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samedi 18 septembre 2010

Paignton Zoo Will Have the Largest Collection of Malagasy Species in the UK

Zoo and Aquarium Visitor
By Philip Knowling
Paignton, UK - Paignton Zoo is to become a temporary home for a large collection of reptiles and amphibians from a breeding centre dedicated to helping Madagascan fauna.
The arrival of the collection - 17 species including over 120 frogs as well as snakes, geckos and chameleons - means Paignton Zoo will have the largest collection of Malagasy species in the UK.
The collection - destined for Endangered Madagascar, a wildlife conservation centre that is being built in Bath – will be housed in the Zoo’s new Amphibian Ark species rescue and reintroduction centre.
Mike Bungard, Paignton Zoo’s Curator of Lower Vertebrates and Invertebrates, said: “This is an outstanding collection. We are helping out Endangered Madagascar by housing them temporarily and Endangered Madagascar are helping us by sharing expertise and providing us with the chance to work with some of the World's rarest frogs. We can learn husbandry techniques and perhaps even breed some of them.”
Adrian Fowler, BVSc MRCVS, Veterinary Director of Endangered Madagascar, said: “It’s a great chance to propagate some rare amphibians using Paignton Zoo’s new state of the art centre – this is a real collaborative effort.”
There are over 120 frogs, including the Critically Endangered golden mantella Mantella aurantiaca; the green mantella Mantella viridis, the yellow mantella Mantella crocea and the blue-legged mantella Mantella expectata, which are all classed as Endangered. Mantellas are small, brightly-coloured frogs only found on Madagascar. The iridescent colours reflect their poisonous nature.
The splendid mantella Mantella pulchra, the Madagascan mantella - Mantella madagascariensis – and the green burrowing frog Scaphiophryne marmorata are all classed as Vulnerable.
There are also 3 reptile species in the collection, including the Madagascan tree boa (Sanzinia madagascariensis), Standing’s day gecko (Phelsuma standingi) and the panther chameleon (Furcifer pardalis). Paignton Zoo is also taking charge of four common tenrecs, Madagascar's answer to mini-pigs. They will be the only examples of their kind on public display in the country.
Madagascar is a target region for EAZA and the regional collection plans identify Malagasy species as highly important. Mike: “They have been living in specially-converted outbuildings, but time constraints mean that Adrian wanted to find someone who could care for the complete collection. We have agreed to look after it for two years.
“There are some very significant species here. The blue-legged mantella is as rare in zoos as hen’s teeth. As far as I am aware, hardly any collections in the world feature either the red-backed tree frog Boophis rappiodes or the reed frog heterixalus betsileo.”
Paignton Zoo Environmental Park is a registered charity. For more information go to www.paigntonzoo.org.uk or ring (01803) 697500.
To view Paignton Zoo's web page on Zoo and Aquarium Visitor, go to:  http://www.zandavisitor.com/forumtopicdetail-783-Paignton_Zoo_Environmental_Park

jeudi 16 septembre 2010

Biocarburant Madagascar, détentrice d’un or vert ?

Madagascar Tribune


Jatropha, valavelona, kinanana ou encore voanongo. Quel que soit le nom qu’on lui donne, l’arbuste à fleurs rouges et au coriace feuillage vert foncé que l’on trouve à l’état sauvage dans le sud malgache n’en finit pas d’attiser la polémique. Pour certains, elle serait un véritable « or vert », une « chance inouïe pour Madagascar », une « plante du futur ». Pour ses détracteurs, ce ne serait qu’un mirage.
Traditionnellement utilisé pour ses vertus médicinales, comme insecticide, dans la production de vernis ou encore pour servir de haies, le jatropha est devenu une véritable star lorsque est apparue la fièvre des biocarburants. L’huile que donne ses graines (à raison d’un litre d’huile pour 5kg de graines), non comestible pour les hommes ni pour les animaux domestiques, a en effet des propriétés très proches du diesel, ce qui en fait un agro-carburant de bonne qualité. Or, le marché mondial des biocarburants est en constante augmentation, surtout dans les pays occidentaux et la production de biocarburant est inférieure à la demande. Cela laisse présager de très importantes retombées pour les investissements dans ce secteur, d’autant plus que les pays occidentaux incitent à la consommation de biocarburants par le biais de la loi : l’Union européenne s’est par exemple fixé l’objectif de parvenir à 10% d’agrocarburants dans sa consommation totale.

Dans sa livraison du 14 septembre 2010, Afrique Hebdo dit aussi la plante capable de servir d’engrais, être utilisé pour la confection de bougies et de savon, ou encore remplacer dans les fourneaux les combustibles traditionnels de cuisson issus de la biomasse (comme le bois ou le charbon) ; ce qui permettrait aux femmes de cuisiner dans un environnement sans fumée et de gagner du temps en n’étant plus contraintes d’aller ramasser du bois de feu.
Poussant sur des milieux semi-arides, le jatropha présente l’avantage de ne pas trop faire concurrence aux cultures alimentaires, car ces espaces sont habituellement plutôt consacrés à l’élevage extensif. Pourtant, l’ONG les Amis de la Terre a publié en mai 2009 le rapport Jatropha – Wonder Crop ? Experience for Swaziland (http://www.foe.co.uk/resource/repor...) montrant que la culture de cette plante contrairement au « miracle » annoncé, pourrait se faire au détriment de la production alimentaire du fait de la concurrence pour la terre et l’eau. L’association a même demandé à l’Union européenne de prendre en compte ces impacts dans l’étude qu’elle mènera en 2010 sur les changements d’affectation des sols à cause des agrocarburants, et de réviser son objectif d’incorporation de 10% en conséquence.

Autre détracteur de la « plante-miracle », Gilles Vaitilingom, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). Ce dernier s’oppose aux théories des entreprises prônant la culture intensive du jatrophe comme l’ivoirienne BPR Afrique, qui expliquent que la plante, qui vit plus de 50 ans et produit deux récoltes par an, est on ne peut plus facile d’entretien. D’après le chercheur du Cirad, ce n’est pas si simple. Car si le jatropha ne demande pas de soin particulier à petite échelle, les choses se compliquent lorsqu’on étend cette culture. « Les coûts engendrés par la culture de masse du jatropha curcas n’ont pas été pris en compte au départ de nombreux projets, tant les propriétés « miraculeuses » de cette plante étaient vantées. (…) Dans les projets développés en Inde ou au Nicaragua dans les années 90, les agriculteurs, au bout de quelques années, ont fini par abandonner leurs cultures car elles ne leur procuraient pas les revenus promis », a indiqué Gilles Vaitilingom dans un article d’actu-environnement en mai 2009. Le chercheur n’a toutefois pas nié l’intérêt colossal du jatropha, il le recommande toutefois pour un usage local, et non pas massif.
Du fait de la crise politique, les investissements dans le jatropha ont de toute manière baissé à Madagascar ces deux dernières années, a indiqué Afrique Hebdo. Cependant, des compagnies telles la GEM (Green Energy Madagascar), la MMR (Madagascar Minerals Ressources), ou plus récemment Tozzi Renowable Energy, travaillent pour permettre au plus vite l’utilisation de diesel à base de Jatropha. D’après l’hebdomadaire, « un investissement de plus de 300 millions de dollars a été versé dans ce secteur ».

http://www.madagascar-tribune.com/Madagascar-detentrice-d-un-or-vert,14704.html

mercredi 15 septembre 2010

Making Photovoltaic Solar Cells More Efficient

Written by Brian Westenhaus   
Wednesday, 15 September 2010 13:55
The maximum use of incoming solar radiation relies on using the full spectrum of the light and infrared radiation. There’s a lot of power in the infrared – not something the current photovoltaic cell is harvesting.
Photovoltaic solar cells convert energy from the sun into electricity by absorbing light. However, different materials absorb light at different wavelengths. The most efficient cells are made of multiple materials that together can capture a greater portion of the electromagnetic radiation in sunlight. The best solar cells today are still missing a material that can make use of a portion of the sun’s infrared light.  Close, but leaving a huge part of the energy unharvested.  What’s missing is the layer that converts infrared into electricity.
In what could be a step toward higher efficiency solar cells, an international team including University of Michigan professors has invalidated the most commonly used model to explain the behavior of a unique class of materials called highly mismatched alloys. These mismatched alloys, which are still in the experimental stages of development, are combinations of elements that won’t naturally mix together using conventional crystal growth techniques.
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dimanche 12 septembre 2010

MADAGASCAR: Une nouvelle invasion de criquets à craindre

IRIN


Photo: FAO
Un essaim de criquets pèlerins malgaches dans la région de Menabe, en mai 2010
JOHANNESBOURG, 10 septembre 2010 (IRIN) - L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a averti d'une « menace grave et imminente due à la présence d'un nombre croissant d'essaims de criquets pèlerins » à Madagascar ; selon l'organisme, une « aide d'urgence Odoit être immédiatement apportéed pour prévenir une catastrophe humanitaire ».

L'avertissement a été lancé lors d'une réunion sur l'Aide d'urgence à la lutte antiacridienne qui s'est tenue à Antananarivo, la capitale, le 8 septembre, quelques jours après la publication, par l'USAID, de l'édition d'août de son rapport de situation d'urgence sur les Invasions transfrontalières de ravageurs (ETOP) ; rapport qui présentait des prévisions s'étendant jusqu'à la mi-octobre et dont les auteurs exprimaient des préoccupations semblables.

« Une reproduction massive risque d'être observée … Dans cette éventualité, Madagascar connaîtra une des invasions de criquets les plus graves observées ces dernières années, et devra mener des interventions de contrôle à grande échelle jusqu'à la mi-2011 », peut-on lire dans l'ETOP.

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