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vendredi 18 février 2011
jeudi 17 février 2011
USA: cyberattaques "inévitables" (NSA)
AFP
Le chef de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a appelé hier les responsables de la sécurité informatique américains à renforcer le dispositif des Etats-Unis pour se prémunir de cyberattaques qu'il juge "inévitables".
La cybersécurité est l'une des priorités du président Barack Obama, qui a nommé en 2009 un ancien conseiller de l'administration Bush, Howard Schmidt, au poste de coordinateur pour ces questions.
Le chef de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a appelé hier les responsables de la sécurité informatique américains à renforcer le dispositif des Etats-Unis pour se prémunir de cyberattaques qu'il juge "inévitables".
"L'heure est grave", a déclaré Keith Alexander, le directeur de la NSA, à la conférence RSA qui porte chaque année sur la sécurité des systèmes d'information. "La plupart des outils conçus pour détruire n'ont pas encore été utilisés; nous devons tirer parti de cette fenêtre d'opportunité pour améliorer notre défense".
Deux jours plus tôt, le secrétaire adjoint à la Défense William Lynn avait envoyé le même type de message, en soulignant que des logiciels malveillants pouvaient, à travers le monde, causer des dégâts au niveau de points névralgiques comme des centrales électriques.
"Dans l'histoire des conflits, plusieurs armes qui ont déjà été mises au point n'ont pas encore été utilisées", a-t-il déclaré lors d'un discours à la conférence RSA.
"On peut tout à fait imaginer des attaques contre des réseaux militaires ou des infrastructures sensibles comme les systèmes de transport ou le secteur de l'énergie, qui causeraient des dégâts économiques importants, des destructions matérielles et même des morts", a-t-il insisté.
La cybersécurité est l'une des priorités du président Barack Obama, qui a nommé en 2009 un ancien conseiller de l'administration Bush, Howard Schmidt, au poste de coordinateur pour ces questions.
Le Pentagone et le département à la Sécurité intérieure américain ont ainsi dévoilé en octobre un accord visant à améliorer la protection des réseaux informatiques militaires et privés face à la menace grandissante de cyberattaques.
Cet accord visant à améliorer les capacités de l'Amérique à protéger les systèmes informatiques et des réseaux militaires et civils cruciaux contre les menaces devait notamment permettre de clarifier les rôles de chacun et de créer des passerelles entre la NSA, l'Agence de sécurité nationale américaine qui dépend du Pentagone, et le ministère de la Sécurité intérieure.
mercredi 16 février 2011
Gold Mining in Madagascar
By Leia Michele Toovey- Exclusive to Gold Investing News
Madagascar is an up and coming mining country, considered one of the best gold exploration targets in Africa. Madagascar is the third-largest island in the world, located approximately 400 km from the African mainland across the Mozambique Channel. A significant gold producer in the past, Madagascar's mining and exploration industry is largely underdeveloped due to a tumultuous political history.
samedi 12 février 2011
Le cyclone Bingiza se dirige vers Madagascar
France
L'île de la Réunion a connu de fortes intempéries la semaine dernière. On a relevé en quelques jours l'équivalent de deux mois de pluie sur Saint-Denis, dont plus de 300 mm le 29 Janvier. Depuis, le temps était redevenu plus calme sur l'île.
Menace cyclonique pour Madagascar
Actuellement, le phénomène Bingiza évolue en cyclone de catégorie 1 sur 5, au nord-est de Madagascar, à environ 700 km au nord-ouest de la Réunion. Ce cyclone apporte de forts orages, mais aussi des rafales de vent proches de 140 km/h en pleine mer. Sa trajectoire est encore à fiabiliser, mais la Réunion ne devrait pas être menacée, au contraire de Madagascar d'ici lundi.
Fortes pluies sur la Réunion
En revanche, en liaison avec un flux d'est chaud et humide, de nouvelles pluies abondantes sont attendues sur l'île, notamment en sa partie orientale " au vent " . De nouveaux risques d'inondation sont à redouter, les sols étant saturés d'humidité.
samedi 5 février 2011
Australie/cyclone: les dégâts pourraient coûter jusqu'à 3,7 mrd EUR (experts)
ROMANDIE NEWS
Paris (awp/afp) - Le coût des dégâts occasionnés par le cyclone Yasi, qui a frappé la côte nord-est de l'Australie dans la nuit de mercredi à jeudi, pourrait atteindre jusqu'à 3,7 milliards d'euros, selon les extrapolations les plus pessimistes des experts en modélisation des sinistres.
Le cyclone, d'une intensité maximale lorsqu'il a touché terre, n'a pas fait de victime directe mais a dévasté la zone située au sud de la ville touristique de Cairns (côte nord-est). Yasi a continué vendredi de progresser à l'intérieur des terres mais sa puissance a diminué et il a été rétrogradé en catégorie 1, sur une échelle qui en compte cinq.
La société Eqecat, l'une des grandes spécialistes de la modélisation des conséquences financières des événements naturels, a estimé entre 2,2 et 3,7 milliards d'euros le coût des dégâts.
Son concurrent AIR a estimé que le coût des dommages pourrait se situer entre 250 millions et 1,10 milliard d'euros pour les seuls biens assurés.
Pour le groupe d'experts de Tropical Storm Risk, cités par le site Market Watch, les pertes assurées pourraient dépasser 2,6 milliards d'euros.
Ces sociétés de modélisation s'appuient sur des données historiques et des formules mathématiques complexes pour mesurer l'impact potentiel des catastrophes naturelles. Tous les grands assureurs utilisent leurs services et sont ainsi parvenus à réduire leur exposition aux risques les plus coûteux.
La région la plus touchée par la tempête, dans le Queensland, est celle des plantations de canne à sucre et de bananes. Cet Etat avait déjà été touché par les inondations dévastatrices de fin 2010/début 2011, où l'équivalent de 450 millions d'euros de récoltes avaient été détruits.
Quelque 20% des plantations de canne à sucre ont déchiquetés par les vents, représentant un manque à gagner de 370 millions d'euros.
L'Australie occupe le troisième rang mondial des exportations de sucre: 85% de sa production part vers l'Asie et rapporte 1,5 milliards d'euros par an.
Quant à la banane, encore plus durement touchée, 85% de la production australienne a été détruite, selon la fédération des fermiers.
http://www.romandie.com/infos/news2/201102041900261AWP.asp
Paris (awp/afp) - Le coût des dégâts occasionnés par le cyclone Yasi, qui a frappé la côte nord-est de l'Australie dans la nuit de mercredi à jeudi, pourrait atteindre jusqu'à 3,7 milliards d'euros, selon les extrapolations les plus pessimistes des experts en modélisation des sinistres.
Le cyclone, d'une intensité maximale lorsqu'il a touché terre, n'a pas fait de victime directe mais a dévasté la zone située au sud de la ville touristique de Cairns (côte nord-est). Yasi a continué vendredi de progresser à l'intérieur des terres mais sa puissance a diminué et il a été rétrogradé en catégorie 1, sur une échelle qui en compte cinq.
La société Eqecat, l'une des grandes spécialistes de la modélisation des conséquences financières des événements naturels, a estimé entre 2,2 et 3,7 milliards d'euros le coût des dégâts.
Son concurrent AIR a estimé que le coût des dommages pourrait se situer entre 250 millions et 1,10 milliard d'euros pour les seuls biens assurés.
Pour le groupe d'experts de Tropical Storm Risk, cités par le site Market Watch, les pertes assurées pourraient dépasser 2,6 milliards d'euros.
Ces sociétés de modélisation s'appuient sur des données historiques et des formules mathématiques complexes pour mesurer l'impact potentiel des catastrophes naturelles. Tous les grands assureurs utilisent leurs services et sont ainsi parvenus à réduire leur exposition aux risques les plus coûteux.
La région la plus touchée par la tempête, dans le Queensland, est celle des plantations de canne à sucre et de bananes. Cet Etat avait déjà été touché par les inondations dévastatrices de fin 2010/début 2011, où l'équivalent de 450 millions d'euros de récoltes avaient été détruits.
Quelque 20% des plantations de canne à sucre ont déchiquetés par les vents, représentant un manque à gagner de 370 millions d'euros.
L'Australie occupe le troisième rang mondial des exportations de sucre: 85% de sa production part vers l'Asie et rapporte 1,5 milliards d'euros par an.
Quant à la banane, encore plus durement touchée, 85% de la production australienne a été détruite, selon la fédération des fermiers.
http://www.romandie.com/infos/news2/201102041900261AWP.asp
mardi 1 février 2011
Les gaz de schiste déchaînent les passions
Le Figaro
En dépit des projets qui sont sur la table, l’exploration en France ne devrait pas démarrer avant plusieurs années. Mais, d’ores et déjà, les écologistes stigmatisent une menace sur l’environnement.
Il y a encore quelques semaines, le gaz de schiste était un sujet de spécialiste de l’énergie. Mais depuis que José Bové s’est emparé du sujet, les shale gas , selon le terme anglais dont abusent les professionnels, sont brusquement devenus un enjeu de débat national. Une menace venue d’outre-Atlantique à bannir coûte que coûte de l’Hexagone pour les écologistes; un eldorado susceptible de réduire la dépendance énergétique de la France, pour Total ou GDF Suez.
Le gaz de schiste est du gaz naturel -du méthane- ordinaire. Mais, au lieu de reposer en grandes quantités dans des poches souterraines, il est niché dans les microfissures de couches de schistes, souvent à plus de 1000 mètres de profondeur. Les progrès récents des techniques de forage avec fracturation l’ont rendu exploitable et ont provoqué une authentique révolution énergétique aux États-Unis en l’espace de deux ans.
Plusieurs cas de pollution
Si la production de gaz de schiste reste aujourd’hui circonscrite aux États-Unis, le ministère de l’Écologie a accordé en mars dernier trois permis à Total et à la société de Dallas Schuepbach, avec qui GDF Suez est en discussion, pour participer à l’exploration à hauteur de 20%. Dix autres permis sont en cours d’instruction en France. Alors que les géologues de Total en sont encore à analyser des carottes de roche extraites il y a quarante ans, les appels à protéger l’Ardèche, le Larzac ou les Cévennes contre l’invasion des derricks se multiplient. Interpellée dans l’Hémicycle la semaine dernière, la ministre de l’Écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, a tenté de rassurer: «Pas question» de suivre l’exemple des États-Unis, où «des techniques dangereuses pour l’environnement» ont été employées.
Le fait est que l’extraction de méthane piégé nécessite d’injecter de très grandes quantités d’eau pour fracturer la roche et qu’au Texas, en particulier, les associations environnementales ont dénoncé plusieurs cas de pollution. En outre, malgré des forages coudés qui parcourent environ 1,5 km à l’horizontale, il faut une densité de puits assez importante, un tous les 3 kilomètres environ, pour tirer parti d’un gisement. Une fois un puits foré, le derrick est démonté et il ne reste en surface plus qu’un «sapin de Noël», haut de 2 ou 3 mètres, mais il faut des canalisations pour évacuer le gaz.
À en croire un document interne de Total cité par Les Échos, les gisements du sud de la France renfermeraient 2380 milliards de mètres cubes de gaz, soit cinquante ans de consommation nationale! Une estimation encore toute théorique, relativise le géant pétrolier.
Sur le permis de Montélimar de 4327 km2 accordé pour cinq ans, «nous allons commencer par une étude de géosciences de deux ans, expliquait récemment Martin Deffontaines, du groupe Total. Puis nous ferons des études de faisabilité technique avec un à trois forages verticaux. Il n’y aura pas de shale en France avant trois ans. Plutôt pas avant dix ans, même.» Et ce responsable de l’exploration-production de conclure: «Notre activité n’est durable que si elle est acceptable. C’est un vrai défi, ce sera compliqué.»
lundi 31 janvier 2011
Grande-Bretagne : une piscine chauffée grâce à la chaleur d’un crématorium ?
zegreenweb
par Margaux Jobin, Jeudi 27 janvier 2011
par Margaux Jobin, Jeudi 27 janvier 2011
Pour faire des économies, d'aucuns diraient se montrer respectueux de l'environnement certains sont prêts à faire pas mal de choses, y compris à heurter la morale. Une nouvelle source de chaleur fait parler d'elle outre-Manche. Le conseil municipal de la petite ville de Redditch, près de Birmingham, propose en effet de chauffer la piscine municipale et son centre de loisirs… avec les résidus de chaleur du crématorium de la commune. Une initiative qui réduirait considérablement le bilan carbone de l'installation municipale mais qui, on s'en doute, ne fait pas l'unanimité.
La municipalité défend cependant les avantages environnementaux de son projet, lequel permettrait aussi une économie de 17 000 euros par an. Ses adversaires, eux, trouvent malsain de se servir de la chaleur des morts pour permettre à d'autres d'aller nager et vont jusqu'à exiger des excuses de la municipalité pour avoir lancé cette idée.
La décision finale sera prise lors du prochain conseil municipal, le 7 février. En attendant cette polémique soulève une question intéressante : jusqu'où êtes vous prêts à aller pour aider à la sauvegarde de la planète ?
Crédit photo : flickr - christine zenino
http://www.zegreenweb.com/sinformer/politique-societe/grande-bretagne-une-piscine-chauffee-grace-a-la-chaleur-d%E2%80%99un-crematorium,20712
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