google.com, pub-8770072612658242, DIRECT, f08c47fec0942fa0

mardi 28 décembre 2010

Devastation, Madagascar

Mediacoop.ca

France's Total and US based Madagascar Oil tangle with military governments to push tar sands projects forward


Total's proposed tar sands operation in Madagascar is potentially the dirtiest mining operation its kind in the world, in a region where the local people have few options but to live next to it. If, as some charge, Total helped bring down a democratically elected government in order to install a regime that would favour their tar sands project, it's likely that international campaigns against Total and their social and environmental record could well expand.

In 2008 Total bought a 60% stake in the Bemolanga tar sands field, a field that they predict may operate at just under 200 000 barrels per day of bitumen using strip mining techniques developed in Alberta, Canada. The bitumen is less 'pure' in place, which means it will produce more toxic tailings and require even more water usage than the already notorious strip mines north of Fort McMurray, Alberta. If developed, the Bemolanga mine would rival the largest of the mines in operation today.

Not unlike Alberta, for at minimum of 20 years after the start of operations, Madagascar will only receive 1% in royalty payments from this development. An index published by the World bank ranks Madagascar as the 12th poorest country in the world, wedged between Nepal and Afghanistan.
Read more...

lundi 27 décembre 2010

Lettre au Père Noël : Je veux de l’électricité comme cadeau pour le Sénégal.

Mondoblog

Bonjour Papa Noël :
En ce jour de noël (votre jour préféré) et du nouvel an qui sera célébré dans quelques jours, Je voulais simplement vous dire que, quand vous descendrez du ciel avec vos jouets familiers, n'oubliez pas mon cadeau. Je veux de l'électricité !!! Rien que de l'électricité !!!
La SENELEC  nous électrocute  chaque jour

Papa Noel, l'électricité est un vrai problème dans mon pays. Malgré plus de 500 milliards de F CFA qui auraient été injectés dans la SENELEC, la Société Nationale d'Electricité ne parvient toujours pas à offrir aux usagers un service digne et satisfaisant et continue de plonger mon pays dans l'obscurité et l'insécurité la plus totale. Tous les secteurs de l'économie, tous les ménages sont touchés, aucun Sénégalais n'est épargné, même ta ville préférée de Ziguinchor est touchée. Les hôpitaux sont souvent délestés. Il y a quelques mois, trois enfants prématurés sont morts dans les crèches, suite à ces longues coupures. Je vous présente toutes mes condoléances.

dimanche 26 décembre 2010

Sables bitumineux : Le jackpot des sociétés pétrolières

Madagascar Tribune
lundi 27 décembre 2010

Avec 1% de recettes pour l'Etat contre 99% pour les sociétés exploitantes, il n'est pas certain que Madagascar sorte gagnante de l'exploitation des sables bitumineux, une activité qui est de plus extrêmement néfaste pour l'environnement.

Dans le partage des richesses pétrolières de Madagascar, s'il y a un gagnant, on ne peut pas dire que ce soit l'État malgache, mais plutôt le groupe français Total, et, dans une moindre mesure, d'autres sociétés pétrolières de plus faible envergure, dont Madagascar Oil.

En effet, c'est une véritable braderie qui a été faite en faveur de ces entreprises, l'État ne demandant, pendant 10 ans, qu'1% des recettes liées de l'exploitation de ces richesses pétrolières, ce qui laisse 99% du gâteau aux sociétés exploitantes, d'après les informations publiées sur le site Mediapart.

Si Total est le grand gagnant, c'est qu'il a acquis 60% du plus grand gisement de pétrole non conventionnel de la Grand Ile, à savoir celui de Bemolanga, qui pourrait produire jusqu'à 1,2 milliards de barils. Cette énorme part du gisement a été achetée par Total moyennant la somme de 100 millions de dollars, et les opérations de forage ont commencé depuis juillet 2009.

De son côté, la société Madagascar Oil se concentre majoritairement sur l'exploitation du gisement de Tsimiroro, dont les réserves sont estimées à un milliard de barils. L'exploration de ce bloc pétrolier est financée par le succès de l'introduction en bourse de la jeune société, cotée sur le marché de Londres depuis novembre dernier.

Madagascar doublement perdant

 

Avec seulement 1% des recettes, le pays ne profitera pas beaucoup de la manne financière que représentent les sables bitumineux. En revanche, il devra en supporter les coûts, notamment écologiques. En effet, le sable bitumineux est une forme semi solide de pétrole mélangé à de la terre, dont le captage nécessite une consommation folle d'énergie. L'empreinte carbone suscitée par cette exploitation sera donc conséquente, et le danger couru par la biodiversité locale est plus que sérieux.

Recueilli par Mona M.


http://www.madagascar-tribune.com/Le-jackpot-des-societes,15266.html

Une fusée indienne transportant un satellite explose en vol

Le Monde



Une fusée indienne transportant un satellite de communications a dû être détruite, samedi 25 décembre, par les responsables du lancement en raison d'une avarie. Le lanceur GSLV du satellite géosynchrone a dévié de sa trajectoire et a été volontairement détruit 47 secondes après avoir décollé de la base de lancement de Srihariko, dans le sud du pays. Selon l'organisation indienne de recherche spatiale (ISRO), les débris de la fusée sont tombés en pleine mer.

Télécommunications : Un projet de passerelle unique crée des vagues

Madagascar Tribune
vendredi 24 décembre 2010, par Yann

Les trois principaux opérateurs en télécommunication à Madagascar - Telma, Orange et Airtel - ont publié conjointement un communiqué condamnant un projet de mise en place d'une « passerelle internationale unique ».
Selon ce projet évoqué le 15 décembre dernier en conseil des ministres, tous les opérateurs locaux devraient faire transiter leurs communications internationales par cette passerelle opérée par une société privée.
Les opérateurs relèvent que ce projet s'accompagnera d'une nouvelle taxe perçue sur chaque communication internationale, ce qui en renchérira de manière significative le coût et accroîtra de facto l'isolement économique et social de Madagascar. Le monopole dont bénéficiera la société privée gérant cette passerelle lui permettra de bénéficier d'une confortable rente de situation, et remettrait en cause tous les principes de libéralisation.
Lire la suite...

samedi 25 décembre 2010

Total produira des biocarburants à base de canne à sucre au Brésil

AFP

SAO PAULO — Le groupe pétrolier français Total s'est associé à la filiale brésilienne de l'américain Amyris Biotechnologies pour produire des biocarburants à base de canne à sucre au Brésil, ont annoncé mardi des dirigeants des deux sociétés.

Total, cinquième groupe pétrolier privé mondial, apportera son expérience en produits chimiques et Amyris sa plate-forme technologique pour produire des biocarburants, selon eux.

Total "a décidé de développer à grande échelle de nouvelles énergies, comme la biomasse", a déclaré lors d'une conférence de presse Philippe Boisseau, directeur du département Gaz et nouvelles énergies de Total.

L'objectif des deux groupes est de développer des produits chimiques et des biocarburants, éthanol inclus, à partir de la canne à sucre.

Le Brésil est le second producteur mondial d'éthanol du monde derrière les Etats-Unis et le premier exportateur mondial de biocarburant à base de canne à sucre.

"Le Brésil aujourd'hui est au centre de notre intérêt. Aujourd'hui la canne à sucre au Brésil est la seule manière de produire des énergies propres sans subventions ni déforestation", a souligné M. Boisseau.

Le président de Amyris, Jonh Melo, a dit espérer pouvoir commercialiser à partir de 2012 certains des carburants développés.

En 2009, Amyris a inauguré la première usine au monde de biodiesel à base de canne à sucre à Campinas dans l'Etat de Sao Paulo (sud-est du Brésil).


http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hp5Som6nRoJBCZPLVoqzenQzkZFQ?docId=CNG.8630c50096a3c471dd01bbeb31a65a01.3d1

vendredi 24 décembre 2010

Skype : un lent retour à la normale

Silicon.fr
Le service de communications sur IP Skype a retrouvé son fonctionnement normal au fil des heures jeudi après la panne qui a mis son réseau à plat mercredi. Mais l'origine du problème reste inconnue.

Retour progressif à la normale pour Skype. Hier, jeudi 23 décembre, 90 % des utilisateurs pouvaient de nouveau bénéficier du populaire service de communications sur IP, selon une déclaration (en ligne) du P-dg Tony Bates. Skype était tombé en panne vers 16 heures (en Europe) privant les centaines de millions d'utilisateurs dans le monde de messagerie instantanée, communications téléphoniques Internet et vidéo-conférences. Un incident qui a duré de longue heures, privant encore plusieurs millions d'utilisateur du service en début de journée d'hier.

Tous les services n'étaient néanmoins pas opérationnels. « Merci de noter que certaines fonctionnalités peuvent ne pas fonctionner de manière aussi fiable que prévu - le statut des profils en ligne peut être lent à se mettre à jour, et les messages instantanés peuvent ne pas être livré aussi vite qu'ils le sont normalement. La visiophonie de groupe prendra plus de temps pour revenir à la normale », précisait le responsable de la communication en ligne Peter Parkes. En revanche, les entreprises qui utilisent l'offre Skype Connect n'ont pas été affectées par la panne. Un bon point pour l'offre entreprise. Skype Connect permet de bénéficier des conditions tarifaires de Skype à partir d'un PABX ou d'une solution de messagerie unifiée.
Que s'est-il passé? Difficile à dire. Skype laisse entendre qu'un dysfonctionnement de son logiciel a mis à plat les supernodes, les grappes de serveurs reliés entre eux par le protocole propriétaire peer-to-peer et qui assurent la mise en relation entre les utilisateurs mais aussi vers les postes téléphoniques traditionnels (fixes et mobiles). L'entreprise basée au Luxembourg se montre peut disserte sur l'origine de ce dysfonctionnement. « Nous comprenons maintenant la cause du problème et nous pensons qu'il n'a pas été causé par une attaque malveillante, déclare Tony Bates. Mais, nous faisons encore une analyse complète et nous vous fournirons une analyse approfondie post-mortem. »
En signe de bonne volonté, Skype entend dédommager ses utilisateurs payants d'un bon de 30 minutes de communications partout dans le monde et une semaine d'abonnement supplémentaire. Une mesure dont la mise en place pourrait nécessiter « quelques jours » prévient l'éditeur. Il n'en reste pas moins que ce genre d'incident montre le risque, pour un utilisateur ou une entreprise, de s'appuyer sur la seule solution de Skype pour ses communications.
L'entreprise fondée par fondée par Niklas Zennström et Janus Friij vise l'entrée en Bourse, ce qui lui permettrait de trouver les fonds pour renforcer son infrastructure et éviter tant que possible ce type de panne mondiale.


http://www.silicon.fr/skype-un-lent-retour-a-la-normale-43501.html