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dimanche 1 août 2010

Unesco : les sites en péril également au coeur des débats

LINFO.RE

Les sessions annuelles du Comité du Patrimoine de l’Unesco sont aussi l’occasion pour les acteurs internationaux de se pencher sur le cas de sites en périls. Dans ce contexte, le Parc national des Everglades aux Etats-Unis a été inscrit sur la liste des biens en danger. Un autre site a suscité l’intérêt des membres du Comité de l’Unesco : il s’agit de Madagascar


Pendant que la Réunion attend avec impatience la décision finale du Comité de l’Unesco, les habitants de la Grande-Ile placent eux-aussi beaucoup d’espoir dans la 34ème session du Comité de l’Unesco.

Les membres qui inscrivent chaque année de nouveaux biens mixtes, naturels et culturels sur la liste du Patrimoine de l’Humanité, classent également des sites dits "en danger".

A Madagascar, ce sont les forêts humides de l’Atsinanana qui ont été déclarées "site en péril" par les membres du Comité mondial. De fait, l’exploitation outrancière des bois précieux et le braconnage fragilisent peu à peu le Parc National malgache. Si rien n’est fait, les lémuriens, véritables emblèmes de l’île risquent de disparaître.

Mariam Kenza Ali, Chargée de conservation à l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature(UICN) a travaillé sur cette problématique. Pour elle, le milieu de vie de ces animaux, sans cesse la proie des industriels doit être préservé à tout prix.

L’inscription des forêts de l’Atsinanana permettrait au pays de pouvoir bénéficier à nouveau du financement international annulé en janvier 2009, suite à la crise politique qui avait alors secoué le pays. Ainsi, les défenseurs du Patrimoine malgache pourront lutter contre le braconnage et l’exploitation de bois précieux, deux fléaux que connaît la Grande-Ile.

La cité épiscopale d'Albi inscrite cette nuit, examen retardé pour La Réunion

Le Quotidien de La Réunion et de l'Océan Indien

PATRIMOINE MONDIAL DE L'UNESCO

La cité épiscopale d'Albi (Sud-Ouest de la France) a rejoint la nuit dernière la liste du Patrimoine Mondiale de l'Unesco.le site doit notamment son inscription à son long passé historique et à certains monuments comme la cathédrale Sainte-Cécile (1282) et le "Palais de la Berbie" qui abrite depuis 1922 le musée Toulouse Lautrec.

Le dossier réunionnais n'a finalement pas été examiné hier.le programme ayant pris du retard, les" Pitons, cirques et remparts " ne devraient passer sous l'oeil du jury qu'à partir d'aujourd'hui, pour une réponse dans la soirée, voire lundi.

La réunion à Brasilia du comité de Patrimoine de l'Unesco se clôturera mardi 3 août.

vendredi 30 juillet 2010

Everglades returns to UNESCO list of global heritage sites in danger

Everglades returns to UNESCO list of global heritage sites in danger

Paca parmi les plus touchées par la dengue et le chikungunuya

La Provence

Selon le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'Institut de veille sanitaire (Invs) publié mardi, la dengue et le chikungunya sont de plus en plus présents en France métropolitaine. Et "avec l’implantation du moustique Aedes albopictus (Ndlr : moustique tigre) dans le sud de la France, le risque d’initier une chaîne de transmission des arbovirus et notamment des virus de la dengue et du chikungunya est réel." La Cire Sud, cellule régionale de l'Invs, rappelle de son côté que ce moustique a colonisé la façade méditerranéenne depuis 2004 et que "chaque année, des cas de chikungunya et de dengue étant importés, le risque d'introduction et de diffusion existe dans ces départements hautement touristiques".

Cela dit, si la région Provence-Alpes-Côte d'Azur est, avec l'Ile-de-France, une des plus touchées, aucun cas autochtone n'a été confirmé jusque là. Le bilan diffusé hier par la Cire Sud fait état de 119 cas suspects dont 48 confirmés depuis le 1er mai, 46 pour la dengue et 2 pour le chikungunya. Ce sont les Alpes-Maritimes (avec 53 cas de dengue et un de chikungunya) et les Bouches-du-Rhône (avec 35 cas de dengue et un de chikungunya) les premiers concernés

Total affiche un bond spectaculaire de ses bénéfices au deuxième trimestre 2010