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vendredi 31 décembre 2010

Un nouveau virus menace le système d'exploitation Android de Google en Chine

Le Monde

Un téléphone utilisant Android, le système d'exploitation de Google.
Un virus s'attaquant aux téléphones mobiles utilisant le système d'exploitation Android de Google a été détecté en Chine. Baptisé Geinimi, il peut s'emparer de nombreuses données personnelles stockées sur le téléphone d'un utilisateur et les envoyer vers des serveurs.
"Une fois que ce logiciel malveillant est installé sur un téléphone, il a la capacité d'obéir aux ordres d'un serveur, permettant à l'opérateur de ce serveur de contrôler le téléphone", précise Lookout Mobile Security, un éditeur d'antivirus spécialisé dans les mobiles.

EXTRÊMEMENT SOPHISTIQUÉ

Selon l'éditeur, ce virus est extrêmement "sophistiqué", bien plus que "les précédentes tentatives de logiciels malveillants visant Android".
La société, qui ne connaît pas les finalités de cette attaque, précise que seuls des utilisateurs téléchargeant des applications d'Android en Chine sont susceptibles d'être affectés.


http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/12/31/un-nouveau-virus-menace-le-systeme-d-exploitation-android-de-google-en-chine_1459653_651865.html#xtor=RSS-3208

Indictments Expected In Gibson Guitar Raid

WSMV

Company Accused Of Illegally Importing Wood


Newly-filed court documents show criminal indictments are expected against Gibson Guitar after a federal raid In November 2009.

Those details are from an affidavit filed by one of the Fish and Wildlife service agents investigating the case.

Wood from the island nation of Madagascar was seized at the Gibson Guitar factory during the raid.

There are accusations the company has been illegally harvesting a type of wood from Madagascar, sending it to Germany and then importing it to the United States.


http://www.wsmv.com/news/26314181/detail.html

jeudi 30 décembre 2010

Le Soudan sous surveillance satellitaire

Le Griot

L'ONU, l'université américaine d'Havard, Google et la star hollywoodienne, George Clooney, au travers de son ONG « Not on our Watch » (« Pas devant nos yeux » en français), vont lancer conjointement le « Satellite Sentinel Project ». Il s'agit d'un dispositif de surveillance du Sud-Soudan via un satellite afin de capturer des images pour prévenir les éventuels cas de violations des Droits de l'homme, lesquels pourraient subvenir à l'occasion du référendum 9 au 15 janvier 2011 portant sur l'autodétermination du Sud-Soudan. »Nous voulons que les auteurs potentiels de génocide ou d'autres crimes de guerre sachent que nous les voyons, que le monde les regarde » a déclaré George Clooney, un des piliers de cette initiative qu'il appelle « paparazzi antigénocide » dans le Time. Pour ce faire, les rôles sont bien répartis : pendant que l'ONG financera le projet, le programme d'application satellitaire opérationnel de l'ONU (Unosat) s'occupera de la collecte des images, Havard prendra en charge le côté recherche et analyse et Google vulgarisera les informations recueillies par internet.A l'approche de ce référendum historique, la séparation du Sud Soudan d'avec les institutions centrales de Karthoum semble inéluctable pour la majorité des observateurs. Parmi les multiples enjeux, le contrôle du pétrole de la région d'Abyeï, située tout au centre du pays, est certainement le plus important. Sa population devra également, en parallèle du processus référendaire, choisir de rallier le Nord ou le Sud. Dans ce contexte, toutes les inquiétudes internationales sont donc justifiées. De surcroît, dans un pays dirigé par Omar El Béchir, sous le coup d'un mandat d'arrêt international de la CPI pour crimes de guerre et contre l'humanité commis au Darfour, région dans laquelle la guerre civile a fait 300 000 morts selon l'ONU.


http://www.legriot.info/838-le-soudan-sous-surveillance-satellitaire/

mardi 28 décembre 2010

Satellite data reveals fires in region plagued by illegal logging in Madagascar

wildmadagascar.org
December 27, 2010


New satellite data reveals active burning in Sava, a region in Madagascar that has been ravaged by illegal logging for rosewood and other valuable rainforest timber.




Click to enlarge
According to data provided by the Fire Alert System, a joint monitoring program run by NASA, Conservation International and the University of Maryland, more than 1,100 fires have burned in Andapa, Antalaha, Sambava, and Vohimarina—districts where the bulk of Madagascar's illegal logging is taking place—since October 1. Roughly a quarter of these fires have burned in, or on the margins, of forest areas. A handful of fires have occurred in protected areas, including Masoala National Park, a World Heritage Site that has been besieged by illegal logging since last year. A biological survey in October turned up evidence of as many as 10,000 people living in the park.

The remote sensing data seems to support on-the-ground reports of a large number of fires in the region. Dry conditions are likely a contributing factor—the rainy season is late this year, so annual fires set for land-clearing are burning longer than usual. Politic conditions may also be a factor: since last year's military coup, governance in Madagascar has been substantially weakened. As a result, there is less control over illegal fire-setting and logging.

Nevertheless, while the aggregate number of fires for October through December 2010 are higher than normal, they are down from the year earlier period, when more than 1,300 were recorded. The number of fires burning in forest areas is similar over the past two years, but markedly higher than 2008 and 2007, the first year the Fire Alert System was operational.



Neighboring regions are also seeing heavy burning. Analanjirofo, the region which contains parts of Makira and Masoala protected areas, had 553 forest fires in October and November, up from 421 a year earlier. Diana, which houses Analamerana and Andavakoera-Andrafiamenta-Ambohipiraka protected areas, and Sofia, which borders Makira, had more than 500 forest fires during the two months.

Final data for December 2010 will be available next month, making annual comparisons more complete.


http://news.mongabay.com/2010/1227-sava_fires.html

Devastation, Madagascar

Mediacoop.ca

France's Total and US based Madagascar Oil tangle with military governments to push tar sands projects forward


Total's proposed tar sands operation in Madagascar is potentially the dirtiest mining operation its kind in the world, in a region where the local people have few options but to live next to it. If, as some charge, Total helped bring down a democratically elected government in order to install a regime that would favour their tar sands project, it's likely that international campaigns against Total and their social and environmental record could well expand.

In 2008 Total bought a 60% stake in the Bemolanga tar sands field, a field that they predict may operate at just under 200 000 barrels per day of bitumen using strip mining techniques developed in Alberta, Canada. The bitumen is less 'pure' in place, which means it will produce more toxic tailings and require even more water usage than the already notorious strip mines north of Fort McMurray, Alberta. If developed, the Bemolanga mine would rival the largest of the mines in operation today.

Not unlike Alberta, for at minimum of 20 years after the start of operations, Madagascar will only receive 1% in royalty payments from this development. An index published by the World bank ranks Madagascar as the 12th poorest country in the world, wedged between Nepal and Afghanistan.
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lundi 27 décembre 2010

Lettre au Père Noël : Je veux de l’électricité comme cadeau pour le Sénégal.

Mondoblog

Bonjour Papa Noël :
En ce jour de noël (votre jour préféré) et du nouvel an qui sera célébré dans quelques jours, Je voulais simplement vous dire que, quand vous descendrez du ciel avec vos jouets familiers, n'oubliez pas mon cadeau. Je veux de l'électricité !!! Rien que de l'électricité !!!
La SENELEC  nous électrocute  chaque jour

Papa Noel, l'électricité est un vrai problème dans mon pays. Malgré plus de 500 milliards de F CFA qui auraient été injectés dans la SENELEC, la Société Nationale d'Electricité ne parvient toujours pas à offrir aux usagers un service digne et satisfaisant et continue de plonger mon pays dans l'obscurité et l'insécurité la plus totale. Tous les secteurs de l'économie, tous les ménages sont touchés, aucun Sénégalais n'est épargné, même ta ville préférée de Ziguinchor est touchée. Les hôpitaux sont souvent délestés. Il y a quelques mois, trois enfants prématurés sont morts dans les crèches, suite à ces longues coupures. Je vous présente toutes mes condoléances.

dimanche 26 décembre 2010

Sables bitumineux : Le jackpot des sociétés pétrolières

Madagascar Tribune
lundi 27 décembre 2010

Avec 1% de recettes pour l'Etat contre 99% pour les sociétés exploitantes, il n'est pas certain que Madagascar sorte gagnante de l'exploitation des sables bitumineux, une activité qui est de plus extrêmement néfaste pour l'environnement.

Dans le partage des richesses pétrolières de Madagascar, s'il y a un gagnant, on ne peut pas dire que ce soit l'État malgache, mais plutôt le groupe français Total, et, dans une moindre mesure, d'autres sociétés pétrolières de plus faible envergure, dont Madagascar Oil.

En effet, c'est une véritable braderie qui a été faite en faveur de ces entreprises, l'État ne demandant, pendant 10 ans, qu'1% des recettes liées de l'exploitation de ces richesses pétrolières, ce qui laisse 99% du gâteau aux sociétés exploitantes, d'après les informations publiées sur le site Mediapart.

Si Total est le grand gagnant, c'est qu'il a acquis 60% du plus grand gisement de pétrole non conventionnel de la Grand Ile, à savoir celui de Bemolanga, qui pourrait produire jusqu'à 1,2 milliards de barils. Cette énorme part du gisement a été achetée par Total moyennant la somme de 100 millions de dollars, et les opérations de forage ont commencé depuis juillet 2009.

De son côté, la société Madagascar Oil se concentre majoritairement sur l'exploitation du gisement de Tsimiroro, dont les réserves sont estimées à un milliard de barils. L'exploration de ce bloc pétrolier est financée par le succès de l'introduction en bourse de la jeune société, cotée sur le marché de Londres depuis novembre dernier.

Madagascar doublement perdant

 

Avec seulement 1% des recettes, le pays ne profitera pas beaucoup de la manne financière que représentent les sables bitumineux. En revanche, il devra en supporter les coûts, notamment écologiques. En effet, le sable bitumineux est une forme semi solide de pétrole mélangé à de la terre, dont le captage nécessite une consommation folle d'énergie. L'empreinte carbone suscitée par cette exploitation sera donc conséquente, et le danger couru par la biodiversité locale est plus que sérieux.

Recueilli par Mona M.


http://www.madagascar-tribune.com/Le-jackpot-des-societes,15266.html

Une fusée indienne transportant un satellite explose en vol

Le Monde



Une fusée indienne transportant un satellite de communications a dû être détruite, samedi 25 décembre, par les responsables du lancement en raison d'une avarie. Le lanceur GSLV du satellite géosynchrone a dévié de sa trajectoire et a été volontairement détruit 47 secondes après avoir décollé de la base de lancement de Srihariko, dans le sud du pays. Selon l'organisation indienne de recherche spatiale (ISRO), les débris de la fusée sont tombés en pleine mer.

Télécommunications : Un projet de passerelle unique crée des vagues

Madagascar Tribune
vendredi 24 décembre 2010, par Yann

Les trois principaux opérateurs en télécommunication à Madagascar - Telma, Orange et Airtel - ont publié conjointement un communiqué condamnant un projet de mise en place d'une « passerelle internationale unique ».
Selon ce projet évoqué le 15 décembre dernier en conseil des ministres, tous les opérateurs locaux devraient faire transiter leurs communications internationales par cette passerelle opérée par une société privée.
Les opérateurs relèvent que ce projet s'accompagnera d'une nouvelle taxe perçue sur chaque communication internationale, ce qui en renchérira de manière significative le coût et accroîtra de facto l'isolement économique et social de Madagascar. Le monopole dont bénéficiera la société privée gérant cette passerelle lui permettra de bénéficier d'une confortable rente de situation, et remettrait en cause tous les principes de libéralisation.
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