google.com, pub-8770072612658242, DIRECT, f08c47fec0942fa0

lundi 25 octobre 2010

Côte d'Ivoire : Total acquiert 60% dans le permis d'exploration CI-100


A quelques jours de l'élection présidentielle, Total vient de signer un important contrat avec Yam's Petroleum qui lui permet d'acquérir 60% dans le permis CI-100. Cette opération selon les responsables de Total aurait reçu l'aval des autorités ivoiriennes. Ci-dessous le communiqué rédigé à cet effet. Nous le publions en intégralité pour que les internautes l'apprécient. CHEICKNA D. Salif


COMMUNIQUE: Côte d'Ivoire : Total acquiert une participation dans le permis d'exploration CI-100 en offshore profond

Total (Paris:FP) (LSE:TTA) (NYSE:TOT) annonce la signature d'un accord avec Yam's Petroleum pour acquérir une participation de 60% dans le permis CI-100. Par cet accord, Total devient opérateur de ce permis d'exploration. Yam's Petroleum conserve une participation de 25%, la compagnie nationale ivoirienne, Petroci, détenant les 15% restant. Cette opération a reçu l'accord des autorités ivoiriennes.
Ce permis est situé à environ 100 kilomètres au sud-est d'Abidjan et s'étend sur près de 2 000 kilomètres carrés (km2) par des profondeurs d'eau comprises entre 1 500 et 3 100 mètres. Yam's Petroleum a déjà réalisé une première campagne de sismique 3D. Les travaux d'exploration comporteront une nouvelle campagne de sismique 3D de 1 000 km2 qui complétera la couverture de l'ensemble du permis ainsi qu'un premier forage, au plus tard en 2012.

Marc Blaizot, Directeur Géosciences de la branche Exploration & Production de Total, a déclaré « Le Groupe se félicite de cet accord avec Yam's qui lui permet d'entreprendre des opérations d'exploration dans l'offshore profond en Côte d'Ivoire sur une zone prometteuse dont les objectifs géologiques s'apparentent aux découvertes importantes réalisées sur les permis voisins au Ghana. Fort de son expertise dans l'offshore profond en Angola, au Nigéria et en République du Congo, Total se réjouit de renforcer son portefeuille d'actifs dans le Golfe de Guinée. »

Total en Côte d'Ivoire

Total est déjà présent en Côte d'Ivoire dans le raffinage à travers sa participation dans la SIR (Société Ivoirienne de Raffinage) et dans le marketing avec son réseau de stations service qui fait de Total Côte d'Ivoire le premier distributeur du pays.

Total est l'un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Ses 96 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de cette industrie : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles et trading. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande énergétique mondiale, présente et future. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. www.total.com

http://leblogdecheicknadsalif.ivoire-blog.com/archive/2010/10/24/cote-d-ivoire-total-acquiert-60-dans-le-permis-d-exploration.html

Togo : une centrale thermique pour en finir avec le délestage

AFRIK.COM

Elle vient d'être inaugurée à Lomé par le chef de l'Etat
Dans la zone portuaire de Lomé, une nouvelle centrale thermique vient de voir le jour. Inaugurée en grande pompe par le chef de l'Etat et dotée d'une capacité de 100 mégawatts, elle a été financée et construite par la société américaine Global Contour. Equipée de six moteurs, cette infrastructure devrait ainsi permettre de mettre fin aux périodes de pénuries d'électricité que le pays connait depuis 2006. Et même de produire suffisamment d'énergie pour permettre au Togo d'en vendre aux pays voisins également confrontés au problème de pénurie d'électricité.

Fini le délestage ! C'est du moins la promesse qu'a émise le ministre togolais des mines et de l'énergie, Dammipi Noupokou, lors de l'inauguration, le 15 octobre, de la nouvelle centrale thermique d'une capacité de 100 MW. Le préfet du Golfe, Koffi Mélébou, était du même avis : « avec cette centrale, fini les effets néfastes du délestage et ses répercussions sur l'économie du pays », a-t-il affirmé. Le chef de l'Etat togolais, Faure Gnassingbé, s'était également déplacé dans la zone portuaire de Lomé pour lancer l'un des six moteurs de marque Wärtsilä, capable de produire annuellement 780 GWh. Coût total de l'investissement : 192,4 millions de dollars (soit environ 87 milliards de F.CFA). Le projet est financé en grande majorité par la société américaine GlobalContour. Les objectifs sont clairs : accéder à une autonomie énergétique et minimiser le coût d'accès à l'électricité des citoyens.

Si le pari est gagné, la crise énergétique que connait le Togo depuis 2006 appartiendra au passé. Jusqu'ici, le Togo dont les besoins sont estimés à 133 MW aux heures de grandes consommations, dépend essentiellement des importations venant du Ghana limitrophe et de la Côte d'Ivoire. A lui seul, le pays ne produit que 15% de sa demande nationale. Et les besoins croissants du Ghana et la baisse du niveau d'eau au barrage d'Akossombo (situé au Ghana) imposent parfois au Togo des pénuries d'énergies de l'ordre de douze heures par jour. "La mise en service de cette centrale va permettre de contribuer à améliorer la qualité de l'ensemble du réseau électrique interconnecté de la zone A du West African Power Pool comprenant le Nigeria, le Bénin, le Ghana, la Côte d'Ivoire et bien sûr le Togo", a déclaré Dammipi Noupokou.
Un problème régional
Le surplus est justement destiné à être vendu aux pays voisins qui connaissent également des problèmes dans la fourniture de l'énergie électrique. Au démarrage, cette centrale est prévue pour fonctionner au fuel lourd ou au gazole. Elle pourra basculer vers le gaz naturel une fois que le pays sera connecté au gazoduc de l'Afrique de l'Ouest. A ce sujet, le ministre des mines et de l'énergie à évoqué l'attente d'une conclusion de contrat.
La cérémonie de l'inauguration de cette infrastructure s'est faite en présence du premier ministre Gilbert Fossoun Houngbo, de plusieurs ministres togolais, ainsi que de diplomates dont l'ambassadeur de France Dominique Renaux et le chef de la délégation de l'Union européenne Patrick Spirlet. Des ministres de l'énergie de certains pays de la sous-région dont ceux du Bénin et du Nigeria étaient également présents. Et pour cause, ce projet est l'un des plus importants de l'Afrique de l'Ouest depuis les vingt dernières années.

http://www.afrik.com/article21079.html

mardi 19 octobre 2010

Gabon : Total et Shell remettent le couvert

AFRIK.COM

Les groupes pétroliers français Total et anglo-néerlandais Shell ont renouvelé pour 20 ans vendredi avec l'Etat gabonais les contrats d'exploitation et de partage de production sur les sites conjoints de Coucal et Avocette-Dianongo près de Gamba (sud-ouest), rapporte TV5. Le montant des contrats signés par le ministre gabonais des Mines et du Pétrole Julien Nkoghe Bekalé d'une part et Jean-Philippe Magnan, directeur général de Total Gabon, et Adrian Drewett, directeur général de Shell Gabon d'autre part, n'a pas été dévoilée. En 2009, la production de pétrole du Gabon a été de 12,6 millions de tonnes, assurée à plus de 60% par le groupe français Total et l'Anglo-Néerlandais Shell.

http://www.afrik.com/breve24514.html

lundi 18 octobre 2010

La Chine refuse l'enquête des USA sur les énergies renouvelables

Aujourd'hui La Chine
e 18/10/2010 à 12h44  par Sophie Fruitier (Aujourd'hui la Chine)


Une dispute a éclaté entre la Chine et les Etats-Unis dimanche à propos d'une enquête menée par le Bureau du Représentant américain au commerce sur les importations chinoises de matériaux d'énergies renouvelables (les turbines, éoliennes, ect).

Cette enquête, lancée le 15 octobre, fait suite à une demande du syndicat unitaire des travailleurs de la sidérurgie des Etats-Unis. Selon l'organisation, le gouvernement chinois attribue davantage de subventions aux entreprises locales, ce qui les rendraient plus compétitives sur le marché international.

Cette démarche violerait les accords internationaux avec l'Organisation mondiale du commerce (OMC).

Les résultats de l'enquête pourraient mener à des sanctions commerciales des Etats-Unis envers la Chine, ce qui n'est pas bien reçu par les autorités chinoises.

Washington "ne peut pas gagner cette dispute économique", a annoncé Zhang Guobao, vice-président de la commission nationale pour le développement et la réforme, dimanche, selon le New York Times.

"La plainte est sans fondements, et est irresponsable", a-t-il ajouté. Selon lui, cette enquête serait plutôt un moyen pour les politiques Etats-Uniens de s'assurer des votes des Américains, à l'approche des élections de mi-mandat.

Cette dispute vient s'ajouter aux accusations des autorités américaines envers la politique monétaire chinoise.

Selon le China Daily, le ministère de la finance américain a annoncé dimanche qu'il ne publierait pas son rapport sémi-annuel sur les pratiques des taux de change étrangers avant des réunions cruciales prévues en Novembre, afin de donner plus de chances à la pression diplomatique sur la Chine de porter ses fruits.



http://www.aujourdhuilachine.com/informations-chine-la-chine-refuse-l-enquete-des-usa-sur-les-energies-renouvelables-14784.asp?1=1

Déclin de la biodiversité : des chiffres alarmants

La terre et nous

Le déclin de la biodiversité depuis plusieurs décennies sera au cœur de la 10e Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique, qui rassemble, à compter de lundi à Nagoya (Japon), les représentants de 193 pays. 
Selon l'ONU, l'appauvrissement de la diversité biologique est élevé et pourrait être dramatique. Cet appauvrissement est aussi accompagné de la dégradation d'un grand nombre de services éco-systémiques. 
"Les populations pauvres seront les premières à subir les conséquences de tels changements et les plus affectées, mais au bout du compte, ce sont toutes les couches de la société et toutes les communautés qui en souffriront" ajoute l'organisation.



Quelques chiffres et indicateurs :

Un conifèreLe nombre des espècesmenacées toujours en hausse

Sur les 47.677 espèces répertoriées sur la Liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature), 17.291 sont menacées d'extinction.
Une espèce d'amphibien sur trois, plus d'un oiseau sur huit, plus d'unmammifère sur cinq et plus d'uneespèce de conifère sur quatre sont menacés d'extinction au niveau mondial.
Sur les 5.490 mammifères répertoriés dans le monde, 79 sont "éteints" ou "éteints à l'état sauvage", 188 sont "en danger critique d'extinction", 449 sont "en danger" et 505 sont "vulnérables" Parmi les 6.285 amphibiens que compte la planète, 1.895 sont en danger d'extinction.

L'objectif international pas atteint 
Il y a huit ans, les dirigeants de l'ensemble de pays de la planète se sont fixé comme objectif de parvenir, d'ici 2010, à "une réduction importante du rythme actuel d'appauvrissement de la diversité biologique". Le bilan, dressé par l'ONU en mai 2010, est sans appel : l'objectif "n'a pas été atteint".

Récif corallienL'ONU a identifié trois "points de basculement" qui pourraient provoquer des "dégâts irréversibles" en l'absence de réaction rapide et forte :

dimanche 17 octobre 2010

Hosted by Google Back to Google News UN meeting aims to set species-saving goals

AFP

TOKYO (AP) — An international conference aimed at preserving the planet's diversity of plants and animals in the face of pollution and habitat loss begins Monday in Japan, facing some of the same divisions between rich and poor nations that have stalled U.N. climate talks.
Seventeen years after the U.N. Convention on Biological Diversity was enacted, it has yet to achieve any major initiative to slow the alarming rate of species extinction and loss of ecosystems despite global goals set in 2002 to make major improvement by this year.
Frogs and other amphibians are most at risk of disappearing, coral reefs are the species deteriorating most rapidly and nearly a quarter of all plant species are threatened, according to the convention, which is convening the two-week meeting.
A key task facing delegates will be to hammer out a set of 20 strategic goals for the next decade.
Unless steps are taken to reverse the loss of Earth's biodiversity, scientists warn that the rate of extinction will climb and natural habitats will be degraded or destroyed — contributing to climate change and threatening agricultural production, fish stocks in the oceans and access to clean water.
Scientists estimate that the Earth is losing species 100 to 1,000 times the historical average, upsetting the intricately interconnected natural world. Prominent insect biologist E.O. Wilson at Harvard University argues that a man-made environmental crisis is pushing the Earth toward its sixth big extinction phase, the greatest since the dinosaurs were wiped out 65 million years ago.
However, some battle lines have already formed between developed and developing nations over the convention's strategic mission statement — whether to take action to halt or simply slow the loss of biodiversity by 2020 — and finding a way to equitably share the benefits of genetic resources, such as plants native to poor countries that have been converted into lucrative drug products in the West.
The convention, which will bring together 8,000 delegates from 193 member nations in Nagoya, 170 miles (270 kilometers) west of Tokyo, was born out of the 1992 Earth Summit in Rio de Janeiro. So far, the convention has failed to meet a series of goals set eight years ago to preserve the world's biodiversity against overfishing, deforestation and pollution.
Conservation groups attribute part of that to a lack of political will and funding. They also say that some of the goals until now have been fuzzy, and partly blame their own failure to make a convincing case that action is needed — something they hope to change in Nagoya.
"We haven't been able to successfully get across a message that our society and economies ultimately depend on this biodiversity," said Bill Jackson, deputy director-general of the International Union for Conservation of Nature. "We have to fix the problem within the next 10 years."
Host country Japan, meanwhile, will be looking to this conference as a chance to portray itself as a protector of biodiversity after helping kill off many of the measures at the CITES, or Convention on International Trade in Endangered Species, meeting earlier this year that would have limited the trade in tuna, sharks and other marine species.
Divisions between rich and poor nations over how to fairly share in the access and benefits of genetic resources could undermine the gathering, observers say.
For example, the rosy periwinkle, a plant native to Madagascar, produces two cancer-fighting substances. Drug companies have grown the plants and profited from them, but little of the money has returned to Madagascar. Developing countries argue they should receive royalties or a share of the benefits of such natural resources.
The convention aims to address this problem by setting up a legal framework by which producers and users can negotiate to reach mutually agreeable terms to ensure equitable sharing of resources and their benefits.
"Developing countries are putting pressure on developed countries and saying if we don't reach an agreement on this issue, we won't give you what you want on the strategic plan," said Patricia Yakabe Malentaqui, international media manager at the environmental group Conservation International. "They are trying to polarize the debate."
Another contentious goal will be setting a percentage of the Earth's land and oceans that should be protected by 2020.
Currently, 13 percent of land and less than 1 percent of open ocean is protected — which can range from a strict nature reserve to an area managed for sustainable use of natural resources. Those percentages need to be raised to 25 percent and 15 percent respectively, Conservation International says.
But even if delegates manage to agree to such targets, carrying them out in real life is another matter. Businesses will likely oppose any limits on their activities and population growth means setting aside such protected areas will become increasingly difficult. Furthermore, the U.N. Convention on Biological Diversity has no mechanism for enforcing compliance.
Environmental groups argue that creating protected areas reap huge economic rewards. For example, there is plenty of evidence, says IUCN's Jackson, that providing safe havens for fisheries help their populations recover and flourish.

http://www.google.com/hostednews/ap/article/ALeqM5is4cF0MrDAl4vfglQcxHc5SfCBiA?docId=c409142423ed4da0b48a67243bad81b0

La Réunion: 1.000 ha de parc national détruits par le feu

AFP

SAINT-DENIS-DE-LA REUNION (La Réunion) — L'incendie qui ravage depuis lundi le coeur du parc national de la Réunion, sur les hauteurs de l'ouest de l'île au Maido, s'est subitement intensifié samedi, détruisant dans l'après-midi 500 hectares de forêt primaire, conduisant le préfet à demander de nouveaux renforts de métropole.


"Nous n'avons pas pu tenir l'objectif d'éviter la propagation du feu vers le sud en raison d'un vent fort et tournant", a déclaré le directeur de l'ONF Hervé Houin.
"Plusieurs pompiers encerclés par les flammes ont dû être évacués par hélicoptère", a indiqué pour sa part le colonel Jacques Vandebeulque, directeur du SDIS (Service départemental d'incendie et de secours).
Les deux foyers d'incendie qui avaient commencé séparément lundi avaient détruit jusqu'à samedi matin 500 hectares de forêt, situés au coeur du Parc national de la Réunion, classé en août patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.
Quelque 500 hectares supplémentaires sont partis en fumée dans l'après-midi, portant à plus de 1.000 hectares la superficie détruite par les flammes, constituée de nombreuses espèces endémiques de l'île, dont les branles verts, alors que les pompiers escomptaient une accalmie.
L'ONF craint que l'incendie s'étende encore, le feu ayant dépassé la zone située à 1.800 mètres d'altitude.
Le préfet de la Réunion Michel Lalande a annoncé l'arrivée prochaine dans l'île d'un avion bombardier d'eau Dash 8 de la Sécurité civile.
Cet appareil peut transporter 12 tonnes d'eau, soit le double des Canadair qui ne peuvent intervenir à plus de 1.500 mètres d'altitude.
Les quatre héicoptères bombardiers d'eau qui luttent depuis lundi contre l'incendie n'emportent que 800 litres d'eau par rotation.
Plus de 300 personnes sont mobilisées jour et nuit sur le terrain, dont 140 pompiers, 60 agents de l'ONF, 100 militaires de la Réunion ainsi que 60 pompiers de Forces militaires d'intervention de la sécurité civile et cinq spécialistes de feux de forêts, arrivés de métropole dans la semaine.
"Nous ne sommes pas sortis de ce sinistre qui arrive au pire moment à cause de la chaleur", a déclaré le préfet.
"Il est encore trop tôt pour parler de catastrophe écologique" a indiqué pour sa part Isabelle Jacquet, une des responsable du parc national, soulignant que cette forêt se régenère assez vite gràce aux graines contenues dans le sol. Mais elle s'est dite "inquiète de la fréquence de ces feux et le risque de développement d'espèces envahissantes".