Le directeur du groupe indien ONGC (d) inaugure un puits de pétrole à Kalol, près d'Ahmenabad, le 18 novembre 2009 NEW DELHI — Le groupe public indien d'énergie ONGC examine l'opportunité de racheter au géant américain ExxonMobil sa prise de participation dans un champ pétrolier en Angola, a-t-il déclaré lundi. "Nous examinons une telle opportunité" d'acheter une part dans le champ pétrolier, a déclaré à la presse à New Delhi R.S. Butola, directeur général de la branche internationale d'Oil and Natural Gas Corporation (ONGC) qui cherche à sécuriser l'approvisionnement énergétique du pays. L'Inde est "tout à fait intéressé" concernant les 25% du champ détenus par Exxon mais le groupe n'a pas encore déclaré s'il était prêt à lui céder sa part, a-t-il ajouté, précisant que la proposition avait été faite à ONGC par des banques d'investissement. Ces commentaires interviennent au lendemain d'une rencontre entre le ministre indien du Pétrole Murli Deora et son homologue angolais Jose Botelho de Vasconcelos. ONGC devrait soumettre une offre rapidement, selon le quotidien Economic Times, qui écrit lundi que la participation de l'américain serait valorisée environ 2 milliards de dollars. Un accord permettrait de stimuler l'Inde dans la course au pétrole en Afrique et dans d'autres endroits du monde engagée avec son rival économique chinois. Le champ devrait fournir 300.000 barils de brut par jour à son pic de production d'ici 2012, selon les statistiques officielles du site internet du centre américain sur l'énergie. Esso Exploration, une branche d'ExxonMobil, possède les 25% de ce champ en eau profonde opéré par le groupe britannique BP. Parmi les autres propriétaires figurent notamment l'Etat angolais et le français Total. |
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mardi 2 novembre 2010
L'Inde intéressée à prendre une part dans un champ pétrolier en Angola
AFP
KAZAKHSTAN : L'uranium de toutes les convoitises
Courrier international
La visite officielle du président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaev en France, du 26 au 28 octobre, a permis à Astana de conclure "des contrats de fourniture de trains, hélicoptères et usine de production de combustible nucléaire pour un montant total de 2 milliards d'euros", rapporte le webzine Ferghana.ru. "La Russie pâtira de ce rapprochement entre Astana et Paris", s'inquiète le journal russe Pravda. Si pour l'expert russe Andréï Grozine une coopération militaire et aérospatiale franco-kazakhe n'est pas réellement inquiétante, dans la mesure où la Russie coopère, elle aussi, dans ces domaines avec la France, l'intrusion d'Areva dans le domaine de l'extraction et du traitement de l'uranium naturel "est une nouvelle peu agréable pour Moscou, car pour elle l'uranium kazakhe est d'une importance primordiale". "Pour que l'uranium [dont le Kazakhstan est premier producteur mondial avec 14 000 tonnes extraites en 2009] ne lui échappe pas totalement, Moscou devra inventer et proposer des projet alléchants à Nazarbaev."
http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/02/l-uranium-de-toutes-les-convoitises?utm_source=www.courrierinternational.com&utm_medium=twitter&utm_content=L'anticipation+au+quotidien
La visite officielle du président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaev en France, du 26 au 28 octobre, a permis à Astana de conclure "des contrats de fourniture de trains, hélicoptères et usine de production de combustible nucléaire pour un montant total de 2 milliards d'euros", rapporte le webzine Ferghana.ru. "La Russie pâtira de ce rapprochement entre Astana et Paris", s'inquiète le journal russe Pravda. Si pour l'expert russe Andréï Grozine une coopération militaire et aérospatiale franco-kazakhe n'est pas réellement inquiétante, dans la mesure où la Russie coopère, elle aussi, dans ces domaines avec la France, l'intrusion d'Areva dans le domaine de l'extraction et du traitement de l'uranium naturel "est une nouvelle peu agréable pour Moscou, car pour elle l'uranium kazakhe est d'une importance primordiale". "Pour que l'uranium [dont le Kazakhstan est premier producteur mondial avec 14 000 tonnes extraites en 2009] ne lui échappe pas totalement, Moscou devra inventer et proposer des projet alléchants à Nazarbaev."
http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/02/l-uranium-de-toutes-les-convoitises?utm_source=www.courrierinternational.com&utm_medium=twitter&utm_content=L'anticipation+au+quotidien
dimanche 31 octobre 2010
L’ouragan Tomas provoque des dégâts dans les petites Antilles
euronews
La saison cyclonique n’est pas encore fini dans les Caraïbes. L’ouragan Tomas l’a rappelé aux habitants de la Barbade et d’autres îles des petites Antilles, comme la Martinique ce week-end. Il s’est renforcé ce dimanche matin passant de la catégorie 1 à 2 sur l‘échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5.
Tomas poursuivait sa progression sur un axe ouest-nord-ouest, en se rapprochant de la Jamaïque avec des vents de 160 km/h. D’ici le milieu de la semaine, Tomas pourrait se diriger vers Haïti où des milliers de personnes sont réfugiées dans des villages de tente depuis le tremblement de terre du 12 janvier.
Arbres arrachés, toits emportés, coupures d‘électricité : ce sont les conséquences qu’ont subi plusieurs îles des Caraïbes où des alertes ont été déclenchées. A Sainte-Lucie, le plus grand festival créole de l‘île a été annulé.
La saison cyclonique s‘étend de juin à novembre dans la région.
Avec AFP
http://fr.euronews.net/2010/10/31/l-ouragan-tomas-provoque-des-degats-dans-les-petites-antilles/
La saison cyclonique n’est pas encore fini dans les Caraïbes. L’ouragan Tomas l’a rappelé aux habitants de la Barbade et d’autres îles des petites Antilles, comme la Martinique ce week-end. Il s’est renforcé ce dimanche matin passant de la catégorie 1 à 2 sur l‘échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5.
Tomas poursuivait sa progression sur un axe ouest-nord-ouest, en se rapprochant de la Jamaïque avec des vents de 160 km/h. D’ici le milieu de la semaine, Tomas pourrait se diriger vers Haïti où des milliers de personnes sont réfugiées dans des villages de tente depuis le tremblement de terre du 12 janvier.
Arbres arrachés, toits emportés, coupures d‘électricité : ce sont les conséquences qu’ont subi plusieurs îles des Caraïbes où des alertes ont été déclenchées. A Sainte-Lucie, le plus grand festival créole de l‘île a été annulé.
La saison cyclonique s‘étend de juin à novembre dans la région.
Avec AFP
http://fr.euronews.net/2010/10/31/l-ouragan-tomas-provoque-des-degats-dans-les-petites-antilles/
Démission forcée de la directrice de l’Agence Internationale des Energies Renouvelables
Autour du bio
Par Nath le samedi 30 octobre 2010
Par Nath le samedi 30 octobre 2010
L’Agence Internationale des Energies Renouvelables (Irena), créée il y a 2 ans et dont le siège est situé aux Emirats Arabes Unis, enregistre la démission de sa directrice générale, Hélène Pelosse, "parce que les autorités du pays siège de l’Agence, les Emirats Arabes Unis ont demandé à la France de me faire démissionner et que l’on m’a contrainte à écrire une lettre de démission"…
C’est ce qu’explique cette haute fonctionnaire, ancienne directrice adjointe du cabinet du Ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, dans une interview au journal Le Monde daté de samedi 30 octobre 2010.
Elle dénonce l’achat, il y a 2 ans, par les Emirats Arabes Unis, des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence. Les pressions maintenant exercées pour obtenir le poste de direction mettent en péril l’indépendance de l’Agence. Elle raconte également, en termes diplomatiques, les "incidents de sécurité" dont elle est l’objet depuis son installation (fouilles, disparition de son passeport, intrusions à son domicile, interceptions de mails…) ! De la même façon, les fonctionnaires internationaux qui y travaillent ne bénéficient pas de l’immunité à laquelle leur statut les soumet normalement : rappelons que les Emirats sont loin d’être un modèle de démocratie…
Selon elle, de nombreux pays (Etats-Unis, Japon, Australie) n’ont aucun intérêt à voir l’Irena bien fonctionner, contrairement aux pays européens qui la soutiennent : conflits d’intérêts entretenus par les lobbies des énergies fossiles et du nucléaire.
Hélène Pelosse garde espoir pour plusieurs raisons : la Chine a tellement besoin d’énergie "qu’elle ne pourra pas se développer sans les énergies renouvelables" ; d’autre part "le potentiel des énergies renouvelables est beaucoup plus important que ce que l’on pense communément. Obtenir 80 % ou 100 % d’énergies renouvelables est à terme possible. C’est un véritable changement de paradigme. Mais beaucoup de gens ne veulent pas en entendre parler"…
http://www.autourdubio.fr/?post/demission-forcee-de-la-directrice-agence-internationale-des-energies-renouvelables-1190
C’est ce qu’explique cette haute fonctionnaire, ancienne directrice adjointe du cabinet du Ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, dans une interview au journal Le Monde daté de samedi 30 octobre 2010.
Elle dénonce l’achat, il y a 2 ans, par les Emirats Arabes Unis, des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence. Les pressions maintenant exercées pour obtenir le poste de direction mettent en péril l’indépendance de l’Agence. Elle raconte également, en termes diplomatiques, les "incidents de sécurité" dont elle est l’objet depuis son installation (fouilles, disparition de son passeport, intrusions à son domicile, interceptions de mails…) ! De la même façon, les fonctionnaires internationaux qui y travaillent ne bénéficient pas de l’immunité à laquelle leur statut les soumet normalement : rappelons que les Emirats sont loin d’être un modèle de démocratie…
Selon elle, de nombreux pays (Etats-Unis, Japon, Australie) n’ont aucun intérêt à voir l’Irena bien fonctionner, contrairement aux pays européens qui la soutiennent : conflits d’intérêts entretenus par les lobbies des énergies fossiles et du nucléaire.
Hélène Pelosse garde espoir pour plusieurs raisons : la Chine a tellement besoin d’énergie "qu’elle ne pourra pas se développer sans les énergies renouvelables" ; d’autre part "le potentiel des énergies renouvelables est beaucoup plus important que ce que l’on pense communément. Obtenir 80 % ou 100 % d’énergies renouvelables est à terme possible. C’est un véritable changement de paradigme. Mais beaucoup de gens ne veulent pas en entendre parler"…
http://www.autourdubio.fr/?post/demission-forcee-de-la-directrice-agence-internationale-des-energies-renouvelables-1190
Madagascar : Une entreprise d’extraction d’ilménite au sud-est fermée
AFRISCOOP
L'entreprise d'extraction d'ilménite nommée Qit Madagascar Minerals (QMM), basée à l'extrême sud-est de Madagascar a été fermée depuis mardi, à cause de la grève menée par l'association des jeunes dans cette région, a-t-on appris auprès d'un responsable de QMM.
Selon le directeur des affaires externes de cette entreprise canadienne, Daniel Andriamanjaka, l'association Fagnomba, qui regroupe les jeunes de la région Anosy, revendique le recrutement local et les approvisionnements locaux. Ces jeunes ne sont pas des travailleurs de QMM mais ils veulent y travailler en voyant les avantages des employés de cette entreprise.
Pourtant, Daniel Andriamanjaka a indiqué que QMM compte actuellement 560 employés dont 62% sont des natifs de la région d'Anosy.
Ces employés risquent le chômage si le barrage érigé par l'association Fagnomba bloque encore la route vers QMM. Daniel Andriamanjaka s'est plaint que les personnels de QMM n'ont pas pu rentrer chez eux lundi dernier que vers 23h00 à cause de ce barrage. Il a dit que la perte engendrée par cette grève est lourde.
Daniel Andriamanjaka a fait savoir que QMM et l'association Fagnomba ont continué leur négociation mercredi, mais cette dernière demande le licenciement de quelques cadres de cette entreprise ce qui n'est pas acceptable par QMM.
Selon le site Internet du QMM, www.riotintomadagascar.com, cette entreprise a commencé à explorer la région d'Anosy vers la fin des années 80 et en même temps à entamer des études sociales et environnementales préliminaires. Au milieu des années 90, QMM a mis en place un programme social et environnemental permanent. Une convention d'établissement, servant de cadre légal et fiscal des opérations, a été conclue en 1998 entre QMM et l'Etat malgache.
La construction a démarré en janvier 2006 et en mai 2009, la première expédition d'ilménite a été acheminée du port d'Ehoala, nouvellement construit au sud-ouest de Fort Dauphin. Le coût total de l'investissement à Madagascar et au Canada pour achever le projet est de 1,1 milliard de dollars US, avec environ 940 millions de dollars US investis à Madagascar.
L'ilménite extraite à Madagascar a une teneur en bioxyde de titane de 60%, selon le site Internet du QMM, ce qui lui confère une qualité supérieure à celle de la plupart des autres gisements dans le monde. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve4991
L'entreprise d'extraction d'ilménite nommée Qit Madagascar Minerals (QMM), basée à l'extrême sud-est de Madagascar a été fermée depuis mardi, à cause de la grève menée par l'association des jeunes dans cette région, a-t-on appris auprès d'un responsable de QMM.
Selon le directeur des affaires externes de cette entreprise canadienne, Daniel Andriamanjaka, l'association Fagnomba, qui regroupe les jeunes de la région Anosy, revendique le recrutement local et les approvisionnements locaux. Ces jeunes ne sont pas des travailleurs de QMM mais ils veulent y travailler en voyant les avantages des employés de cette entreprise.
Pourtant, Daniel Andriamanjaka a indiqué que QMM compte actuellement 560 employés dont 62% sont des natifs de la région d'Anosy.
Ces employés risquent le chômage si le barrage érigé par l'association Fagnomba bloque encore la route vers QMM. Daniel Andriamanjaka s'est plaint que les personnels de QMM n'ont pas pu rentrer chez eux lundi dernier que vers 23h00 à cause de ce barrage. Il a dit que la perte engendrée par cette grève est lourde.
Daniel Andriamanjaka a fait savoir que QMM et l'association Fagnomba ont continué leur négociation mercredi, mais cette dernière demande le licenciement de quelques cadres de cette entreprise ce qui n'est pas acceptable par QMM.
Selon le site Internet du QMM, www.riotintomadagascar.com, cette entreprise a commencé à explorer la région d'Anosy vers la fin des années 80 et en même temps à entamer des études sociales et environnementales préliminaires. Au milieu des années 90, QMM a mis en place un programme social et environnemental permanent. Une convention d'établissement, servant de cadre légal et fiscal des opérations, a été conclue en 1998 entre QMM et l'Etat malgache.
La construction a démarré en janvier 2006 et en mai 2009, la première expédition d'ilménite a été acheminée du port d'Ehoala, nouvellement construit au sud-ouest de Fort Dauphin. Le coût total de l'investissement à Madagascar et au Canada pour achever le projet est de 1,1 milliard de dollars US, avec environ 940 millions de dollars US investis à Madagascar.
L'ilménite extraite à Madagascar a une teneur en bioxyde de titane de 60%, selon le site Internet du QMM, ce qui lui confère une qualité supérieure à celle de la plupart des autres gisements dans le monde. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve4991
samedi 30 octobre 2010
petites manoeuvres incompréhensibles dans l’énergie
J’aurai sûrement l’occasion dans les prochains jours de revenir sur la décision d’EDF d’augmenter ses tarifs de 3%.
Mais comme nous sommes priés de croire que c’est bien le coût du solaire qui justifie qu’on vous augmente de 3% votre facture, faisons semblant de le croire et regardons un peu ce qui se passe.
Si à brule-pourpoint, je vous demandais de me dire où d’après vous le photovoltaïque a des chances d’être rentable, vous me répondriez vraisemblablement PACA et vous auriez raison, Languedoc-Roussillon et vous auriez encore raison, la Corse et vous auriez toujours raison et
vous ajouterez , finaud, “Et bien entendu, tous les Départements d’Outre-mer!”
ET BIEN, VOUS AURIEZ TORT! LA PREUVE DANS LE J.O. du samedi 30 octobre 2010
4 Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Saint-Martin à exploiter une installation de production d’électricité
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022971932&dateTexte=&categorieLien=id
Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Antilles à exploiter une installation de production d’électricité
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Mais comme nous sommes priés de croire que c’est bien le coût du solaire qui justifie qu’on vous augmente de 3% votre facture, faisons semblant de le croire et regardons un peu ce qui se passe.
Si à brule-pourpoint, je vous demandais de me dire où d’après vous le photovoltaïque a des chances d’être rentable, vous me répondriez vraisemblablement PACA et vous auriez raison, Languedoc-Roussillon et vous auriez encore raison, la Corse et vous auriez toujours raison et
vous ajouterez , finaud, “Et bien entendu, tous les Départements d’Outre-mer!”
ET BIEN, VOUS AURIEZ TORT! LA PREUVE DANS LE J.O. du samedi 30 octobre 2010
4 Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Saint-Martin à exploiter une installation de production d’électricité
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022971932&dateTexte=&categorieLien=id
JORF n°0253 du 30 octobre 2010 page 19532
texte n° 5
ARRETEtexte n° 5
Arrêté du 20 octobre 2010 autorisant la SNC Energies Antilles à exploiter une installation de production d’électricité
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