Courrier international
La tempête tropicale Matthew a touché ce week-end plusieurs pays d'Amérique centrale, dont le Honduras. Son passage et les fortes pluies enregistrées ont aggravé la situation dans laquelle se trouve ce pays frappé par d'importantes inondations ces derniers mois. Le quotidien hondurien consacre sa première pages aux très lourds dégâts causés par ces intempéries qui ont fait plus de 55 morts depuis le début de l'année. En raison des inondations, le Honduras a déjà révisé à la baisse de 5% ses prévisions de récolte de canne à sucre, un des piliers de l'économie locale.
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lundi 27 septembre 2010
dimanche 26 septembre 2010
Energies marines : le DOE embrasse la marée
BE Etats-Unis 220 >> 24/09/2010
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64593.htm
Vingt sept projets d'énergie marine et hydrocinétique viennent d'être sélectionnés par le DOE (Department of Energy) et bénéficieront d'un montant global de $37 million. Les projets retenus couvrent toute les étapes de la R&D, depuis la conception de composants et de systèmes jusqu'au développement de prototypes et à la conduite d'essais en mer.
Il s'agit là du plus important financement fédéral jamais alloué à cette catégorie d'énergie renouvelable, signe que les Etats-Unis poursuivent leur quête active de nouvelles sources d'approvisionnement. Les énergies marines et hydrocinétiques (EMH) étaient jusqu'à présents restées en marge de la forte poussée en faveur des EnR aux Etats-Unis. Quelques projets initiaux, tels que celui de poser une turbine sous le Golden Gate Bridge à San Franciso avaient été abandonnés faute de retour sur investissement suffisant. A ce stade, les projets sont donc souvent dans la phase de développement, de démonstrateur ou de pilote, sans véritable déploiement commercial. En 2009, la capacité installée était inférieure à 1 megawatt (MW) contre 77,000 MW d'hydroélectricité classique.
Le résultat de cette relative désaffection est que les Etats-Unis ne sont pas bien placés dans le domaine, que ce soit au niveau des bureaux d'étude ou bien à celui des fabricants, et que les donneurs d'ordres sont obligés de faire appel à des compétences souvent européennes, et principalement britanniques.
Mais l'intérêt et là, comme en témoigne l'appétence de certains capital risqueurs, qui seront amenés à s'impliquer puisque les financements du DOE sont destinés à faire levier auprès de financeurs privés, même si la part du public reste supérieure à 50% à ce stade. Autre signe de l'engouement actuel, la FERC (Federal Energy Regulatory Commission) aurait envoyé 146 dossiers de demande d'autorisation d'exploiter pour une puissance totale de 9,000 MW. La nouvelle impulsion donnée par le DOE devrait se traduire par un afflux supplémentaire, avec des projets générant individuellement environ 1 MW (turbine hydrolienne au large de l'Etat de Washington).
L'avantage aux yeux des producteurs d'électricité provient du fait que, bien que variable, l'énergie provenant des vagues est relativement prévisible (plusieurs jours à l'avance), plus que dans le cas du solaire ou de l'éolien, ce qui facilite l'intégration dans le réseau électrique. Quant à l'énergie marémotrice, elle présente l'avantage d'être assez constante tout au long de l'année, ce qui permet d'en faire une électricité fournissant la base (contrairement à l'hydroélectricité classique, typiquement employée pour fournir les besoins "de crête"). On pourrait donc assister à un essor de la filière si les projets sélectionnés se révèlent probants. Certains experts estiment que d'ici 2025, la capacité installée aux Etats-Unis pourrait atteindre 200 GW, compte tenu du gisement (Cf. carte 1 - Gisement pour l'énergie marine aux Etats-Unis).
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64593.htm
Vingt sept projets d'énergie marine et hydrocinétique viennent d'être sélectionnés par le DOE (Department of Energy) et bénéficieront d'un montant global de $37 million. Les projets retenus couvrent toute les étapes de la R&D, depuis la conception de composants et de systèmes jusqu'au développement de prototypes et à la conduite d'essais en mer.
Il s'agit là du plus important financement fédéral jamais alloué à cette catégorie d'énergie renouvelable, signe que les Etats-Unis poursuivent leur quête active de nouvelles sources d'approvisionnement. Les énergies marines et hydrocinétiques (EMH) étaient jusqu'à présents restées en marge de la forte poussée en faveur des EnR aux Etats-Unis. Quelques projets initiaux, tels que celui de poser une turbine sous le Golden Gate Bridge à San Franciso avaient été abandonnés faute de retour sur investissement suffisant. A ce stade, les projets sont donc souvent dans la phase de développement, de démonstrateur ou de pilote, sans véritable déploiement commercial. En 2009, la capacité installée était inférieure à 1 megawatt (MW) contre 77,000 MW d'hydroélectricité classique.
Le résultat de cette relative désaffection est que les Etats-Unis ne sont pas bien placés dans le domaine, que ce soit au niveau des bureaux d'étude ou bien à celui des fabricants, et que les donneurs d'ordres sont obligés de faire appel à des compétences souvent européennes, et principalement britanniques.
Mais l'intérêt et là, comme en témoigne l'appétence de certains capital risqueurs, qui seront amenés à s'impliquer puisque les financements du DOE sont destinés à faire levier auprès de financeurs privés, même si la part du public reste supérieure à 50% à ce stade. Autre signe de l'engouement actuel, la FERC (Federal Energy Regulatory Commission) aurait envoyé 146 dossiers de demande d'autorisation d'exploiter pour une puissance totale de 9,000 MW. La nouvelle impulsion donnée par le DOE devrait se traduire par un afflux supplémentaire, avec des projets générant individuellement environ 1 MW (turbine hydrolienne au large de l'Etat de Washington).
L'avantage aux yeux des producteurs d'électricité provient du fait que, bien que variable, l'énergie provenant des vagues est relativement prévisible (plusieurs jours à l'avance), plus que dans le cas du solaire ou de l'éolien, ce qui facilite l'intégration dans le réseau électrique. Quant à l'énergie marémotrice, elle présente l'avantage d'être assez constante tout au long de l'année, ce qui permet d'en faire une électricité fournissant la base (contrairement à l'hydroélectricité classique, typiquement employée pour fournir les besoins "de crête"). On pourrait donc assister à un essor de la filière si les projets sélectionnés se révèlent probants. Certains experts estiment que d'ici 2025, la capacité installée aux Etats-Unis pourrait atteindre 200 GW, compte tenu du gisement (Cf. carte 1 - Gisement pour l'énergie marine aux Etats-Unis).
Pour en savoir plus, contacts : | - Site du DOE - branche Energy Efficiency and Renewable Energy - dédié aux énergies marines et hydrocinétique : http://www1.eere.energy.gov/windandhydro/hydrokinetic/default.aspx - Site de l'Union for Concerned Scientist : http://redirectix.bulletins-electroniques.com/18A8Y | Code brève ADIT : 64593 | ||||||
Source : | - Communiqué du DOE - EERE - 15/09/10 : http://apps1.eere.energy.gov/news/news_detail.cfm/news_id=16319 - Pew Climate Group - Hydrokinetic Electric Power Generation : http://www.pewclimate.org/technology/factsheet/Hydrokinetic - "DOE taps 27 MHK projects" - Federal Technology Watch du 20/09/10 (par abonnement), p.10. | |||||||
Rédacteur : | Marc Magaud, attache-envt.mst@ambafrance-us.org | |||||||
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Origine : | BE Etats-Unis numéro 220 (24/09/2010) - Ambassade de France aux Etats-Unis / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/64593.htm |
samedi 25 septembre 2010
Malagasy Minerals will NOT proceed with proposed Madagascar Resources merger
proactiveinvestors
International minerals company Malagasy Minerals (ASX: MGY) has announced a decision not to proceed with the proposed merger with the Madagascar based company, Madagascar Resources NL, which Malagasy announced to the ASX in May this year.
Malagasy stated that the merger is not in shareholders best interests, even after identifying the strategic merit of the combination of assets of both the companies in
Madagascar.
Last week, Malagasy announced it had intersected a zone of massive and disseminated sulphides in the first diamond drill hole, to be completed at its recently discovered Ianapera Nickel-Copper Project, located in southern Madagascar.
Drill hole IPC0001, which was sited to test Gossan AMC-50, intersected 2.5 metres of massive sulphide mineralisation from 135m, followed by 20 metres of disseminated (5% to 15%) sulphides in basal ultramafic cumulates with chromite.
Observed sulphide minerals are pyrite, pyrrhotite (+/- pentlandite) and chalcopyrite.
Drilling will test up to 11 massive sulphide gossans containing anomalous nickel and copper, which were in the northern part of Malagasy’s wholly owned Ampanihy Project earlier this year.
http://www.proactiveinvestors.com.au/companies/news/10279/malagasy-minerals-will-not-proceed-with-proposed-madagascar-resources-merger-10279.html
International minerals company Malagasy Minerals (ASX: MGY) has announced a decision not to proceed with the proposed merger with the Madagascar based company, Madagascar Resources NL, which Malagasy announced to the ASX in May this year.
Malagasy stated that the merger is not in shareholders best interests, even after identifying the strategic merit of the combination of assets of both the companies in
Madagascar.
Last week, Malagasy announced it had intersected a zone of massive and disseminated sulphides in the first diamond drill hole, to be completed at its recently discovered Ianapera Nickel-Copper Project, located in southern Madagascar.
Drill hole IPC0001, which was sited to test Gossan AMC-50, intersected 2.5 metres of massive sulphide mineralisation from 135m, followed by 20 metres of disseminated (5% to 15%) sulphides in basal ultramafic cumulates with chromite.
Observed sulphide minerals are pyrite, pyrrhotite (+/- pentlandite) and chalcopyrite.
Drilling will test up to 11 massive sulphide gossans containing anomalous nickel and copper, which were in the northern part of Malagasy’s wholly owned Ampanihy Project earlier this year.
http://www.proactiveinvestors.com.au/companies/news/10279/malagasy-minerals-will-not-proceed-with-proposed-madagascar-resources-merger-10279.html
De la fibre optique pour Mayotte
Orange vient d'annoncer qu'un nouveau câble sous-marin va permettre d'améliorer la connexion à Internet des îles de l'Océan Indien, comme Mayotte. LION2 (Lower Indian Ocean Network) améliore LION et dessert le Kenya en passant par Mayotte et en partant de Madagascar. Long de près de 3 000 kilomètres, ce câble qui utilise de la fibre optique a un débit théorique maximal de 1,28 térabit/s et il va servir de route alternative pour les transferts de données entre l'Afrique et l'Eurasie. De plus, il va aussi permettre de sécuriser les liaisons, qui sont actuellement limitées à deux câbles principaux. LION2 devrait être actif au premier semestre 2012 et va coûter 56,5 millions d'euros, dont 31,25 millions pour France Telecom.
http://www.presence-pc.com/actualite/fibre-mayotte-40766/#comments
http://www.presence-pc.com/actualite/fibre-mayotte-40766/#comments
mercredi 22 septembre 2010
Peugeot EX1 : nouveau concept électrique hors normes
Enerzine
Le nouveau concept-car de Peugeot est un roadster biplace 100% électrique, à l'allure hors-normes, avec un style futuriste et une architecture originale.Il a été conçu pour offrir des sensations de conduite intenses et célébrer les 200 ans de la Marque. L'EX1 bat plusieurs records du monde d'accélération en départ arrêté.
Ses performances sont issues de son aérodynamique affutée, de sa structure ultralégère, et de ses deux moteurs électriques, qui lui confèrent sa puissance maximale cumulée de 250 kW (340 ch) et la motricité de ses 4 roues.
L'intention de créer un engin détonnant pour célébrer les 200 ans de Peugeot s'est rapidement liée à une autre ambition : "celle de mettre en lumière l’étendue du champ émotionnel offerte par l'électricité."
Pour réaliser cet objectif, ingénieurs et stylistes ont puisé dans l’histoire de la Marque pour retenir les solutions techniques les plus radicales leur permettant de servir de base à la réalisation d’un bolide futuriste, entièrement dédié aux sensations de son pilote, et ce, tout en étant responsable vis-à-vis de son environnement...

http://www.enerzine.com/1036/10409+peugeot-ex1---nouveau-concept-electrique-hors-normes+.html
Ses performances sont issues de son aérodynamique affutée, de sa structure ultralégère, et de ses deux moteurs électriques, qui lui confèrent sa puissance maximale cumulée de 250 kW (340 ch) et la motricité de ses 4 roues.
L'intention de créer un engin détonnant pour célébrer les 200 ans de Peugeot s'est rapidement liée à une autre ambition : "celle de mettre en lumière l’étendue du champ émotionnel offerte par l'électricité."
http://www.enerzine.com/1036/10409+peugeot-ex1---nouveau-concept-electrique-hors-normes+.html
mardi 21 septembre 2010
Signal Spam collecte vos pourriels pour la bonne cause
01net.
Près de neuf courriers sur 10 envoyés dans le monde sont des spams. Si les filtres permettent d'en retenir une bonne partie, certains parviennent néanmoins dans les boîtes aux lettres des internautes. Ne les jetez plus, pour Signal Spam, ils ont de la valeur. Ils contiennent des informations qui permettent d'identifier l'envoyeur, d'évaluer la nature et l'ampleur du phénomène, le tout pouvant servir à bloquer leur circulation, voire donner lieu à des actions judiciaires.
Signal Spam, une association créée en 2007 pour fédérer les efforts publics et privés contre ce fléau, lance un appel pour mobiliser les internautes afin qu'ils prennent en main leur protection.
Depuis son lancement, l'association propose un formulaire en ligne où les utilisateurs peuvent signaler les e-mails reçus et non désirés. Une extension, compatible avec Outlook et Thunderbird, est également téléchargeable. Une fois installée, un bouton « Signal spam » s'affiche dans la barre d'outils du logiciel et permet d'un clic de renvoyer à l'association le courrier indésirable.
Mais les volontaires font défaut : seulement 100 000 personnes ont le réflexe de transmettre le pourriel par l'intermédiaire de cette application. Signal Spam souhaite donc réveiller les consciences des internautes sur la nécessité de participer à cette lutte.
« Le spam, c'est une gêne, mais pas seulement. C'est un parasite quand il fait la promotion de produits défectueux. C'est aussi une menace quand il véhicule des virus ou des chevaux de Troie », explique Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique.
Bientôt un bouton de signalement dans les Webmails
Il y a urgence car les membres de l'association ont fait le constat d'une professionnalisation du spam. Les auteurs de phishing montrent désormais un talent certain à usurper l'identité d'administrations, de banques ou de prestataires de service afin de dérober les coordonnées bancaires des internautes. Ces fraudeurs se détournent de plus en plus de l'envoi en masse pour lancer des campagnes de phishing de quelques centaines de messages seulement, mieux ciblées et plus difficilement détectables.
Pour que l'internaute devienne acteur de sa propre sécurité, Signal Spam est conscient qu'il doit lui faciliter la tâche au maximum en s'adaptant à ses habitudes. Comme la consultation des messages s'effectue de plus en plus par Webmail, l'extension Signal Spam devient insuffisante. L'association est donc en train de travailler à l'intégration d'un bouton de signalement directement dans ces interfaces en ligne. Il devrait être disponible à la fin de l'année.
lundi 20 septembre 2010
Production de nickel et de cobalt : La plus grande usine dans le monde à Toamasina
Midi Madagasikara
Dimanche, 19 Septembre 2010 20:40 |
Les travaux de construction de l'usine de production nickel et de cobalt par leprojet Ambatovy à Toamasina sont maintenant réalisés à 70%. Etalée sur une superficie de 3km², c'est l'unique et la plus grande usine installée dans lemonde, a-t-on appris lors d'une visite guidée de l'ensemble du site de l'usine la semaine dernière. En effet, on y trouve en même temps les trois départements, à savoir, la pale permettant d'enrichir les minerais et la raffinerie ainsi que les auxiliaires qui disposent de sept autres usines indépendantes. Pourtant, dans d'autres pays, seule une partie de ces unités est mise en place. On peut citer entre autres, le Canada n'ayant qu'une raffinerie et le Cuba qui a construit uniquement une pale pour obtenir des métaux de valeur. Niveau de qualification des techniciens. A première vue, toutes les installations, de grande envergure, sont composées de différentes formes de fer reflétant une haute technologie de pointe. La quantité de fer utilisée, qui est importée d'Afrique du Sud, de l'Asie du Sud-Est et de Canada, pour une telle usine de traitement et de raffinerie de nickel et de cobalt, permettrait de construire quatre Tour Eiffel, a expliqué un responsable du projet Ambatovy. Environ 12 000 emplois sont créés durant cette phase de construction prévue terminée au premier semestre de 2011, dont 85% d'entre eux sont composés de Malagasy. On y trouve également des travailleurs canadiens, philippins, sud-coréens, camerounais, sénégalais et sud- africains. La réalisation de ces travaux nécessite un niveau de qualification des techniciens, a-t-on aussi évoqué. Il y a des spécialistes en tuyauterie et des soudeurs qualifiés pour chaque type de fer utilisé comme le titane pour la construction d'un autoclave ou d'un grand réservoir servant à extraire le nickel et le cobalt dans le minerai en pulpe via une réaction chimique sous pression. D'autres spécialistes se chargent aussi de la construction des conduites d'oxygène à base de fer inoxydable. Mais les techniciens qui feront l'instrumentation, ou le contrôle des unités, toutes commandées d'une manière automatique, font encore défaut sans uneformation des ingénieurs en génie industriel, a-t-on souligné. 4 millions de tonnes d'intrants / an à importer. En tout, il faut passer par seize étapes, une fois que les minerais en pulpe acheminés par un pipeline long de 220km au départ du site d'exploitation à Moramanga, sont envoyés dans un épaississeur jusqu'à l'obtention des briquettes de nickel pesant 70g la pièce et du cobalt. Pour ce faire, le projet Ambatovy utilisera le procédé hydrométallurgique visant à séparer ces deux produits des autres métaux indésirables tout en neutralisant les différentes impuretés à travers des réactifs chimiques. Une centrale thermique fonctionnant à base de charbon de terre qui fournira une électricité d'une puissance de 80 Mégawatts, soit à peu près deux fois la production de la Jirama à Toamasina, alimentera l'usine. Par ailleurs, le projet prévoit d'importer 4 millions de tonnes d'intrants/an tels le charbon de terre, le calcaire, le soufre, les dérivés de pétrole et l'ammoniaque, pour son fonctionnement. Une autre unité de production de sulfate d'ammonium, servant d'engrais, d'une capacité de 190 000 T/an est aussi installée. Navalona R. |
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