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mercredi 3 novembre 2010
Soupçonné d'avoir espionné Greenpeace, EDF renvoyé en correctionnelle
Le Monde
POSITIONS ANTINUCLÉAIRES
Deux des anciens responsables de la sécurité de l'entreprise, Pierre François et Pascal Durieux, sont renvoyés pour les mêmes motifs, a indiqué mardi 2 novembre Me Frédérik-Karel Canoy, avocat spécialisé dans la défense des petits actionnaires de Vivendi, partie civile dans un autre volet du dossier.
Il est reproché aux deux ex-responsables de la sécurité d'EDF d'avoir fait pirater l'ordinateur du dirigeant écologiste, en 2006, afin de recueillir des renseignements sur les activités de l'organisation non gouvernementale connue pour ses positions antinucléaires.
FLOYD LANDIS RENVOYÉ DEVANT LE TRIBUNAL
L'informaticien, auteur présumé du piratage, Alain Quiros, et le patron de l'officine privée de renseignement, ont également été renvoyés devant le tribunal correctionnel, conformément aux réquisitions du parquet de Nanterre. EDF s'est toujours dit "victime" des agissements de la sociétéKargus Consultant, coupable à ses yeux d'avoir dépassé le cadre d'un contrat signé en 2006, qui stipulait simplement une "veille" des actions menées par les écologistes.
L'instruction, ouverte en 2006, porte également sur des actes présumés d'espionnage informatique au préjudice du laboratoire de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et d'un avocat spécialisé dans la défense des petits actionnaires de Vivendi, Me Frédérik-Karel Canoy. Dans le volet sportif de l'affaire, le cycliste américain, Floyd Landis, vainqueur déchu du Tour de France en 2006, et son entraîneur Arnie Baker ont été également renvoyés devant le tribunal correctionnel de Nanterre.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/11/02/soupconne-d-avoir-espionne-greenpeace-edf-renvoye-en-correctionnelle_1434597_3224.html
Le groupe EDF et deux anciens responsables de sa sécurité ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel de Nanterre dans l'affaire de piratage informatique présumé de l'organisation de défense de l'environnement Greenpeace.
Le parquet avait requis fin août le renvoi d'EDF, mis en examen en 2009 en tant que "personne morale" pour "complicité et recel d'intrusion frauduleuse informatique" au préjudice de l'ex-directeur des campagnes de Greenpeace France, Yannick Jadot, devenu depuis député européen (Europe Ecologie).
Deux des anciens responsables de la sécurité de l'entreprise, Pierre François et Pascal Durieux, sont renvoyés pour les mêmes motifs, a indiqué mardi 2 novembre Me Frédérik-Karel Canoy, avocat spécialisé dans la défense des petits actionnaires de Vivendi, partie civile dans un autre volet du dossier.
Il est reproché aux deux ex-responsables de la sécurité d'EDF d'avoir fait pirater l'ordinateur du dirigeant écologiste, en 2006, afin de recueillir des renseignements sur les activités de l'organisation non gouvernementale connue pour ses positions antinucléaires.
FLOYD LANDIS RENVOYÉ DEVANT LE TRIBUNAL
L'informaticien, auteur présumé du piratage, Alain Quiros, et le patron de l'officine privée de renseignement, ont également été renvoyés devant le tribunal correctionnel, conformément aux réquisitions du parquet de Nanterre. EDF s'est toujours dit "victime" des agissements de la sociétéKargus Consultant, coupable à ses yeux d'avoir dépassé le cadre d'un contrat signé en 2006, qui stipulait simplement une "veille" des actions menées par les écologistes.
L'instruction, ouverte en 2006, porte également sur des actes présumés d'espionnage informatique au préjudice du laboratoire de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et d'un avocat spécialisé dans la défense des petits actionnaires de Vivendi, Me Frédérik-Karel Canoy. Dans le volet sportif de l'affaire, le cycliste américain, Floyd Landis, vainqueur déchu du Tour de France en 2006, et son entraîneur Arnie Baker ont été également renvoyés devant le tribunal correctionnel de Nanterre.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/11/02/soupconne-d-avoir-espionne-greenpeace-edf-renvoye-en-correctionnelle_1434597_3224.html
mardi 2 novembre 2010
Des matrices LED qui s’implantent sous la peau
tom's style
Chaque fois que la technologie de pointe vient apporter son aide à la médecine, le résultat ne peut être que positif. La médecine est sur le point de réaliser un grand pas en développant des matrices LED à implanter sous la peau. Il semblerait que cette implantation sous-cutanée offre de nouvelles possibilités médicales.
Dirigée par John Rogers de l’Université de l’Illinois, Urbana-Champaign, États-Unis, une équipe de chercheurs nord-américains et asiatiques a mis au point des feuilles ultra-minces de 2,5 micromètres d’épaisseur pour une surface de 100 x 100 micromètres, contenant des matrices LED et des photo-détecteurs. Implantés sous la peau, ces feuilles peuvent être utilisées à des fins biomédicales telles que la surveillance médicale, l’activation de médicaments photosensibles et d’autres applications.
Outre la médecine, il semblerait que ces implants soient également l’avenir du tatouage.Ces matrices ont été imprimées sur un substrat en verre, puis transférées sur du PDMS (polydiméthylsiloxane), un polymère biocompatible pour réaliser le maillage des LED avec les photo-détecteurs. En fait, ceci a été réalisé avec des LED organiques ou OLED que l’on sait sensible à l’eau et à l’oxygène, une fine couche de silicone servant de liant. Le substrat PDMS est très souple et les circuits fonctionnent sans problème même avec une torsion ou un allongement à 75%.
La découverte a été testée en milieu humide dans un premier temps et sous une peau animale dans un second temps. La prochaine étape sera logiquement des tests sur le corps humain.
L'Inde intéressée à prendre une part dans un champ pétrolier en Angola
AFP
Le directeur du groupe indien ONGC (d) inaugure un puits de pétrole à Kalol, près d'Ahmenabad, le 18 novembre 2009 NEW DELHI — Le groupe public indien d'énergie ONGC examine l'opportunité de racheter au géant américain ExxonMobil sa prise de participation dans un champ pétrolier en Angola, a-t-il déclaré lundi. "Nous examinons une telle opportunité" d'acheter une part dans le champ pétrolier, a déclaré à la presse à New Delhi R.S. Butola, directeur général de la branche internationale d'Oil and Natural Gas Corporation (ONGC) qui cherche à sécuriser l'approvisionnement énergétique du pays. L'Inde est "tout à fait intéressé" concernant les 25% du champ détenus par Exxon mais le groupe n'a pas encore déclaré s'il était prêt à lui céder sa part, a-t-il ajouté, précisant que la proposition avait été faite à ONGC par des banques d'investissement. Ces commentaires interviennent au lendemain d'une rencontre entre le ministre indien du Pétrole Murli Deora et son homologue angolais Jose Botelho de Vasconcelos. ONGC devrait soumettre une offre rapidement, selon le quotidien Economic Times, qui écrit lundi que la participation de l'américain serait valorisée environ 2 milliards de dollars. Un accord permettrait de stimuler l'Inde dans la course au pétrole en Afrique et dans d'autres endroits du monde engagée avec son rival économique chinois. Le champ devrait fournir 300.000 barils de brut par jour à son pic de production d'ici 2012, selon les statistiques officielles du site internet du centre américain sur l'énergie. Esso Exploration, une branche d'ExxonMobil, possède les 25% de ce champ en eau profonde opéré par le groupe britannique BP. Parmi les autres propriétaires figurent notamment l'Etat angolais et le français Total. |
KAZAKHSTAN : L'uranium de toutes les convoitises
Courrier international
La visite officielle du président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaev en France, du 26 au 28 octobre, a permis à Astana de conclure "des contrats de fourniture de trains, hélicoptères et usine de production de combustible nucléaire pour un montant total de 2 milliards d'euros", rapporte le webzine Ferghana.ru. "La Russie pâtira de ce rapprochement entre Astana et Paris", s'inquiète le journal russe Pravda. Si pour l'expert russe Andréï Grozine une coopération militaire et aérospatiale franco-kazakhe n'est pas réellement inquiétante, dans la mesure où la Russie coopère, elle aussi, dans ces domaines avec la France, l'intrusion d'Areva dans le domaine de l'extraction et du traitement de l'uranium naturel "est une nouvelle peu agréable pour Moscou, car pour elle l'uranium kazakhe est d'une importance primordiale". "Pour que l'uranium [dont le Kazakhstan est premier producteur mondial avec 14 000 tonnes extraites en 2009] ne lui échappe pas totalement, Moscou devra inventer et proposer des projet alléchants à Nazarbaev."
http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/02/l-uranium-de-toutes-les-convoitises?utm_source=www.courrierinternational.com&utm_medium=twitter&utm_content=L'anticipation+au+quotidien
La visite officielle du président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaev en France, du 26 au 28 octobre, a permis à Astana de conclure "des contrats de fourniture de trains, hélicoptères et usine de production de combustible nucléaire pour un montant total de 2 milliards d'euros", rapporte le webzine Ferghana.ru. "La Russie pâtira de ce rapprochement entre Astana et Paris", s'inquiète le journal russe Pravda. Si pour l'expert russe Andréï Grozine une coopération militaire et aérospatiale franco-kazakhe n'est pas réellement inquiétante, dans la mesure où la Russie coopère, elle aussi, dans ces domaines avec la France, l'intrusion d'Areva dans le domaine de l'extraction et du traitement de l'uranium naturel "est une nouvelle peu agréable pour Moscou, car pour elle l'uranium kazakhe est d'une importance primordiale". "Pour que l'uranium [dont le Kazakhstan est premier producteur mondial avec 14 000 tonnes extraites en 2009] ne lui échappe pas totalement, Moscou devra inventer et proposer des projet alléchants à Nazarbaev."
http://www.courrierinternational.com/breve/2010/11/02/l-uranium-de-toutes-les-convoitises?utm_source=www.courrierinternational.com&utm_medium=twitter&utm_content=L'anticipation+au+quotidien
dimanche 31 octobre 2010
L’ouragan Tomas provoque des dégâts dans les petites Antilles
euronews
La saison cyclonique n’est pas encore fini dans les Caraïbes. L’ouragan Tomas l’a rappelé aux habitants de la Barbade et d’autres îles des petites Antilles, comme la Martinique ce week-end. Il s’est renforcé ce dimanche matin passant de la catégorie 1 à 2 sur l‘échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5.
Tomas poursuivait sa progression sur un axe ouest-nord-ouest, en se rapprochant de la Jamaïque avec des vents de 160 km/h. D’ici le milieu de la semaine, Tomas pourrait se diriger vers Haïti où des milliers de personnes sont réfugiées dans des villages de tente depuis le tremblement de terre du 12 janvier.
Arbres arrachés, toits emportés, coupures d‘électricité : ce sont les conséquences qu’ont subi plusieurs îles des Caraïbes où des alertes ont été déclenchées. A Sainte-Lucie, le plus grand festival créole de l‘île a été annulé.
La saison cyclonique s‘étend de juin à novembre dans la région.
Avec AFP
http://fr.euronews.net/2010/10/31/l-ouragan-tomas-provoque-des-degats-dans-les-petites-antilles/
La saison cyclonique n’est pas encore fini dans les Caraïbes. L’ouragan Tomas l’a rappelé aux habitants de la Barbade et d’autres îles des petites Antilles, comme la Martinique ce week-end. Il s’est renforcé ce dimanche matin passant de la catégorie 1 à 2 sur l‘échelle de Saffir-Simpson qui en compte 5.
Tomas poursuivait sa progression sur un axe ouest-nord-ouest, en se rapprochant de la Jamaïque avec des vents de 160 km/h. D’ici le milieu de la semaine, Tomas pourrait se diriger vers Haïti où des milliers de personnes sont réfugiées dans des villages de tente depuis le tremblement de terre du 12 janvier.
Arbres arrachés, toits emportés, coupures d‘électricité : ce sont les conséquences qu’ont subi plusieurs îles des Caraïbes où des alertes ont été déclenchées. A Sainte-Lucie, le plus grand festival créole de l‘île a été annulé.
La saison cyclonique s‘étend de juin à novembre dans la région.
Avec AFP
http://fr.euronews.net/2010/10/31/l-ouragan-tomas-provoque-des-degats-dans-les-petites-antilles/
Démission forcée de la directrice de l’Agence Internationale des Energies Renouvelables
Autour du bio
Par Nath le samedi 30 octobre 2010
Par Nath le samedi 30 octobre 2010
L’Agence Internationale des Energies Renouvelables (Irena), créée il y a 2 ans et dont le siège est situé aux Emirats Arabes Unis, enregistre la démission de sa directrice générale, Hélène Pelosse, "parce que les autorités du pays siège de l’Agence, les Emirats Arabes Unis ont demandé à la France de me faire démissionner et que l’on m’a contrainte à écrire une lettre de démission"…
C’est ce qu’explique cette haute fonctionnaire, ancienne directrice adjointe du cabinet du Ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, dans une interview au journal Le Monde daté de samedi 30 octobre 2010.
Elle dénonce l’achat, il y a 2 ans, par les Emirats Arabes Unis, des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence. Les pressions maintenant exercées pour obtenir le poste de direction mettent en péril l’indépendance de l’Agence. Elle raconte également, en termes diplomatiques, les "incidents de sécurité" dont elle est l’objet depuis son installation (fouilles, disparition de son passeport, intrusions à son domicile, interceptions de mails…) ! De la même façon, les fonctionnaires internationaux qui y travaillent ne bénéficient pas de l’immunité à laquelle leur statut les soumet normalement : rappelons que les Emirats sont loin d’être un modèle de démocratie…
Selon elle, de nombreux pays (Etats-Unis, Japon, Australie) n’ont aucun intérêt à voir l’Irena bien fonctionner, contrairement aux pays européens qui la soutiennent : conflits d’intérêts entretenus par les lobbies des énergies fossiles et du nucléaire.
Hélène Pelosse garde espoir pour plusieurs raisons : la Chine a tellement besoin d’énergie "qu’elle ne pourra pas se développer sans les énergies renouvelables" ; d’autre part "le potentiel des énergies renouvelables est beaucoup plus important que ce que l’on pense communément. Obtenir 80 % ou 100 % d’énergies renouvelables est à terme possible. C’est un véritable changement de paradigme. Mais beaucoup de gens ne veulent pas en entendre parler"…
http://www.autourdubio.fr/?post/demission-forcee-de-la-directrice-agence-internationale-des-energies-renouvelables-1190
C’est ce qu’explique cette haute fonctionnaire, ancienne directrice adjointe du cabinet du Ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, dans une interview au journal Le Monde daté de samedi 30 octobre 2010.
Elle dénonce l’achat, il y a 2 ans, par les Emirats Arabes Unis, des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence. Les pressions maintenant exercées pour obtenir le poste de direction mettent en péril l’indépendance de l’Agence. Elle raconte également, en termes diplomatiques, les "incidents de sécurité" dont elle est l’objet depuis son installation (fouilles, disparition de son passeport, intrusions à son domicile, interceptions de mails…) ! De la même façon, les fonctionnaires internationaux qui y travaillent ne bénéficient pas de l’immunité à laquelle leur statut les soumet normalement : rappelons que les Emirats sont loin d’être un modèle de démocratie…
Selon elle, de nombreux pays (Etats-Unis, Japon, Australie) n’ont aucun intérêt à voir l’Irena bien fonctionner, contrairement aux pays européens qui la soutiennent : conflits d’intérêts entretenus par les lobbies des énergies fossiles et du nucléaire.
Hélène Pelosse garde espoir pour plusieurs raisons : la Chine a tellement besoin d’énergie "qu’elle ne pourra pas se développer sans les énergies renouvelables" ; d’autre part "le potentiel des énergies renouvelables est beaucoup plus important que ce que l’on pense communément. Obtenir 80 % ou 100 % d’énergies renouvelables est à terme possible. C’est un véritable changement de paradigme. Mais beaucoup de gens ne veulent pas en entendre parler"…
http://www.autourdubio.fr/?post/demission-forcee-de-la-directrice-agence-internationale-des-energies-renouvelables-1190
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