Avant, elles étaient très grosses, et souvent seules. Aujourd'hui, elles apparaissent de moins en moins massives et de plus en plus groupées : quinze années de recherche et près de 500 découvertes ont largement fait évoluer notre connaissance des exoplanètes, ces mondes qui orbitent autour d'étoiles loin de notre Soleil.
google.com, pub-8770072612658242, DIRECT, f08c47fec0942fa0
vendredi 27 août 2010
Fuites médiatiques sur les fuites de pétrole dans le delta du Niger
Echo Nature
Depuis plusieurs mois, le PNUE (1) a ouvert une enquête, à la demande du gouvernement du Nigéria, afin de faire la lumière sur l'origine des fuites de pétrole qui ont pollué le pays Ogoni, situé dans le delta du Niger, au cours des dernières années. D'ici octobre prochain, les équipes du PNUE rendues sur place devraient ainsi avoir terminé les prélèvements d'échantillons d'eau, d'air, de terre, de sédiments, de végétaux et ceux effectués sur animaux. Destinés à être analysés en laboratoires, ceux-ci devraient permettre d'établir plus précisément l'impact environnemental des fuites pétrolières survenues dans cette région, et ainsi de mieux cibler les opérations de nettoyage des sites contaminés.
Rappelant son souhait de ne publier aucun résultat partiel avant la fin de l'enquête, le PNUE a souhaité éclaircir le discours récemment rapporté par certains médias. Ceux-ci révélaient, en effet, que 90 % des déversements d'hydrocarbures dans le pays Ogoni étaient le fait d'activités criminelles et du « bunkering », pratique consistant à percer illégalement des oléoducs afin de détourner une partie du pétrole qui y transite. Or, l'organisme affirme avoir spécifié lors de la publication de ces données que celles-ci étaient des estimations officielles du gouvernement nigérian et « basées en partie sur les données fournies par l'industrie pétrolière ». Affirmant que l'enquête est réalisée « en toute indépendance, intégrité et transparence », il a en outre appelé au respect des équipes scientifiques présentes sur le terrain. A l'heure d'aujourd'hui, les conclusions officielles du PNUE sur ce dossier sont attendues pour début 2011.
D'après l'organisme des Nations Unies, le financement de l'enquête en cours a été négocié avec le gouvernement du Nigéria et la branche nigériane de la société Shell Petroleum Development Company (SPDC). De fait, en accord avec le principe pollueur/payeur, Shell prend en charge le coût des investigations, estimé à 9,5 millions de dollars.
Cécile Cassier
http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=4354
Depuis plusieurs mois, le PNUE (1) a ouvert une enquête, à la demande du gouvernement du Nigéria, afin de faire la lumière sur l'origine des fuites de pétrole qui ont pollué le pays Ogoni, situé dans le delta du Niger, au cours des dernières années. D'ici octobre prochain, les équipes du PNUE rendues sur place devraient ainsi avoir terminé les prélèvements d'échantillons d'eau, d'air, de terre, de sédiments, de végétaux et ceux effectués sur animaux. Destinés à être analysés en laboratoires, ceux-ci devraient permettre d'établir plus précisément l'impact environnemental des fuites pétrolières survenues dans cette région, et ainsi de mieux cibler les opérations de nettoyage des sites contaminés.
Rappelant son souhait de ne publier aucun résultat partiel avant la fin de l'enquête, le PNUE a souhaité éclaircir le discours récemment rapporté par certains médias. Ceux-ci révélaient, en effet, que 90 % des déversements d'hydrocarbures dans le pays Ogoni étaient le fait d'activités criminelles et du « bunkering », pratique consistant à percer illégalement des oléoducs afin de détourner une partie du pétrole qui y transite. Or, l'organisme affirme avoir spécifié lors de la publication de ces données que celles-ci étaient des estimations officielles du gouvernement nigérian et « basées en partie sur les données fournies par l'industrie pétrolière ». Affirmant que l'enquête est réalisée « en toute indépendance, intégrité et transparence », il a en outre appelé au respect des équipes scientifiques présentes sur le terrain. A l'heure d'aujourd'hui, les conclusions officielles du PNUE sur ce dossier sont attendues pour début 2011.
D'après l'organisme des Nations Unies, le financement de l'enquête en cours a été négocié avec le gouvernement du Nigéria et la branche nigériane de la société Shell Petroleum Development Company (SPDC). De fait, en accord avec le principe pollueur/payeur, Shell prend en charge le coût des investigations, estimé à 9,5 millions de dollars.
Cécile Cassier
http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=4354
Réchauffement climatique : Kofi Annan mobilise
JEUNE AFRIQUE
Invitées par Kofi Annan, l’ancien secrétaire général de l’ONU, à participer (du 2 au 4 septembre, à Accra) au Forum sur la révolution verte en Afrique (AGRF), une série de personnalités ont donné leur accord de principe. Parmi elles : Judith Rodin, présidente de la Fondation Rockefeller ; Jorgen Ole Haslestad, PDG de Yara International (leader mondial des engrais minéraux) ; Clive Tasker, président de Standard Bank Africa ; Ibrahim Assane Mayaki, directeur du Nepad ; Kanayo Nwanze, président du Fonds international de développement agricole (Fida) ; ainsi que les présidents du Ghana, de la Tanzanie et du Nigeria. L’objectif est de mobiliser des financements pour lutter contre le réchauffement climatique, qui, d’ici à 2050, pourrait réduire les rendements agricoles en Afrique de 20% à 30%.
Invitées par Kofi Annan, l’ancien secrétaire général de l’ONU, à participer (du 2 au 4 septembre, à Accra) au Forum sur la révolution verte en Afrique (AGRF), une série de personnalités ont donné leur accord de principe. Parmi elles : Judith Rodin, présidente de la Fondation Rockefeller ; Jorgen Ole Haslestad, PDG de Yara International (leader mondial des engrais minéraux) ; Clive Tasker, président de Standard Bank Africa ; Ibrahim Assane Mayaki, directeur du Nepad ; Kanayo Nwanze, président du Fonds international de développement agricole (Fida) ; ainsi que les présidents du Ghana, de la Tanzanie et du Nigeria. L’objectif est de mobiliser des financements pour lutter contre le réchauffement climatique, qui, d’ici à 2050, pourrait réduire les rendements agricoles en Afrique de 20% à 30%.
jeudi 26 août 2010
Priorité à l'eau potable dans les régions inondées ou arides
America.gov
Par Christopher Connell
Rédacteur
Par Christopher Connell
Rédacteur
Washington - Les inondations au Pakistan et les sécheresses en Afrique subsaharienne représentent les deux pôles extrêmes des difficultés mortelles auxquelles se heurtent des millions de personnes quotidiennement de par le monde : le manque d'eau et d'assainissement.
L'an dernier, les États-Unis ont dépensé 774 millions de dollars pour aider 62 pays en développement à faire face à leurs problèmes en matière d'eau, dont 48 millions au titre de projets au Pakistan réalisés par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). Les secours d'urgence qui sont actuellement dépêchés vers ce pays dévasté par les inondations accroîtront encore davantage le total des fonds alloués par l'USAID à l'assistance dans le domaine de l'eau et de l'assainissement pour l'année 2010.
mercredi 25 août 2010
Dengue : deux élus antillais demandent l'instauration du service civique
Les présidents des Conseils régionaux de Guadeloupe et Martinique, Victorin Lurel et Serge Letchimy, ont demandé à la ministre de la Santé l'activation "sans délais" des dispositifs de service civique pour lutter contre la destruction des gîtes larvaires de moustiques, vecteurs de la dengue.
Dans un lettre rendue publique mardi soir et adressée la veille, les deux députés écrivent que "la Martinique et la Guadeloupe vivent une épidémie de dengue sans précédent: déjà 18 morts", et qui prennent acte de la décision gouvernementale de mobiliser l'armée pour contribuer à la destruction des gîtes larvaires.
Une soixantaine de militaires ont entrepris, lundi en Martinique et mardi en Guadeloupe, de nettoyer chenaux et gouttières d'écoles communales où les moustiques, profitant de la plus petite flaque d'eau stagnante, pondent.
Pour justifier l'instauration "sans délais" du service civique dans leurs départements, MM. Lurel et Letchimy affirment que "l'urgence de la situation nécessite à nos yeux de bousculer les procédures afin que nous puissions nous appuyer sur des équipes de jeunes que nous pourrons ainsi constituer rapidement".
Ils soulignent que "ces équipes pourraient intervenir sur le terrain en matière d'identification et de localisation des gîtes". "Cette action de proximité nous paraît à même de rendre plus efficace l'action des pouvoirs publics", ajoutent-ils.
"L'urgence de la situation commande une réaction coordonnée et unitaire dans la perspective d'éradiquer cette épidémie" concluent les deux parlementaires.
L'épidémie de dengue, qui a déjà touché 26.000 personnes en Martinique et 33.OOO en Guadeloupe, a fait une cinquième victime dans ce département d'outre-mer avec le décès, durant le week-end écoulé, d'un jeune homme de 16 ans.
La dengue a déjà fait 13 victimes en Martinique, confrontée à la circulation de deux (DEN1 et DEN4) des quatre stéréotypes, contre un seul (DEN1) en Guadeloupe, de cette "grippe tropicale" transmise par les piqûres d'un moustique, l'Aedes aegypti aux Antilles.
mardi 24 août 2010
Newly discovered microbe helped disperse oil, study finds
CNN
By Vivian Kuo
By Vivian Kuo
(CNN) -- A new study finds oil spilled into the Gulf of Mexico from a ruptured BP well degraded at a rate that was "much faster than anticipated," thanks to the interaction of a newly-found and unclassified species of microbes with the oil particles.
Berkeley Lab's Earth Sciences Division and the Energy Biosciences Institute examined a dispersed oil plume that was formed at a depth of between 3,600 and 4,000 feet and extended some 10 miles out from the wellhead.
"Our findings show that the influx of oil profoundly altered the microbial community by significantly stimulating deep-sea psychrophilic (cold-temperature) gamma-proteobacteria that are closely related to known petroleum-degrading microbes," said Terry Hazen, a microbial ecologist and principal investigator on the study.
The cold-temperature bacteria "appears to be one of the major mechanisms behind the rapid decline of the deepwater dispersed oil plume that has been observed," Hazen said.
Inscription à :
Articles (Atom)