Courrier international
La visite officielle du président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaev en France, du 26 au 28 octobre, a permis à Astana de conclure "des contrats de fourniture de trains, hélicoptères et usine de production de combustible nucléaire pour un montant total de 2 milliards d'euros", rapporte le webzine Ferghana.ru. "La Russie pâtira de ce rapprochement entre Astana et Paris", s'inquiète le journal russe Pravda. Si pour l'expert russe Andréï Grozine une coopération militaire et aérospatiale franco-kazakhe n'est pas réellement inquiétante, dans la mesure où la Russie coopère, elle aussi, dans ces domaines avec la France, l'intrusion d'Areva dans le domaine de l'extraction et du traitement de l'uranium naturel "est une nouvelle peu agréable pour Moscou, car pour elle l'uranium kazakhe est d'une importance primordiale". "Pour que l'uranium [dont le Kazakhstan est premier producteur mondial avec 14 000 tonnes extraites en 2009] ne lui échappe pas totalement, Moscou devra inventer et proposer des projet alléchants à Nazarbaev."
http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/02/l-uranium-de-toutes-les-convoitises?utm_source=www.courrierinternational.com&utm_medium=twitter&utm_content=L'anticipation+au+quotidien
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mardi 2 novembre 2010
dimanche 31 octobre 2010
L’ouragan Tomas provoque des dégâts dans les petites Antilles
euronews
La saison cyclonique n’est pas encore fini dans les Caraïbes. L’ouragan Tomas l’a rappelé aux habitants de la Barbade et d’autres îles des petites Antilles, comme la Martinique ce week-end. Il s’est renforcé ce dimanche matin passant de la catégorie 1 à 2 sur l‘échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5.
Tomas poursuivait sa progression sur un axe ouest-nord-ouest, en se rapprochant de la Jamaïque avec des vents de 160 km/h. D’ici le milieu de la semaine, Tomas pourrait se diriger vers Haïti où des milliers de personnes sont réfugiées dans des villages de tente depuis le tremblement de terre du 12 janvier.
Arbres arrachés, toits emportés, coupures d‘électricité : ce sont les conséquences qu’ont subi plusieurs îles des Caraïbes où des alertes ont été déclenchées. A Sainte-Lucie, le plus grand festival créole de l‘île a été annulé.
La saison cyclonique s‘étend de juin à novembre dans la région.
Avec AFP
http://fr.euronews.net/2010/10/31/l-ouragan-tomas-provoque-des-degats-dans-les-petites-antilles/
La saison cyclonique n’est pas encore fini dans les Caraïbes. L’ouragan Tomas l’a rappelé aux habitants de la Barbade et d’autres îles des petites Antilles, comme la Martinique ce week-end. Il s’est renforcé ce dimanche matin passant de la catégorie 1 à 2 sur l‘échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5.
Tomas poursuivait sa progression sur un axe ouest-nord-ouest, en se rapprochant de la Jamaïque avec des vents de 160 km/h. D’ici le milieu de la semaine, Tomas pourrait se diriger vers Haïti où des milliers de personnes sont réfugiées dans des villages de tente depuis le tremblement de terre du 12 janvier.
Arbres arrachés, toits emportés, coupures d‘électricité : ce sont les conséquences qu’ont subi plusieurs îles des Caraïbes où des alertes ont été déclenchées. A Sainte-Lucie, le plus grand festival créole de l‘île a été annulé.
La saison cyclonique s‘étend de juin à novembre dans la région.
Avec AFP
http://fr.euronews.net/2010/10/31/l-ouragan-tomas-provoque-des-degats-dans-les-petites-antilles/
Démission forcée de la directrice de l’Agence Internationale des Energies Renouvelables
Autour du bio
Par Nath le samedi 30 octobre 2010
Par Nath le samedi 30 octobre 2010
L’Agence Internationale des Energies Renouvelables (Irena), créée il y a 2 ans et dont le siège est situé aux Emirats Arabes Unis, enregistre la démission de sa directrice générale, Hélène Pelosse, "parce que les autorités du pays siège de l’Agence, les Emirats Arabes Unis ont demandé à la France de me faire démissionner et que l’on m’a contrainte à écrire une lettre de démission"…
C’est ce qu’explique cette haute fonctionnaire, ancienne directrice adjointe du cabinet du Ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, dans une interview au journal Le Monde daté de samedi 30 octobre 2010.
Elle dénonce l’achat, il y a 2 ans, par les Emirats Arabes Unis, des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence. Les pressions maintenant exercées pour obtenir le poste de direction mettent en péril l’indépendance de l’Agence. Elle raconte également, en termes diplomatiques, les "incidents de sécurité" dont elle est l’objet depuis son installation (fouilles, disparition de son passeport, intrusions à son domicile, interceptions de mails…) ! De la même façon, les fonctionnaires internationaux qui y travaillent ne bénéficient pas de l’immunité à laquelle leur statut les soumet normalement : rappelons que les Emirats sont loin d’être un modèle de démocratie…
Selon elle, de nombreux pays (Etats-Unis, Japon, Australie) n’ont aucun intérêt à voir l’Irena bien fonctionner, contrairement aux pays européens qui la soutiennent : conflits d’intérêts entretenus par les lobbies des énergies fossiles et du nucléaire.
Hélène Pelosse garde espoir pour plusieurs raisons : la Chine a tellement besoin d’énergie "qu’elle ne pourra pas se développer sans les énergies renouvelables" ; d’autre part "le potentiel des énergies renouvelables est beaucoup plus important que ce que l’on pense communément. Obtenir 80 % ou 100 % d’énergies renouvelables est à terme possible. C’est un véritable changement de paradigme. Mais beaucoup de gens ne veulent pas en entendre parler"…
http://www.autourdubio.fr/?post/demission-forcee-de-la-directrice-agence-internationale-des-energies-renouvelables-1190
C’est ce qu’explique cette haute fonctionnaire, ancienne directrice adjointe du cabinet du Ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, dans une interview au journal Le Monde daté de samedi 30 octobre 2010.
Elle dénonce l’achat, il y a 2 ans, par les Emirats Arabes Unis, des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence. Les pressions maintenant exercées pour obtenir le poste de direction mettent en péril l’indépendance de l’Agence. Elle raconte également, en termes diplomatiques, les "incidents de sécurité" dont elle est l’objet depuis son installation (fouilles, disparition de son passeport, intrusions à son domicile, interceptions de mails…) ! De la même façon, les fonctionnaires internationaux qui y travaillent ne bénéficient pas de l’immunité à laquelle leur statut les soumet normalement : rappelons que les Emirats sont loin d’être un modèle de démocratie…
Selon elle, de nombreux pays (Etats-Unis, Japon, Australie) n’ont aucun intérêt à voir l’Irena bien fonctionner, contrairement aux pays européens qui la soutiennent : conflits d’intérêts entretenus par les lobbies des énergies fossiles et du nucléaire.
Hélène Pelosse garde espoir pour plusieurs raisons : la Chine a tellement besoin d’énergie "qu’elle ne pourra pas se développer sans les énergies renouvelables" ; d’autre part "le potentiel des énergies renouvelables est beaucoup plus important que ce que l’on pense communément. Obtenir 80 % ou 100 % d’énergies renouvelables est à terme possible. C’est un véritable changement de paradigme. Mais beaucoup de gens ne veulent pas en entendre parler"…
http://www.autourdubio.fr/?post/demission-forcee-de-la-directrice-agence-internationale-des-energies-renouvelables-1190
Madagascar : Une entreprise d’extraction d’ilménite au sud-est fermée
AFRISCOOP
L'entreprise d'extraction d'ilménite nommée Qit Madagascar Minerals (QMM), basée à l'extrême sud-est de Madagascar a été fermée depuis mardi, à cause de la grève menée par l'association des jeunes dans cette région, a-t-on appris auprès d'un responsable de QMM.
Selon le directeur des affaires externes de cette entreprise canadienne, Daniel Andriamanjaka, l'association Fagnomba, qui regroupe les jeunes de la région Anosy, revendique le recrutement local et les approvisionnements locaux. Ces jeunes ne sont pas des travailleurs de QMM mais ils veulent y travailler en voyant les avantages des employés de cette entreprise.
Pourtant, Daniel Andriamanjaka a indiqué que QMM compte actuellement 560 employés dont 62% sont des natifs de la région d'Anosy.
Ces employés risquent le chômage si le barrage érigé par l'association Fagnomba bloque encore la route vers QMM. Daniel Andriamanjaka s'est plaint que les personnels de QMM n'ont pas pu rentrer chez eux lundi dernier que vers 23h00 à cause de ce barrage. Il a dit que la perte engendrée par cette grève est lourde.
Daniel Andriamanjaka a fait savoir que QMM et l'association Fagnomba ont continué leur négociation mercredi, mais cette dernière demande le licenciement de quelques cadres de cette entreprise ce qui n'est pas acceptable par QMM.
Selon le site Internet du QMM, www.riotintomadagascar.com, cette entreprise a commencé à explorer la région d'Anosy vers la fin des années 80 et en même temps à entamer des études sociales et environnementales préliminaires. Au milieu des années 90, QMM a mis en place un programme social et environnemental permanent. Une convention d'établissement, servant de cadre légal et fiscal des opérations, a été conclue en 1998 entre QMM et l'Etat malgache.
La construction a démarré en janvier 2006 et en mai 2009, la première expédition d'ilménite a été acheminée du port d'Ehoala, nouvellement construit au sud-ouest de Fort Dauphin. Le coût total de l'investissement à Madagascar et au Canada pour achever le projet est de 1,1 milliard de dollars US, avec environ 940 millions de dollars US investis à Madagascar.
L'ilménite extraite à Madagascar a une teneur en bioxyde de titane de 60%, selon le site Internet du QMM, ce qui lui confère une qualité supérieure à celle de la plupart des autres gisements dans le monde. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve4991
L'entreprise d'extraction d'ilménite nommée Qit Madagascar Minerals (QMM), basée à l'extrême sud-est de Madagascar a été fermée depuis mardi, à cause de la grève menée par l'association des jeunes dans cette région, a-t-on appris auprès d'un responsable de QMM.
Selon le directeur des affaires externes de cette entreprise canadienne, Daniel Andriamanjaka, l'association Fagnomba, qui regroupe les jeunes de la région Anosy, revendique le recrutement local et les approvisionnements locaux. Ces jeunes ne sont pas des travailleurs de QMM mais ils veulent y travailler en voyant les avantages des employés de cette entreprise.
Pourtant, Daniel Andriamanjaka a indiqué que QMM compte actuellement 560 employés dont 62% sont des natifs de la région d'Anosy.
Ces employés risquent le chômage si le barrage érigé par l'association Fagnomba bloque encore la route vers QMM. Daniel Andriamanjaka s'est plaint que les personnels de QMM n'ont pas pu rentrer chez eux lundi dernier que vers 23h00 à cause de ce barrage. Il a dit que la perte engendrée par cette grève est lourde.
Daniel Andriamanjaka a fait savoir que QMM et l'association Fagnomba ont continué leur négociation mercredi, mais cette dernière demande le licenciement de quelques cadres de cette entreprise ce qui n'est pas acceptable par QMM.
Selon le site Internet du QMM, www.riotintomadagascar.com, cette entreprise a commencé à explorer la région d'Anosy vers la fin des années 80 et en même temps à entamer des études sociales et environnementales préliminaires. Au milieu des années 90, QMM a mis en place un programme social et environnemental permanent. Une convention d'établissement, servant de cadre légal et fiscal des opérations, a été conclue en 1998 entre QMM et l'Etat malgache.
La construction a démarré en janvier 2006 et en mai 2009, la première expédition d'ilménite a été acheminée du port d'Ehoala, nouvellement construit au sud-ouest de Fort Dauphin. Le coût total de l'investissement à Madagascar et au Canada pour achever le projet est de 1,1 milliard de dollars US, avec environ 940 millions de dollars US investis à Madagascar.
L'ilménite extraite à Madagascar a une teneur en bioxyde de titane de 60%, selon le site Internet du QMM, ce qui lui confère une qualité supérieure à celle de la plupart des autres gisements dans le monde. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve4991
samedi 30 octobre 2010
petites manoeuvres incompréhensibles dans l’énergie
J’aurai sûrement l’occasion dans les prochains jours de revenir sur la décision d’EDF d’augmenter ses tarifs de 3%.
Mais comme nous sommes priés de croire que c’est bien le coût du solaire qui justifie qu’on vous augmente de 3% votre facture, faisons semblant de le croire et regardons un peu ce qui se passe.
Si à brule-pourpoint, je vous demandais de me dire où d’après vous le photovoltaïque a des chances d’être rentable, vous me répondriez vraisemblablement PACA et vous auriez raison, Languedoc-Roussillon et vous auriez encore raison, la Corse et vous auriez toujours raison et
vous ajouterez , finaud, “Et bien entendu, tous les Départements d’Outre-mer!”
ET BIEN, VOUS AURIEZ TORT! LA PREUVE DANS LE J.O. du samedi 30 octobre 2010
4 Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Saint-Martin à exploiter une installation de production d’électricité
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022971932&dateTexte=&categorieLien=id
Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Antilles à exploiter une installation de production d’électricité
Lire la suite...
Mais comme nous sommes priés de croire que c’est bien le coût du solaire qui justifie qu’on vous augmente de 3% votre facture, faisons semblant de le croire et regardons un peu ce qui se passe.
Si à brule-pourpoint, je vous demandais de me dire où d’après vous le photovoltaïque a des chances d’être rentable, vous me répondriez vraisemblablement PACA et vous auriez raison, Languedoc-Roussillon et vous auriez encore raison, la Corse et vous auriez toujours raison et
vous ajouterez , finaud, “Et bien entendu, tous les Départements d’Outre-mer!”
ET BIEN, VOUS AURIEZ TORT! LA PREUVE DANS LE J.O. du samedi 30 octobre 2010
4 Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Saint-Martin à exploiter une installation de production d’électricité
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022971932&dateTexte=&categorieLien=id
JORF n°0253 du 30 octobre 2010 page 19532
texte n° 5
ARRETEtexte n° 5
Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Antilles à exploiter une installation de production d’électricité
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Trafic de bois de rose Des autorités mises en cause
L'Express de Madagascar
Le bois de rose continue de soulever des polémiques.
Un rapport sur le commerce de bois de rose a été lancé à Nagoya, Japon. Il implique de hauts fonctionnaires malgaches.
L'honnêteté de certains hauts fonctionnaires est remise en cause. Environmental investigation agency (EIA) et Global Witness ont procédé au lancement du rapport révélant les dessous du trafic de bois de rose malgache. C'était lors de la 10 e Conférence des parties à la Convention sur la biodiversité biologique à Nagoya, Japon, le 26 octobre 2010. Le rapport indique que la perpétuation du commerce illégal de bois de rose a été facilitée par l'implication de certaines autorités publiques malgaches, et la faiblesse de l'application des lois par le gouvernement de Transition du pays.
D'Est en Ouest
« Nous saluons les dernières indications du gouvernement malgache. Cependant, les expériences passées ont montré que de telles mesures sont souvent sapées par l'octroi d'exonérations exceptionnelles et une mise en œuvre faible », a declaré Reiner Tegtmeyer, de Global Witness. Le nouveau rapport stipule également que l'importation chinoise de bois de rose malgache aurait commencé il y a plus de 600 ans.
Apparemment, certains gros acheteurs sont des entreprises d'Etat. Beaucoup de ceux qui proviennent du secteur privé sont financés, directement ou non, par ce type d'entreprise. La plupart des acheteurs revendent par la suite le bois à des usines de meuble et à des grossistes qui les transforment en produits finis, vendus à des prix exorbitants.
Selon Alexander von Bismarck, de l'EIA, « En Chine, les bois de rose malgaches se vendent à un million de dollars la pièce alors que moins de 0.1% des bénéfices parvient à la population ». Il a ajouté que « la réaction de la Chine sera cruciale pour la biodiversité de Madagascar. Elle a la posssibilité d'aider à l'élimination du commerce de bois illégal et de protéger la biodiversité ».
Des mobiliers en bois de rose malgache sont également vendus sur le marché américain et européen. « Les pièces sont importées de Chine et coûtent très cher. Les revendeurs ciblent comme clients les immigrants et les expatriés chinois ainsi que les passionnés d'artisanat d'Extrême-Orient », évoque le rapport. Il rajoute que « les revendeurs aux États-Unis, mais aussi en Europe, affirment en général ne pas connaître l'origine du bois ».
D'Est en Ouest
« Nous saluons les dernières indications du gouvernement malgache. Cependant, les expériences passées ont montré que de telles mesures sont souvent sapées par l'octroi d'exonérations exceptionnelles et une mise en œuvre faible », a declaré Reiner Tegtmeyer, de Global Witness. Le nouveau rapport stipule également que l'importation chinoise de bois de rose malgache aurait commencé il y a plus de 600 ans.
Apparemment, certains gros acheteurs sont des entreprises d'Etat. Beaucoup de ceux qui proviennent du secteur privé sont financés, directement ou non, par ce type d'entreprise. La plupart des acheteurs revendent par la suite le bois à des usines de meuble et à des grossistes qui les transforment en produits finis, vendus à des prix exorbitants.
Selon Alexander von Bismarck, de l'EIA, « En Chine, les bois de rose malgaches se vendent à un million de dollars la pièce alors que moins de 0.1% des bénéfices parvient à la population ». Il a ajouté que « la réaction de la Chine sera cruciale pour la biodiversité de Madagascar. Elle a la posssibilité d'aider à l'élimination du commerce de bois illégal et de protéger la biodiversité ».
Des mobiliers en bois de rose malgache sont également vendus sur le marché américain et européen. « Les pièces sont importées de Chine et coûtent très cher. Les revendeurs ciblent comme clients les immigrants et les expatriés chinois ainsi que les passionnés d'artisanat d'Extrême-Orient », évoque le rapport. Il rajoute que « les revendeurs aux États-Unis, mais aussi en Europe, affirment en général ne pas connaître l'origine du bois ».
Judicaëlle Saraléa
Jeudi 28 octobre 2010
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