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lundi 30 août 2010
Chili : début des opérations de sauvetage des mineurs bloqués sous terre | RFI
Au Chili, le long forage d'un puits de secours pour délivrer les 33 mineurs bloqués depuis le début du mois août dans la mine de San José commence ce lundi 30 août 2010. Une opération technique délicate qui devrait durer plusieurs mois. Hier dimanche, les familles ont pu, pour la première fois, parler à leurs proches par téléphone. Lire l'article Chili : début des opérations de sauvetage des mineurs bloqués sous terre | RFI
samedi 28 août 2010
Madagascar’s Pierced Heart
National Geographic Magazine
The island’s geographic isolation created a wonderland of biological richness. Now population pressures and political turmoil speed the plunder of its rosewood, minerals, and gems.
The island’s geographic isolation created a wonderland of biological richness. Now population pressures and political turmoil speed the plunder of its rosewood, minerals, and gems.
By Robert Draper
Photograph by Pascal Maitre
The young man in the shorts and sleeveless T-shirt stands in his pirogue and pulls it upstream with a long bamboo pole. The Onive River is shallow and moves swiftly against him. Overhead a brooding sky opens up and dispenses barrages of rain, then sunlight, then more rain. The young man, whose name is Remon, is as heedless of the weather as the crocodiles lying prostrate on the shore.
vendredi 27 août 2010
Un jeune d'aye-aye montré pour la première fois au public
ZIGONET
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Le zoo de Philadelphie a dévoilé depuis quelques jours son nouvel habitant : Smeagol, un jeune bébé aye-aye, nommé d’après le personnage du Seigneur des Anneaux.
Les ayes-ayes sont des lémuriens qui comptent parmi les plus nocturnes des primates et sont des créatures timides et difficiles à observer. Ce sont de rares primates qu'on peut retrouver dans les forêts tropicales de Madagascar et le zoode Philadelphie est un des trois seuls lieux possédant des aye-ayes sur le territoire américain. L’espèce bien que protégée, est toujours chassée dans son habitat naturel car les ayes-ayes seraient censés porter malheur. La déforestation est aussi une des raisons de leur disparation progressive des forêts de Madagascar.
Smeagol, bien qu’encore jeune, a déjà commencé à sortir de sa cachette et le publicpeut désormais apercevoir l’animal évoluer aux côtés de ses parents, un mâle et une femelle répondant respectivement aux noms de Tolkien et Médusa.
Smeagol, bien qu’encore jeune, a déjà commencé à sortir de sa cachette et le publicpeut désormais apercevoir l’animal évoluer aux côtés de ses parents, un mâle et une femelle répondant respectivement aux noms de Tolkien et Médusa.
Un système solaire de cinq à sept planètes observé depuis le Chili
LeMonde.fr
Avant, elles étaient très grosses, et souvent seules. Aujourd'hui, elles apparaissent de moins en moins massives et de plus en plus groupées : quinze années de recherche et près de 500 découvertes ont largement fait évoluer notre connaissance des exoplanètes, ces mondes qui orbitent autour d'étoiles loin de notre Soleil.
Fuites médiatiques sur les fuites de pétrole dans le delta du Niger
Echo Nature
Depuis plusieurs mois, le PNUE (1) a ouvert une enquête, à la demande du gouvernement du Nigéria, afin de faire la lumière sur l'origine des fuites de pétrole qui ont pollué le pays Ogoni, situé dans le delta du Niger, au cours des dernières années. D'ici octobre prochain, les équipes du PNUE rendues sur place devraient ainsi avoir terminé les prélèvements d'échantillons d'eau, d'air, de terre, de sédiments, de végétaux et ceux effectués sur animaux. Destinés à être analysés en laboratoires, ceux-ci devraient permettre d'établir plus précisément l'impact environnemental des fuites pétrolières survenues dans cette région, et ainsi de mieux cibler les opérations de nettoyage des sites contaminés.
Rappelant son souhait de ne publier aucun résultat partiel avant la fin de l'enquête, le PNUE a souhaité éclaircir le discours récemment rapporté par certains médias. Ceux-ci révélaient, en effet, que 90 % des déversements d'hydrocarbures dans le pays Ogoni étaient le fait d'activités criminelles et du « bunkering », pratique consistant à percer illégalement des oléoducs afin de détourner une partie du pétrole qui y transite. Or, l'organisme affirme avoir spécifié lors de la publication de ces données que celles-ci étaient des estimations officielles du gouvernement nigérian et « basées en partie sur les données fournies par l'industrie pétrolière ». Affirmant que l'enquête est réalisée « en toute indépendance, intégrité et transparence », il a en outre appelé au respect des équipes scientifiques présentes sur le terrain. A l'heure d'aujourd'hui, les conclusions officielles du PNUE sur ce dossier sont attendues pour début 2011.
D'après l'organisme des Nations Unies, le financement de l'enquête en cours a été négocié avec le gouvernement du Nigéria et la branche nigériane de la société Shell Petroleum Development Company (SPDC). De fait, en accord avec le principe pollueur/payeur, Shell prend en charge le coût des investigations, estimé à 9,5 millions de dollars.
Cécile Cassier
http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=4354
Depuis plusieurs mois, le PNUE (1) a ouvert une enquête, à la demande du gouvernement du Nigéria, afin de faire la lumière sur l'origine des fuites de pétrole qui ont pollué le pays Ogoni, situé dans le delta du Niger, au cours des dernières années. D'ici octobre prochain, les équipes du PNUE rendues sur place devraient ainsi avoir terminé les prélèvements d'échantillons d'eau, d'air, de terre, de sédiments, de végétaux et ceux effectués sur animaux. Destinés à être analysés en laboratoires, ceux-ci devraient permettre d'établir plus précisément l'impact environnemental des fuites pétrolières survenues dans cette région, et ainsi de mieux cibler les opérations de nettoyage des sites contaminés.
Rappelant son souhait de ne publier aucun résultat partiel avant la fin de l'enquête, le PNUE a souhaité éclaircir le discours récemment rapporté par certains médias. Ceux-ci révélaient, en effet, que 90 % des déversements d'hydrocarbures dans le pays Ogoni étaient le fait d'activités criminelles et du « bunkering », pratique consistant à percer illégalement des oléoducs afin de détourner une partie du pétrole qui y transite. Or, l'organisme affirme avoir spécifié lors de la publication de ces données que celles-ci étaient des estimations officielles du gouvernement nigérian et « basées en partie sur les données fournies par l'industrie pétrolière ». Affirmant que l'enquête est réalisée « en toute indépendance, intégrité et transparence », il a en outre appelé au respect des équipes scientifiques présentes sur le terrain. A l'heure d'aujourd'hui, les conclusions officielles du PNUE sur ce dossier sont attendues pour début 2011.
D'après l'organisme des Nations Unies, le financement de l'enquête en cours a été négocié avec le gouvernement du Nigéria et la branche nigériane de la société Shell Petroleum Development Company (SPDC). De fait, en accord avec le principe pollueur/payeur, Shell prend en charge le coût des investigations, estimé à 9,5 millions de dollars.
Cécile Cassier
http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=4354
Réchauffement climatique : Kofi Annan mobilise
JEUNE AFRIQUE
Invitées par Kofi Annan, l’ancien secrétaire général de l’ONU, à participer (du 2 au 4 septembre, à Accra) au Forum sur la révolution verte en Afrique (AGRF), une série de personnalités ont donné leur accord de principe. Parmi elles : Judith Rodin, présidente de la Fondation Rockefeller ; Jorgen Ole Haslestad, PDG de Yara International (leader mondial des engrais minéraux) ; Clive Tasker, président de Standard Bank Africa ; Ibrahim Assane Mayaki, directeur du Nepad ; Kanayo Nwanze, président du Fonds international de développement agricole (Fida) ; ainsi que les présidents du Ghana, de la Tanzanie et du Nigeria. L’objectif est de mobiliser des financements pour lutter contre le réchauffement climatique, qui, d’ici à 2050, pourrait réduire les rendements agricoles en Afrique de 20% à 30%.
Invitées par Kofi Annan, l’ancien secrétaire général de l’ONU, à participer (du 2 au 4 septembre, à Accra) au Forum sur la révolution verte en Afrique (AGRF), une série de personnalités ont donné leur accord de principe. Parmi elles : Judith Rodin, présidente de la Fondation Rockefeller ; Jorgen Ole Haslestad, PDG de Yara International (leader mondial des engrais minéraux) ; Clive Tasker, président de Standard Bank Africa ; Ibrahim Assane Mayaki, directeur du Nepad ; Kanayo Nwanze, président du Fonds international de développement agricole (Fida) ; ainsi que les présidents du Ghana, de la Tanzanie et du Nigeria. L’objectif est de mobiliser des financements pour lutter contre le réchauffement climatique, qui, d’ici à 2050, pourrait réduire les rendements agricoles en Afrique de 20% à 30%.
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