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samedi 5 mars 2011
Juridictions minières:Madagascar est en fin de liste
AFRIQUE HEBDO
Madagascar est parmi les dix territoires les moins attrayants au monde pour l'investissement minier. C'est ce qui ressort de l'enquête annuelle internationale auprès des dirigeants de l'industrie minière, publiée hier par l'Institut Fraser, l'organisme de recherche en politiques publiques le plus réputé du Canada.
Dans le cadre de son Enquête sur les sociétés minières 2010-2011, l'Institut Fraser a interrogé les dirigeants de 494 sociétés d'exploration et de développement miniers sur le climat d'investissement de 79 territoires dans le monde. C'est la première fois que Madagascar participait à ce classement, où il termine à la 73e place.
Les sociétés participant à l'enquête ont déclaré des dépenses d'exploration de 2,43 milliards de dollars américains en 2010 et de 1,86 milliard de dollars américains en 2009.
Elles étaient interrogées sur les conséquences dans leurs politiques d'investissement de la taxation en vigueur, de la situation des infrastructures, des conditions socio-économiques, des polémiques sur les questions d'appartenance des terres exploitées, de la situation politique, du potentiel minéralogique, des barrières commerciales, de l'accès à l'information, de la sécurité, de la présence ou non de compétences locales, et de leur vision de l'avenir.
Les réponses concernant Madagascar sont sans surprise. Des chefs d'entreprises minières interrogés, pas un seul n'a remis en cause le potentiel de l'île en ressources minières. Cependant, ils ont tous cité l'instabilité politique et leur incertitude quant à une amélioration dans un avenir proche. 22% des sondés ont même déclaré suspendre leurs investissements à cause de cette incertitude politique. Tous les autres facteurs de risque cités ci-dessus ont été évoqués par une grande proportion de sondés, 90% se plaignent du manque de compétences locales, 75% du manque d'infrastructures, 63% de l'insécurité, 60% des barrières commerciales, 43% de la législation sur le travail…
« Cette situation politique est d'autant plus regrettable que le potentiel du pays est vraiment intéressant », a remarqué un des chefs d'entreprises interrogés.
La plupart des territoires se situent en Amérique du Nord. La première place est d'ailleurs raflée par l'Alberta (Canada)
jeudi 3 mars 2011
mercredi 2 mars 2011
"Il est difficile de mobiliser les politiques sur le problème de la pollution de l'air"
LeMonde.fr
Bleuen : Quelles sont les principales maladies déclenchées par la pollution atmosphérique ?
Gaëlle Dupont : La pollution déclenche principalement des maladies respiratoires, des asthmes chez l'enfant, des bronchites chroniques chez les personnes de plus de 65 ans, et des maladies cardiovasculaires chez les plus âgés. Elle est aussi responsable de l'aggravation de pathologies déjà présentes, comme l'asthme.
Une étude scientifique a montré une association entre la pollution aux particules fines et le cancer du poumon.
Lire la suite...
Bleuen : Quelles sont les principales maladies déclenchées par la pollution atmosphérique ?
Gaëlle Dupont : La pollution déclenche principalement des maladies respiratoires, des asthmes chez l'enfant, des bronchites chroniques chez les personnes de plus de 65 ans, et des maladies cardiovasculaires chez les plus âgés. Elle est aussi responsable de l'aggravation de pathologies déjà présentes, comme l'asthme.
Une étude scientifique a montré une association entre la pollution aux particules fines et le cancer du poumon.
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mardi 22 février 2011
Lourd bilan pour Bingiza à Madagascar : 15 mort et 85.000 sinistrés
Zinfos974
Après que le cyclone Bingiza ait définitivement quitté Madagascar samedi, les autorités malgaches ont fait le bilan du passage du cyclone sur l'île. Selon le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC), il y aurait 15 morts, neuf disparus et 61 blessés. Sont également dénombrés 85.000 sinistrés, dont 20.000 sont sans-abri.
Pour rappel, Bingiza a traversé deux fois la Grande île, tout d'abord par le Nord, pour ensuite faire demi-tour et toucher le Sud. L'année dernière c'est la tempête tropicale Hubert qui avait ravagé Madagascar causant 78 morts et la perte des récoltes dans le Sud de l'île.
http://www.zinfos974.com/Lourd-bilan-pour-Bingiza-a-Madagascar-15-mort-et-85-000-sinistres_a26048.html?com
Bingiza au stade de cyclone juste avant son premier passage sur Madagascar. |
Après que le cyclone Bingiza ait définitivement quitté Madagascar samedi, les autorités malgaches ont fait le bilan du passage du cyclone sur l'île. Selon le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC), il y aurait 15 morts, neuf disparus et 61 blessés. Sont également dénombrés 85.000 sinistrés, dont 20.000 sont sans-abri.
Pour rappel, Bingiza a traversé deux fois la Grande île, tout d'abord par le Nord, pour ensuite faire demi-tour et toucher le Sud. L'année dernière c'est la tempête tropicale Hubert qui avait ravagé Madagascar causant 78 morts et la perte des récoltes dans le Sud de l'île.
http://www.zinfos974.com/Lourd-bilan-pour-Bingiza-a-Madagascar-15-mort-et-85-000-sinistres_a26048.html?com
vendredi 18 février 2011
jeudi 17 février 2011
USA: cyberattaques "inévitables" (NSA)
AFP
Le chef de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a appelé hier les responsables de la sécurité informatique américains à renforcer le dispositif des Etats-Unis pour se prémunir de cyberattaques qu'il juge "inévitables".
La cybersécurité est l'une des priorités du président Barack Obama, qui a nommé en 2009 un ancien conseiller de l'administration Bush, Howard Schmidt, au poste de coordinateur pour ces questions.
Le chef de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a appelé hier les responsables de la sécurité informatique américains à renforcer le dispositif des Etats-Unis pour se prémunir de cyberattaques qu'il juge "inévitables".
"L'heure est grave", a déclaré Keith Alexander, le directeur de la NSA, à la conférence RSA qui porte chaque année sur la sécurité des systèmes d'information. "La plupart des outils conçus pour détruire n'ont pas encore été utilisés; nous devons tirer parti de cette fenêtre d'opportunité pour améliorer notre défense".
Deux jours plus tôt, le secrétaire adjoint à la Défense William Lynn avait envoyé le même type de message, en soulignant que des logiciels malveillants pouvaient, à travers le monde, causer des dégâts au niveau de points névralgiques comme des centrales électriques.
"Dans l'histoire des conflits, plusieurs armes qui ont déjà été mises au point n'ont pas encore été utilisées", a-t-il déclaré lors d'un discours à la conférence RSA.
"On peut tout à fait imaginer des attaques contre des réseaux militaires ou des infrastructures sensibles comme les systèmes de transport ou le secteur de l'énergie, qui causeraient des dégâts économiques importants, des destructions matérielles et même des morts", a-t-il insisté.
La cybersécurité est l'une des priorités du président Barack Obama, qui a nommé en 2009 un ancien conseiller de l'administration Bush, Howard Schmidt, au poste de coordinateur pour ces questions.
Le Pentagone et le département à la Sécurité intérieure américain ont ainsi dévoilé en octobre un accord visant à améliorer la protection des réseaux informatiques militaires et privés face à la menace grandissante de cyberattaques.
Cet accord visant à améliorer les capacités de l'Amérique à protéger les systèmes informatiques et des réseaux militaires et civils cruciaux contre les menaces devait notamment permettre de clarifier les rôles de chacun et de créer des passerelles entre la NSA, l'Agence de sécurité nationale américaine qui dépend du Pentagone, et le ministère de la Sécurité intérieure.
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