qui dirige la Southern African HIV clinicians society (Société des cliniciens du VIH d'Afrique australe), notant que le cancer était difficile à gérer même dans des contextes où les systèmes de santé bénéficiaient de meilleures ressources, comme les centres hospitaliers universitaires.
Le SK provoque des tâches anormales formées de tissus partiellement cancéreux de couleur rouge ou violette, qui grossissent sous la peau du patient, y compris dans la bouche, le nez, la gorge et d'autres organes. Ces lésions peuvent être douloureuses et si elles se propagent à l'appareil digestif ou aux poumons, elles peuvent provoquer des saignements et des difficultés respiratoires, d'après le National Cancer Institute (Institut national du cancer) basé aux Etats-Unis.

Le traitement ARV ne protège pas du SK – l'ensemble des quelque 400 patients traités par MSF pour un SK en 2010 était sous ARV – mais les médicaments peuvent empêcher un SK à un stade avancé de se développer. L'American cancer association a noté qu'en l'absence d'un traitement ARV, le SK pouvait évoluer rapidement et mener à la mort en à peine six mois.

Le chemin vers de meilleurs soins

En mai 2010, MSF a rédigé des recommandations pour les soins et le traitement des patients atteints du SK dans ses centres du Malawi, et a commencé à consacrer certains jours spécifiquement au traitement de la maladie. Les soins du SK étaient auparavant dispensés uniquement au niveau des hôpitaux publics de districts
M. Kapitao a dit qu'instituer des jours de traitement du SK avait entraîné une amélioration de la collecte des données et du suivi des patients, et avait permis aux infirmiers de mieux préparer la chimiothérapie et de minimiser leur exposition aux radiations.

L'organisation prévoit désormais de former des équipes aux soins palliatifs pour gérer les cas difficiles, et de développer un protocole pour guider les travailleurs sanitaires face aux besoins spécifiques des patients atteints du SK, y compris la manière de panser les lésions.

Le coordinateur médical de MSF en Afrique du Sud, le docteur Eric Goemaere, a dit qu'il faudrait également faire davantage dans le domaine du diagnostic.

« Nous devons toujours faire beaucoup de formations sur ce à quoi ressemble le SK », a dit M. Goemaere, qui a recommandé d'éduquer les patients dans les salles d'attente sur les symptômes du SK afin qu'ils puissent porter cela à l'attention des médecins, dont beaucoup ne décèlent pas les signes parce qu'ils demandent rarement aux patients habituels de se déshabiller.

M. Goemaere a dit que l'accès à la chimiothérapie et à des médicaments entraînant moins d'effets secondaires négatifs pour les patients séropositifs dont le système immunitaire est déjà affaibli était généralement limité en Afrique, en partie en raison du coût élevé

http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportId=90609

vendredi 1 octobre 2010

Les Etats-Unis présentent leurs excuses pour des expériences médicales menées au Guatemala

Le Monde

Il aura fallu attendre près de soixante-dix ans. Les Etats-Unis ont présenté, vendredi 1er octobre, des excuses publiques pour une expérience menée dans les années 1940 au Guatemala par des médecins fédéraux qui ont délibérément inoculé la syphilis et la blennorragie à des détenus, des femmes et des malades mentaux dans le but de tester l'efficacité de la pénicilline, dont on commençait à peine à se servir.

Les chercheurs qui ont mené cette étude avaient choisi comme cobayes des personnes vulnérables, y compris des malades mentaux, et ne les ont informées ni de l'objet de leur recherche ni de ce qui allait leur arriver. Dans un premier temps, les chercheurs ont inoculé la syphilis ou la blennorragie à des prostituées, les laissant ensuite avoir des rapports sexuels avec des soldats ou des détenus. Dans une deuxième phase, "voyant que peu d'hommes étaient infectés, l'approche de la recherche a changé et a consisté à inoculer directement des soldats, des prisonniers et des malades mentaux", selon des documents décrivant l'étude. Des tests ont également été menés dans des asiles d'aliénés et des casernes.

"L'étude d'inoculation de cette maladie sexuellement transmissible menée de 1946 à 1948 au Guatemala était manifestement contraire à l'éthique", déclarent Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine, et Kathleen Sebelius, secrétaire à la santé. "Même si ces événements se sont produits il y a plus de soixante-quatre ans, nous sommes révoltées que des recherches aussi répréhensibles aient pu être menées au nom de la santé publique. Nous regrettons profondément ce qui s'est passé et nous présentons des excuses à tous ceux qui ont été affectés par des pratiques aussi odieuses", ajoutent-elles.

CRIME CONTRE L'HUMANITÉ
L'expérience a été menée par le Dr. John Cutler, des services fédéraux de santé publique (PHS), dans le cadre d'un programme financé par les PHS, l'Institut national de la santé, le Bureau panaméricain des questions sanitaires et le gouvernement guatémaltèque. Son existence a été dévoilée cette année par Susan Reverby, qui enseigne au Wellesley College, dans le Massachusetts. Entre sept cents et quinze cents personnes, hommes et femmes, auraient été exposés à la maladie avant de recevoir de la pénicilline. "L'étude s'est poursuivie jusqu'en 1948 et les archives suggèrent qu'en dépit des intentions affichées, il est probable que tous n'ont pas été guéris", souligne-t-elle dans un communiqué. Ses conclusions seront publiées en janvier dans le Journal of Policy History.

Ces experimentations ont été qualifiées, vendredi, de "crime contre l'humanité" par le président guatémaltèque, Alvaro Colom. "Ce qui est arrivé à l'époque est un crime contre l'humanité et le gouvernement se réserve le droit de porter plainte", a déclaré devant la presse le chef de l'Etat du pays d'Amérique centrale, qui a été informé jeudi par la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton.

 Cette affaire rappelle une autre expérience médicale tristement célèbre, l'affaire de Tuskegee, menée dans les années 1960 sur des Noirs américains que des médecins avaient exposés à la syphilis sans les soigner et à laquelle avait également participé le Dr Cutler, mort en 2003. A ce stade, on ignore si une procédure d'indemnisation des victimes guatémaltèques pourra être lancée. Il n'est pas certain que ces cobayes puissent être retrouvés, a expliqué Arturo Valenzuela, sous-secrétaire d'Etat adjoint aux affaires américaines.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2010/10/01/les-etats-unis-presentent-leurs-excuses-pour-des-experiences-medicales-menees-au-guatemala_1419193_3222.html#xtor=RSS-3208

PSA veut 10% de biodiesel dans les carburants diesel

Enerzine

PSA : pour une utilisation raisonnée des biocarburantsAfin de répondre aux objectifs de la Directive Européenne Energie Renouvelable qui prévoit un taux minimal de 10% en contenu énergétique renouvelable pour le transport en 2020, le groupe PSA Peugeot Citroën et la FNSEA se engagés à collaborer au développement des biocarburants.
Les deux acteurs ont réaffirmés "l'impact positif que ces nouveaux carburants issus de ressources renouvelables peuvent avoir pour la réduction des émissions de CO2 tout en insistant sur la nécessité de prendre en compte des critères de durabilité dans le développement des produits et des filières".

En conséquences, PSA Peugeot Citroën et la FNSEA collaboreront ensemble pour atteindre les objectifs de 10% dans chacune des deux filières, bioéthanol et biodiesel, et garantir la performance de ces carburants.

L'introduction de ces nouveaux carburants à un taux de 10% en contenu énergétique permettra selon eux "d'avoir un impact positif immédiat sur les émissions de CO2 du fait de leur compatibilité avec la grande majorité des véhicules en circulation. Si tous les véhicules Peugeot et Citroën utilisaient ces carburants, une économie de plus de 800 000 tonnes de CO2 par an serait réalisée".

La FNSEA confirme que les ressources agricoles françaises et européennes sont suffisantes au déploiement des biocarburants sans porter atteinte à l'approvisionnement des marchés alimentaires sur le marché intérieur comme à l'export. En outre les industriels sont en mesure d’offrir les capacités suffisantes pour l’atteinte d’un objectif de 10%.

De son côté, PSA Peugeot Citroën réaffirme son engagement pour une "utilisation raisonnée" des biocarburants. Ces nouveaux carburants sont un levier complémentaire au sein de sa stratégie véhicules décarbonés. Le Groupe insiste sur l'importance de pouvoir disposer rapidement de carburants diesel contenant 10% de biodiesel, le B10.
L'impact positif sur les émissions de CO2 serait renforcé compte tenu de la part des véhicules diesels en Europe.

PSA Peugeot Citroën garantit déjà que toutes ses motorisations Diesel sont compatibles avec des carburants contenant jusqu'à 30% de biodiesel. Ceci inclut les nouvelles technologies hybrides en cours de lancement commercial : micro-hybride e-HDi et HYbrid4.

De même, tous les modèles Peugeot et Citroën produits après 2000 peuvent utiliser la nouvelle essence SP95-E10 (essence sans plomb 95 contenant jusqu’à 10% d’éthanol). Le groupe travaille activement à améliorer la compatibilité de ses moteurs à des teneurs en bioéthanol plus élevées (E15, jusqu’à 15% d’éthanol).

"Les agriculteurs sont fiers de s'engager dans le développement d’une énergie verte, qui au-delà de ses atouts environnementaux, crée des emplois, permet de dynamiser le tissu rural et contribue à notre indépendance énergétique" a indiqué Jean-Michel Lemétayer, président de la FNSEA.

Pour sa part Philippe Varin, Président du Directoire de PSA Peugeot Citroën a déclaré que "les moteurs thermiques représenteront toujours 85% du marché en 2020. Les biocarburants, associés aux technologies innovantes que nous développons, doivent contribuer à l’atteinte d’un objectif ambitieux d’avoir des émissions de CO2 inférieures au seuil de 95 g/km envisagé en Europe à cet horizon."

lundi 27 septembre 2010

Des pluies torrentielles au Honduras

Courrier international

La tempête tropicale Matthew a touché ce week-end plusieurs pays d'Amérique centrale, dont le Honduras. Son passage et les fortes pluies enregistrées ont aggravé la situation dans laquelle se trouve ce pays frappé par d'importantes inondations ces derniers mois. Le quotidien hondurien consacre sa première pages aux très lourds dégâts causés par ces intempéries qui ont fait plus de 55 morts depuis le début de l'année. En raison des inondations, le Honduras a déjà révisé à la baisse de 5% ses prévisions de récolte de canne à sucre, un des piliers de l'économie locale.

dimanche 26 septembre 2010

Energies marines : le DOE embrasse la marée

BE Etats-Unis 220  >>  24/09/2010
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64593.htm

Vingt sept projets d'énergie marine et hydrocinétique viennent d'être sélectionnés par le DOE (Department of Energy) et bénéficieront d'un montant global de $37 million. Les projets retenus couvrent toute les étapes de la R&D, depuis la conception de composants et de systèmes jusqu'au développement de prototypes et à la conduite d'essais en mer.

Il s'agit là du plus important financement fédéral jamais alloué à cette catégorie d'énergie renouvelable, signe que les Etats-Unis poursuivent leur quête active de nouvelles sources d'approvisionnement. Les énergies marines et hydrocinétiques (EMH) étaient jusqu'à présents restées en marge de la forte poussée en faveur des EnR aux Etats-Unis. Quelques projets initiaux, tels que celui de poser une turbine sous le Golden Gate Bridge à San Franciso avaient été abandonnés faute de retour sur investissement suffisant. A ce stade, les projets sont donc souvent dans la phase de développement, de démonstrateur ou de pilote, sans véritable déploiement commercial. En 2009, la capacité installée était inférieure à 1 megawatt (MW) contre 77,000 MW d'hydroélectricité classique.

Le résultat de cette relative désaffection est que les Etats-Unis ne sont pas bien placés dans le domaine, que ce soit au niveau des bureaux d'étude ou bien à celui des fabricants, et que les donneurs d'ordres sont obligés de faire appel à des compétences souvent européennes, et principalement britanniques.

Mais l'intérêt et là, comme en témoigne l'appétence de certains capital risqueurs, qui seront amenés à s'impliquer puisque les financements du DOE sont destinés à faire levier auprès de financeurs privés, même si la part du public reste supérieure à 50% à ce stade. Autre signe de l'engouement actuel, la FERC (Federal Energy Regulatory Commission) aurait envoyé 146 dossiers de demande d'autorisation d'exploiter pour une puissance totale de 9,000 MW. La nouvelle impulsion donnée par le DOE devrait se traduire par un afflux supplémentaire, avec des projets générant individuellement environ 1 MW (turbine hydrolienne au large de l'Etat de Washington).

L'avantage aux yeux des producteurs d'électricité provient du fait que, bien que variable, l'énergie provenant des vagues est relativement prévisible (plusieurs jours à l'avance), plus que dans le cas du solaire ou de l'éolien, ce qui facilite l'intégration dans le réseau électrique. Quant à l'énergie marémotrice, elle présente l'avantage d'être assez constante tout au long de l'année, ce qui permet d'en faire une électricité fournissant la base (contrairement à l'hydroélectricité classique, typiquement employée pour fournir les besoins "de crête"). On pourrait donc assister à un essor de la filière si les projets sélectionnés se révèlent probants. Certains experts estiment que d'ici 2025, la capacité installée aux Etats-Unis pourrait atteindre 200 GW, compte tenu du gisement (Cf. carte 1 - Gisement pour l'énergie marine aux Etats-Unis).


Pour en savoir plus, contacts :
- Site du DOE - branche Energy Efficiency and Renewable Energy - dédié aux énergies marines et hydrocinétique : http://www1.eere.energy.gov/windandhydro/hydrokinetic/default.aspx
- Site de l'Union for Concerned Scientist : http://redirectix.bulletins-electroniques.com/18A8Y
Code brève
ADIT :
64593
Source :
- Communiqué du DOE - EERE - 15/09/10 : http://apps1.eere.energy.gov/news/news_detail.cfm/news_id=16319
- Pew Climate Group - Hydrokinetic Electric Power Generation : http://www.pewclimate.org/technology/factsheet/Hydrokinetic
- "DOE taps 27 MHK projects" - Federal Technology Watch du 20/09/10 (par abonnement), p.10.
Rédacteur :
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Origine :
BE Etats-Unis numéro 220 (24/09/2010) - Ambassade de France aux Etats-Unis / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64593.htm