google.com, pub-8770072612658242, DIRECT, f08c47fec0942fa0

mardi 2 novembre 2010

Des matrices LED qui s’implantent sous la peau

tom's style


Chaque fois que la technologie de pointe vient apporter son aide à la médecine, le résultat ne peut être que positif. La médecine est sur le point de réaliser un grand pas en développant des matrices LED à implanter sous la peau. Il semblerait que cette implantation sous-cutanée offre de nouvelles possibilités médicales.

Dirigée par John Rogers de l’Université de l’Illinois, Urbana-Champaign, États-Unis, une équipe de chercheurs nord-américains et asiatiques a mis au point des feuilles ultra-minces de 2,5 micromètres d’épaisseur pour une surface de 100 x 100 micromètres, contenant des matrices LED et des photo-détecteurs. Implantés sous la peau, ces feuilles peuvent être utilisées à des fins biomédicales telles que la surveillance médicale, l’activation de médicaments photosensibles et d’autres applications.

Outre la médecine, il semblerait que ces implants soient également l’avenir du tatouage.Ces matrices ont été imprimées sur un substrat en verre, puis transférées sur du PDMS (polydiméthylsiloxane), un polymère biocompatible pour réaliser le maillage des LED avec les photo-détecteurs.  En fait, ceci a été réalisé avec des LED organiques ou OLED que l’on sait sensible à l’eau et à l’oxygène, une fine couche de silicone servant de liant. Le substrat PDMS est très souple et les circuits fonctionnent sans problème même avec une torsion ou un allongement à 75%.

La découverte a été testée en milieu humide dans un premier temps et sous une peau animale dans un second temps. La prochaine étape sera logiquement des tests sur le corps humain.

L'Inde intéressée à prendre une part dans un champ pétrolier en Angola

AFP


Le directeur du groupe indien ONGC (d) inaugure un puits de pétrole à Kalol, près d'Ahmenabad, le 18 novembre 2009
NEW DELHI — Le groupe public indien d'énergie ONGC examine l'opportunité de racheter au géant américain ExxonMobil sa prise de participation dans un champ pétrolier en Angola, a-t-il déclaré lundi.
"Nous examinons une telle opportunité" d'acheter une part dans le champ pétrolier, a déclaré à la presse à New Delhi R.S. Butola, directeur général de la branche internationale d'Oil and Natural Gas Corporation (ONGC) qui cherche à sécuriser l'approvisionnement énergétique du pays.
L'Inde est "tout à fait intéressé" concernant les 25% du champ détenus par Exxon mais le groupe n'a pas encore déclaré s'il était prêt à lui céder sa part, a-t-il ajouté, précisant que la proposition avait été faite à ONGC par des banques d'investissement.
Ces commentaires interviennent au lendemain d'une rencontre entre le ministre indien du Pétrole Murli Deora et son homologue angolais Jose Botelho de Vasconcelos.
ONGC devrait soumettre une offre rapidement, selon le quotidien Economic Times, qui écrit lundi que la participation de l'américain serait valorisée environ 2 milliards de dollars.
Un accord permettrait de stimuler l'Inde dans la course au pétrole en Afrique et dans d'autres endroits du monde engagée avec son rival économique chinois.
Le champ devrait fournir 300.000 barils de brut par jour à son pic de production d'ici 2012, selon les statistiques officielles du site internet du centre américain sur l'énergie.
Esso Exploration, une branche d'ExxonMobil, possède les 25% de ce champ en eau profonde opéré par le groupe britannique BP. Parmi les autres propriétaires figurent notamment l'Etat angolais et le français Total.

KAZAKHSTAN : L'uranium de toutes les convoitises

Courrier international

La visite officielle du président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaev en France, du 26 au 28 octobre, a permis à Astana de conclure "des contrats de fourniture de trains, hélicoptères et usine de production de combustible nucléaire pour un montant total de 2 milliards d'euros", rapporte le webzine Ferghana.ru. "La Russie pâtira de ce rapprochement entre Astana et Paris", s'inquiète le journal russe Pravda. Si pour l'expert russe Andréï Grozine une coopération militaire et aérospatiale franco-kazakhe n'est pas réellement inquiétante, dans la mesure où la Russie coopère, elle aussi, dans ces domaines avec la France, l'intrusion d'Areva dans le domaine de l'extraction et du traitement de l'uranium naturel "est une nouvelle peu agréable pour Moscou, car pour elle l'uranium kazakhe est d'une importance primordiale". "Pour que l'uranium [dont le Kazakhstan est premier producteur mondial avec 14 000 tonnes extraites en 2009] ne lui échappe pas totalement, Moscou devra inventer et proposer des projet alléchants à Nazarbaev."


http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/02/l-uranium-de-toutes-les-convoitises?utm_source=www.courrierinternational.com&utm_medium=twitter&utm_content=L'anticipation+au+quotidien