Le Figaro
Les Etats-Unis voient dans le pape Benoît XVI, surnommé "le pape vert", un "allié" dans les négociations mondiales sur l'environnement, selon des câbles diplomatiques américains publiés par WikiLeaks. Une note confidentielle datée du 21 janvier 2010, intitulée "Le pape vert soutient la ligne des Etats-Unis après le sommet de Copenhague", explique que les responsables du Vatican ont même "accepté d'encourager discrètement d'autres pays à s'associer à l'accord", conclu lors du sommet de l'ONU sur le climat.
Dans cette note, l'ambassadeur des Etats-Unis près du Saint-Siège assure que le discours du pape au corps diplomatique du 11 janvier 2010 offre "aux fonctionnaires du Vatican une plate-forme solide pour faire pression grâce à l'autorité morale de l'Eglise dans la lutte contre le changement climatique". "Plus encore que l'aide que pourra constituer le lobby du Vatican compte l'influence importante que le pape pourrait avoir sur l'opinion publique dans des pays à grande majorité catholique", affirme l'ambassadeur Miguel Diaz.
Benoît XVI, parfois surnommé le "pape vert" par la presse italienne, met constamment l'accent sur la défense de la création, "oeuvre de Dieu" et donc aussi bien des êtres humains que de leur environnement. Il en avait fait l'un des thèmes de son discours du Nouvel an et a fait installer des panneaux solaires au Vatican. Il s'est même déclaré prêt à utiliser une papamobile électrique.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/12/09/97001-20101209FILWWW00623-climat-le-pape-un-allie-des-etats-unis.php
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vendredi 10 décembre 2010
mercredi 8 décembre 2010
Alstom installe sa branche Energies marine à Nantes
leParisien.fr
03.12.2010
03.12.2010
Le groupe Alstom a inauguré vendredi à Nantes les locaux dédiés à l'activité Energies Marines de sa filiale Alstom Hydro, selon un communiqué de presse.
En 2012, le groupe entend déployer sa première "hydrolienne", une nouvelle génération de turbines sous-marines produisant de l'électricité grâce aux courants de marée. La "Beluga 9", sera entièrement conçue dans ses locaux nantais mais elle sera testée dans la Baie de Fundy, sur la côte atlantique du Canada.
"D'un diamètre de 13 mètres, Beluga 9 atteindra une hauteur totale de 20 mètres une fois installée sur son support, soit l'équivalent d'un immeuble de six étages. Elle sera adaptée aux sites de 30 mètres de profondeur ou plus, comme par exemple ceux de la Manche", souligne Alstom.
"Par ailleurs, l'équipe de Nantes vient de commencer les études de développement d'un second modèle destiné à des sites moins énergétiques et plus profonds, qui devrait être testé en Bretagne dès 2013", ajoute-t-on de même source.
"L'énergie hydrolienne représente un potentiel de marché considérable estimé entre 50 et 100 Gigawatts (GW) à l'échelle mondiale, dont 10% sont situés en France et au Royaume-Uni", affirme Alstom. "L'énergie produite est parfaitement prévisible et les hydroliennes sont totalement invisibles une fois immergées", le communiqué.
L'activité Energies Marines a été créée en 2008 avec la signature d'un contrat de licence de technologie avec le Canadien Clean Current, précise Alstom.
En 2012, le groupe entend déployer sa première "hydrolienne", une nouvelle génération de turbines sous-marines produisant de l'électricité grâce aux courants de marée. La "Beluga 9", sera entièrement conçue dans ses locaux nantais mais elle sera testée dans la Baie de Fundy, sur la côte atlantique du Canada.
"D'un diamètre de 13 mètres, Beluga 9 atteindra une hauteur totale de 20 mètres une fois installée sur son support, soit l'équivalent d'un immeuble de six étages. Elle sera adaptée aux sites de 30 mètres de profondeur ou plus, comme par exemple ceux de la Manche", souligne Alstom.
"Par ailleurs, l'équipe de Nantes vient de commencer les études de développement d'un second modèle destiné à des sites moins énergétiques et plus profonds, qui devrait être testé en Bretagne dès 2013", ajoute-t-on de même source.
"L'énergie hydrolienne représente un potentiel de marché considérable estimé entre 50 et 100 Gigawatts (GW) à l'échelle mondiale, dont 10% sont situés en France et au Royaume-Uni", affirme Alstom. "L'énergie produite est parfaitement prévisible et les hydroliennes sont totalement invisibles une fois immergées", le communiqué.
L'activité Energies Marines a été créée en 2008 avec la signature d'un contrat de licence de technologie avec le Canadien Clean Current, précise Alstom.
mercredi 1 décembre 2010
USA: les républicains se débarrassent d'une commission sur le climat
Romandie News
WASHINGTON - Les adversaires républicains du président Barack Obama à la Chambre des représentants ont annoncé mercredi qu'ils avaient décidé de dissoudre la commission chargée de lutter contre le réchauffement climatique, au motif que son existence constituait un gâchis financier.
"Nous nous sommes engagés à sauver l'argent des contribuables en limitant le gâchis et les redondances au Congrès", a expliqué Michael Steel, porte-parole du futur président de la Chambre des représentants John Boehner.
La commission sur le climat était "un exemple indiscutable et elle ne continuera pas (ses travaux) lors du 112e Congrès" issu des législatives de novembre et qui doit démarrer ses travaux en janvier, a-t-il dit dans un courriel adressé à l'AFP.
Les démocrates ont aussitôt jugé "très décevante" cette décision, affirmant que la commission avait joué un rôle très important lors des débats au Congrès sur la question du climat et de l'énergie.
Le parti républicain, qui a gagné la majorité à la Chambre et réduit l'écart avec les démocrates au Sénat lors des législatives s'oppose fermement à toute législation dite "cap-and-trade" de réduction des émissions de gaz à effet de serre, invoquant un coût trop élevé en période de vaches maigres économiques.
Madagascar déroule le tapis rouge aux sables bitumineux
zegreenweb
par Guillaume Duhamel, Mercredi 1 décembre 2010
par Guillaume Duhamel, Mercredi 1 décembre 2010
La mobilisation des associations de protection de l'environnement contre l'exploitation des sables bitumineux n'a jusqu'ici pas fait plier les autorités des pays concernés, et à Madagascar plus qu'ailleurs les enjeux économiques semblent beaucoup trop importants
Ils sont le boulet environnemental du Canada, même si les autorités du pays – et encore, pas toutes – n'en ont finalement convenu que du bout des lèvres. Ils sont aussi, les ONG en sont toutes convaincues et les dernières études scientifiques abondent dans leur sens, à l'origine de gravissimes problèmes sanitaires.
Également exploités – à un degré moindre – en Russie, au Venezuela et à Madagascar, les sables bitumineux sont aussi bien partis pour devenir la plaie écologique de l'île africaine, dont les autorités n'ont jusque là encore jamais fait montre d'un intérêt prononcé pour la préservation de l'environnement. Elles n'ont certes pas le monopole de cette approche mais préfèrent d'abord voir les bénéfices économiques que ceux-ci leur procurent, aussi les groupes pétroliers jouent sur du velours, à plus forte raison parce que le pays n'a encore jamais produit d'or noir dans des quantités « commerciales ».
Le Voahary Gasy, qui regroupe plusieurs associations de protection de la nature, a beau critiquer la politique gouvernementale et déplorer l'opacité de la communication étatique, rien n'a pu empêcher la cotation à la bourse de Londres de Madagascar Oil, société qui exploite ces gisements avec le concours de son partenaire Total. Une forme de consécration économique, du pain béni pour Antananarivo mais aussi – surtout – une preuve supplémentaire que l'arrêt de l'exploitation des « tar sands » du pays, étalés sur une surface de près de trente mille kilomètres carrés, n'est pas pour tout de suite. Quelque quatre-vingt dix mille barils peuvent en être extraits chaque jour et il y aurait de quoi voir venir pendant plusieurs décennies, les réserves étant estimées à quelques deux milliards de barils.
Des chiffres qui ont un sens tout particulier pour une nation classée par le Fonds monétaire international (FMI) au cent soixante-dixième rang mondial en termes de pauvreté (sur cent quatre-vingt deux pays). Compréhensible vu cet état de fait, la considération que porte les pouvoirs publics malgaches aux sables bitumineux a cependant le tort d'être sans limite, les contrats étant valables sur plusieurs décennies. Connue pour sa biodiversité, Madagascar est toutefois loin de déployer toute son énergie à sa préservation et fait le jeu de projets qui pourraient nécessiter des quantités d'eau encore plus importantes qu'au Canada. Une aberration supplémentaire alors que la population peine à y accéder.
Crédit photo : flickr – Grant Neufeld
http://www.zegreenweb.com/sinformer/energie/madagascar-deroule-le-tapis-rouge-aux-sables-bitumineux,18916
http://www.zegreenweb.com/sinformer/energie/madagascar-deroule-le-tapis-rouge-aux-sables-bitumineux,18916
Une association alerte sur les substances chimiques contenues dans les repas des enfants
Le Monde
Capture d'écran du site menustoxiques.fr présentant le résultat de l'étude pour le déjeuner : 33 résidus chimiques dont 17 cancérigènes probables ou possible
Plus de quatre-vingts substances chimiques, dont certaines susceptibles d'être cancérigènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la santé, selon une étude du mouvement Générations futures – qui milite notamment pour une agriculture sans pesticides et sans OGM – et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau environnement santé. (Lire l'article du Monde, en édition abonnés, "Des résidus chimiques dans l'assiette des enfants").
Les associations, qui lancent une campagne de sensibilisation intitulée "Cancer et environnement", ont acheté dans des supermarchés de l'Oise et de Paris entre juillet et septembre les denrées alimentaires généralement consommées en quatre repas et un encas en une journée par un enfant d'une dizaine d'années. Ces repas-types, incluant les recommandations officielles – telles que cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers et 1,5 litre d'eau par jour – ainsi que des friandises, ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en France et en Belgique pour y détecter la présence de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants.
Le bilan de l'assiette, selon cette étude publiée mercredi, est accablant : cent vingt-huit résidus, quatre-vingt-une substances chimiques, dont quarante-deux sont classées cancérigènes possibles ou probables et cinq substances classées cancérigènes certaines ainsi que trente-sept substances susceptibles d'agir comme perturbateurs endocriniens (PE). "Même si, dans la quasi-totalité des cas, les limites légales pour chaque substance chimique prise individuellement ne sont pas dépassées, on voit bien dans notre enquête que la réalité de l'exposition des consommateurs aux contaminants possiblement cancérigènes et/ou PE est préoccupante", note l'association.
LE SAUMON, LE PLUS RICHE EN PESTICIDES
Pour le petit-déjeuner, le beurre et le thé au lait contiennent à eux seuls plus d'une dizaine de résidus cancérigènes possibles et trois avérés comme des cancérigènes certains ainsi que près d'une vingtaine de résidus susceptibles de perturber le système hormonal.
La pomme, importée du Brésil, prévue comme encas, présente des traces de six substances chimiques, dont un fongicide pourtant interdit en France. Même chose pour les haricots verts du Kenya, inclus dans le déjeuner, sur lesquels l'étude a détecté des traces d'un insecticide puissant également interdit dans l'Union européenne.
Le steak haché, le thon en boîte, et même la baguette de pain et le chewing-gum, étaient truffés de pesticides et autres substances chimiques. Dans l'eau du robinet les analyses ont révélé la présence de nitrates et chloroforme. Mais c'est le steak de saumon prévu pour le dîner qui s'est révélé le plus "riche" avec trente-quatre résidus chimiques détectés. Même l'examen de l'assiette en plastique utilisée pour réchauffer le repas au micro-onde n'en était pas exempte.
"COCKTAILS CONTAMINANTS"
Le risque final pour le consommateur de ce "cocktails de contaminants" "est probablement sous-estimé", selon l'étude. Le problème serait-il résolu par un lavage voire un épluchage systématique des fruits et légumes avant consommation ? "Certaines études montrent que ces précautions ne sont pas suffisantes voire qu'elles sont inutiles", a souligné Générations futures. De même, "l'impact de ces résidus dans les aliments conjugué aux autres substances chimiques auxquelles nous sommes exposés tous les jours, par l'air, les cosmétiques, les biocides, n'est pas évalué non plus".
Le but de l'étude "est de faire prendre conscience aux citoyens et aux responsables publics de la part importante que représentent les facteurs de risque environnementaux parmi les causes de cancers et ainsi de les inciter à agir et prendre les mesures qui s'imposent". Le groupement d'associations milite donc pour "l'application du principe de précaution dans l'objectif de diminuer au maximum l'exposition environnementale, et notamment alimentaire, de la population à des substances soupçonnées d'être cancérigènes ou PE" en interdisant notamment "l'usage de pesticides au champ" et l'utilisation de certains additifs.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/12/01/pres-de-80-substances-chimiques-dans-les-repas-quotidiens-d-un-enfant_1447578_3234.html#xtor=RSS-3208
Capture d'écran du site menustoxiques.fr présentant le résultat de l'étude pour le déjeuner : 33 résidus chimiques dont 17 cancérigènes probables ou possible
Plus de quatre-vingts substances chimiques, dont certaines susceptibles d'être cancérigènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la santé, selon une étude du mouvement Générations futures – qui milite notamment pour une agriculture sans pesticides et sans OGM – et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau environnement santé. (Lire l'article du Monde, en édition abonnés, "Des résidus chimiques dans l'assiette des enfants").
Le bilan de l'assiette, selon cette étude publiée mercredi, est accablant : cent vingt-huit résidus, quatre-vingt-une substances chimiques, dont quarante-deux sont classées cancérigènes possibles ou probables et cinq substances classées cancérigènes certaines ainsi que trente-sept substances susceptibles d'agir comme perturbateurs endocriniens (PE). "Même si, dans la quasi-totalité des cas, les limites légales pour chaque substance chimique prise individuellement ne sont pas dépassées, on voit bien dans notre enquête que la réalité de l'exposition des consommateurs aux contaminants possiblement cancérigènes et/ou PE est préoccupante", note l'association.
LE SAUMON, LE PLUS RICHE EN PESTICIDES
Pour le petit-déjeuner, le beurre et le thé au lait contiennent à eux seuls plus d'une dizaine de résidus cancérigènes possibles et trois avérés comme des cancérigènes certains ainsi que près d'une vingtaine de résidus susceptibles de perturber le système hormonal.
La pomme, importée du Brésil, prévue comme encas, présente des traces de six substances chimiques, dont un fongicide pourtant interdit en France. Même chose pour les haricots verts du Kenya, inclus dans le déjeuner, sur lesquels l'étude a détecté des traces d'un insecticide puissant également interdit dans l'Union européenne.
Le steak haché, le thon en boîte, et même la baguette de pain et le chewing-gum, étaient truffés de pesticides et autres substances chimiques. Dans l'eau du robinet les analyses ont révélé la présence de nitrates et chloroforme. Mais c'est le steak de saumon prévu pour le dîner qui s'est révélé le plus "riche" avec trente-quatre résidus chimiques détectés. Même l'examen de l'assiette en plastique utilisée pour réchauffer le repas au micro-onde n'en était pas exempte.
"COCKTAILS CONTAMINANTS"
Le risque final pour le consommateur de ce "cocktails de contaminants" "est probablement sous-estimé", selon l'étude. Le problème serait-il résolu par un lavage voire un épluchage systématique des fruits et légumes avant consommation ? "Certaines études montrent que ces précautions ne sont pas suffisantes voire qu'elles sont inutiles", a souligné Générations futures. De même, "l'impact de ces résidus dans les aliments conjugué aux autres substances chimiques auxquelles nous sommes exposés tous les jours, par l'air, les cosmétiques, les biocides, n'est pas évalué non plus".
Le but de l'étude "est de faire prendre conscience aux citoyens et aux responsables publics de la part importante que représentent les facteurs de risque environnementaux parmi les causes de cancers et ainsi de les inciter à agir et prendre les mesures qui s'imposent". Le groupement d'associations milite donc pour "l'application du principe de précaution dans l'objectif de diminuer au maximum l'exposition environnementale, et notamment alimentaire, de la population à des substances soupçonnées d'être cancérigènes ou PE" en interdisant notamment "l'usage de pesticides au champ" et l'utilisation de certains additifs.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/12/01/pres-de-80-substances-chimiques-dans-les-repas-quotidiens-d-un-enfant_1447578_3234.html#xtor=RSS-3208
Le froid s'installe sur la France
L'EXPRESS.fr
Les températures ont chuté en France avec des records de froid dans la nuit de lundi à mardi dans la région Centre et les chutes de neige ont rendu la circulation difficile, incitant de nombreux départements à suspendre transports scolaires et circulation des camions.
Météo France a placé 17 départements (en Rhône-Alpes et Auvergne, ainsi que le Loir-et-Cher et le Loiret) en vigilance orange en raison de la neige, du froid et du verglas.
Lire l'article >>
Dix-sept départements sont en vigilance orange à cause de la neige et du verglas.
Météo France a placé 17 départements (en Rhône-Alpes et Auvergne, ainsi que le Loir-et-Cher et le Loiret) en vigilance orange en raison de la neige, du froid et du verglas.
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mardi 30 novembre 2010
Google TV ne séduit pas aux USA
AV HD
Un gros bide pour les Google TV aux USA
Il y a quelques jours nous vous parlions du blocage de certaines chaînes sur les Google TV. En marge de ce problème, il semblerait que les consommateurs US boudent également les appareils Google TV à l'image du lecteur Blu-ray et TV de Sony lancés tout récemment aux USA.
À vrai dire, c'est carrément un flop puisque Sony vient de revoir ses tarifs en baisse jusqu'à 25% de moins pour le lecteur Blu-ray équipé de Google TV. Avec le véritable bras de fer qui se déroule en ce moment entre les chaînes de TV françaises (et internationales), les Google TV ont du souci à se faire. En effet, les groupes télévisés auraient beaucoup plus de poids que Google l'aurait pensé !
À vrai dire, c'est carrément un flop puisque Sony vient de revoir ses tarifs en baisse jusqu'à 25% de moins pour le lecteur Blu-ray équipé de Google TV. Avec le véritable bras de fer qui se déroule en ce moment entre les chaînes de TV françaises (et internationales), les Google TV ont du souci à se faire. En effet, les groupes télévisés auraient beaucoup plus de poids que Google l'aurait pensé !
Enfin pour finir, les premiers retours parlent d'une interface mal conçue et d'un système sans intérêt comparé aux services en ligne de plus en plus complets que l'on trouve sur les TV Samsung, Philips et même Sony.
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