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dimanche 9 janvier 2011

Exploit climatique : on a fait pleuvoir dans le désert

Le Point

Un procédé capable de déclencher des pluies en plein désert aurait été expérimenté près d'Abou Dabi. Révolution.

Exploit climatique : on a fait pleuvoir dans le désert C'est la première fois qu'une technologie parviendrait à tirer des larmes d'un ciel bleu © Pitamitz / Sipa

Par Frédéric Lewino
 
La nouvelle, stupéfiante, vient d'être publiée par des journaux anglo-saxons : une entreprise suisse aurait réussi, dans le plus grand secret, à mettre au point un procédé pour déclencher la pluie en plein désert. Le cheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyane, président des Émirats arabes unis (EAU), aurait financé une installation pilote qui aurait déclenché cinquante-deux orages de pluie dans la région d'Al Ain, près d'Abou Dabi, l'été dernier.

Si cette nouvelle devait être confirmée, ce serait une véritable révolution susceptible de bouleverser la vie de nombreux pays désertiques. Ma bonne dame, s'il se met à pleuvoir dans les déserts, où allons-nous ?

Ciel bleu

En elle-même, une pluie artificielle n'a rien de nouveau. Il existe déjà plusieurs procédés pour déclencher la pluie lorsque les nuages sont déjà là, mais c'est la première fois qu'une technologie parviendrait à tirer des larmes d'un ciel bleu azur. Voyons ce miracle d'un peu plus près. La firme suisse Metro Systems International, créée par Helmut Fluhrer, a installé dans le désert une centaine d'ionisateurs géants répartis sur cinq sites. Ils ressemblent à d'immenses palmiers dont les feuilles métalliques émettent dans l'atmosphère des milliards de milliards de particules ionisées (en général des électrons). Ils ne fonctionnent pas en permanence, seulement quand l'humidité dans la haute atmosphère, où se forment normalement les nuages, dépasse 30 %.

Une fois dans l'air, les particules ionisées agglomèrent autour d'elles de microscopiques grains de poussière, avant de s'envoler vers le ciel, entraînées par la convection naturelle. Une fois l'altitude de formation des nuages atteinte, ces poussières chargées négativement font leur boulot habituel : elles condensent sur elles l'humidité atmosphérique jusqu'à former de grosses gouttes qui n'ont alors plus aucune autre idée en tête que de se précipiter sur le sol. Alleluia, il pleut en plein désert !

Un coût faible

Sous le contrôle du Max Planck Institute for Meteorology, ce procédé expérimental aurait prouvé son efficacité dans cette région d'Al Ain où les météorologues n'attendaient aucune pluie. Selon son créateur, la construction d'un système ionisant ne dépasse pas 7 millions de livres contre plus de 850 millions pour une usine de dessalement d'eau de mer.

Avant de s'emballer, il faut contrôler la nature exacte des pluies. S'agit-il réellement de pluies d'orage ou d'une fine bruine qui s'évapore immédiatement ? Il faudra également vérifier si le système fonctionne partout. N'oublions pas qu'Abou Dabi est près de l'océan, qui fournit en permanence de l'humidité. Il n'est pas dit qu'au coeur du Sahara, les ionisateurs trouvent suffisamment d'humidité dans l'atmosphère. Par ailleurs, le climat est un mécanisme très fragile. Si on se met à éponger à tour de bras la vapeur atmosphérique dans un coin du ciel, est-ce que cela n'aura pas des retombées négatives ailleurs ? C'est encore à vérifier. On n'est pas né de la dernière pluie...

 
 
 
http://www.lepoint.fr/actu-science/exploit-climatique-on-a-fait-pleuvoir-dans-le-desert-03-01-2011-126222_59.php 

Les lunettes de Lady Gaga [CES 2011]



ladygaga.jpgIl y a tout juste un an, Polaroid entérinait au CES 2010 une curieuse collaboration avec Lady Gaga, nommée responsable de la création sur une nouvelle ligne de produits. La chanteuse est venue cette semaine présenter, elle-même, les trois premiers fruits de cette union.

Deux de ces produits n'ont finalement rien de bien surprenant. Il s'agit d'un nouvel appareil photo Polaroid et d'une imprimante portable Bluetooth pour smartphones (hors iPhone). Tous deux utilisent l'impression sans encre de Zink.

Le troisième produit est plus inattendu. Polaroid a incorporé dans une paire de lunettes un appareil photo et deux écrans qui affichent les prises de vue en surimpression dans chaque verre. Ces lunettes, affirme Polaroid, consacrent l'union de la mode, de la photo et de la technologie. Effet garanti dans les soirées.

         

On remarquera à ce sujet que les lunettes avaient cette année une place particulière au CES. Les fabricants de télés 3D ont rivalisé de créativité pour leurs accessoires, avec des lunettes dessinées par des créateurs ou ultralégères.

Dans un tout autre domaine, le fabricant de masques Recon est lui allé jusqu'à mettre Android dans son tout dernier masque. Les skieurs, tracés par GPS, pourront ainsi retrouver, sur un petit écran, une carte indiquant leur positionnement et celui de leurs amis.
 
 

jeudi 6 janvier 2011

Les forages pétroliers dans le Golfe du Mexique vont reprendre

par zegreenweb, jeudi 6 janvier 2011, 13:45
par Guillaume Duhame


La reprise des forages interrompus en mai dernier à la suite de la marée noire dans le Golfe du Mexique est très probablement pour bientôt

Ce n’est plus a priori qu’une question de semaines… Treize entreprises sont concernées. Parmi elles, Chevron et Shell mais pas BP.

L’observateur ordinaire ne peut qu’être décontenancé. Qui sait d’ailleurs si l’administration américaine n’en perd pas elle-même son latin, tiraillée qu’elle est entre l’obligation de tout faire pour éviter un « Deepwater Horizon bis » (et soulager des concitoyens encore traumatisés) et la nécessité de ménager les géants du brut pour ne pas risquer de graves dommages financiers à court et moyen termes.

La Maison Blanche s’est prononcée le mois dernier pour un moratoire de sept ans sur les nouveaux forages offshore dans un rayon de cent vingt-cinq miles (environ deux cents kilomètres) autour des côtes floridiennes. On pouvait alors se dire qu’elle ne laisserait plus rien passer et qu’elle allait sur sa lancée rediscuter la levée de la suspension des forages en eaux profondes, décidée par anticipation en octobre. En d’autres termes que BP et consorts allaient devoir encore patienter de longs mois avant de reprendre leurs activités dans les eaux territoriales américaines, le temps d’obtenir toutes les garanties.

Parce que comme pour n’importe quel dirigeant le costume de « superprésident » est trop grand pour Barack Obama et que le lobby pétrolier demeure extraordinairement puissant, la realpolitik a toutefois repris le dessus. Les pouvoirs publics et avec eux les défenseurs de l’or noir peuvent bien arguer que la législation relative aux conditions de sécurité a été nettement renforcée il y a déjà plusieurs semaines, le retour imminent des forages dans le Golfe du Mexique va sans doute faire jaser dans les chaumières et susciter une levée de boucliers des associations de protection de l’environnement.


Pas d’analyse écologique

Comme très souvent, le malheur des uns fera ici aussi le bonheur des autres : les treize  groupes pétroliers * (dont Shell et Chevron) qui rongent leur frein depuis mai et ont perdu des fortunes vont de leur côté pouvoir déboucher le champagne.

D’abord parce que le business va bientôt reprendre, ensuite parce qu’ils ne feront pas l’objet d’analyse écologique, ce qui n’est rien de moins qu’un torpillage du principe de précaution. La multinationale britannique BP, locataire de Deepwater Horizon et plus que jamais dans le collimateur de la commission indépendante nommée en mai dernier par Washington, dont elle attend anxieusement les conclusions – lesquelles doivent être rendues publiques la semaine prochaine et pourraient influer sur celles des autres enquêtes en cours – , devrait quant à elle rester persona non grata.

Qu’importe, l’essentiel est ailleurs, et il y a tout le lieu de croire que les États-Unis, quelles que puissent être les convictions profondes de leur président, par tradition et parce qu’elles ne tiennent pas à ce que d’autres continuent à en profiter à leur place, feront la courte échelle jusqu’au bout aux énergies fossiles. Le verdissement de l’économie du pays du dollar a tout aujourd’hui de l’idéal dévoyé, et ce ne sont pas quelques grands projets solaire et éolien qui feront passer la pilule.

« Nous sommes en train de prendre en compte les circonstances particulières concernant ces entreprises dont les opérations ont été interrompues par le moratoire et nous assurer qu’elles peuvent reprendre les activités pour lesquelles elles avaient reçu une autorisation », a laconiquement déclaré Michael Bromwich, directeur du Bureau of Ocean Energy Management, Regulation and Enforcement (BOEMRE), l’organisme fédéral chargé de délivrer les permis de forage offshore. Et d’ajouter, un brin évasif : « pour les entreprises dont les opérations étaient en cours au moment du gel (des forages) en eaux profondes, l’avis de ce jour constitue un pas significatif vers une reprise de l’activité pour laquelle elles avaient reçu une autorisation ». Les autorités ont-elles fait l’objet de pressions ? Redoutent-elles une action judiciaire groupée qui, en cas de succès des plaignants, pourrait faire davantage encore s’interroger sur sa marge de manoeuvre réelle ?

L’administration Obama n’est quoi qu’il en soit pas allée au bout et « obéit à la logique qui l’a poussée depuis le début à ne désigner que BP comme responsable du suivi technique », analyse Francis Perrin, directeur de la rédaction du magazine Pétrole et gaz arabes. « Elle continue à considérer Anadarko [...] comme un opérateur sérieux », poursuit-il. Ce qui est d’autant plus déroutant que la société se partageait avec BP la propriété du fameux puits Macondo !

« C’est une mesure d’urgence pour permettre aux entreprises qui ont bouché le puits de reprendre le travail », résume l’expert, qui table sur des contraintes sur les nouveaux forages beaucoup plus importantes. Un doute dérangeant subsiste toutefois sur celles qui entourent les forages interrompus.

En lambeaux fin 2008, l’opposition républicaine a de son côté retrouvé le sourire depuis novembre. Il sera encore plus large quand leurs protégés Chevron and co sortiront de leur coma artificiel.

Retrouvez chaque jour toute l'actualité du développement durable sur www.zegreenweb.com/sinformer

* ATP Oil and Gas, BHP Billiton Petroleum, Chevron, Cobalt International Energy, ENI US, Hess, Kerr-McGee Oil and Gas, Marathon Oil, Murphy USA, Noble Energy, Shell, Statoil et Walter Oil and Gas

Crédits photos : NOAA – Wikimedia Commons / Nandu Chitnis

Chine : des dizaines de milliers de comptes iTunes piratés à vendre

Le Monde


Le  magasin en ligne d'Apple, lancé en 2003.

Acheter des chansons ou des films sur la boutique en ligne d'Apple en utilisant le compte piraté d'un autre client : voilà ce que proposent, contre quelques euros, de nombreuses annonces mises en ligne en Chine. D'après les chiffres révélés jeudi 6 janvier par le quotidien chinois Global Times, environ cinquante mille codes d'accès à des comptes piratés sont en vente sur Taobao, l'équivalent chinois d'eBay, pour un prix allant jusqu'à 200 yuans (23 euros). Il s'en est vendu des milliers ces derniers mois, assure le journal. Au mois de juin, rappelle le Global Times, Steve Jobs, PDG d'Apple, revendiquait cent cinquante millions de clients à son service.
Les annonces indiquent en détail comment agir, une fois muni des données personnelles, pour se connecter à iTunes et y faire son marché aux frais d'un tiers. Elles précisent que les transactions devront être réalisées rapidement, en raison d'une probable intervention sur le compte détourné. Si l'usurpation d'identité est découverte trop vite et que le compte est fermé en moins de vingt-quatre heures, engagement est même pris de renvoyer au "client" d'autres mots de passe piratés, comme le ferait un bon service après-vente.

DES "CHEVAUX DE TROIE" MIS EN CAUSE

"On peut supposer que ces comptes iTunes ont été directement piratés par une personne extérieure ou qu'ils ont été créés en utilisant les détails volés de cartes de crédit", a expliqué à l'AFP Marcus Sachs, un expert en cybercriminalité. Selon un autre spécialiste en sécurité informatique, les vols multiples de mots de passe d'accès à iTunes sont possibles en utilisant un programme malveillancetel un cheval de Troie.
Apple n'avait pas souhaité commenter. Au mois de juillet, la firme de Cupertino avait annoncé demander plus fréquemment aux clients de confirmer leur identité et le code de sécurité de leur carte de crédit quand ils font des achats sur iTunes.


http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/01/06/chine-des-dizaines-de-milliers-de-comptes-itunes-pirates-a-vendre_1461975_651865.html#xtor=RSS-3208

mercredi 5 janvier 2011

Chine-Russie : Le pétrole coule dans le grand oléoduc

Radio Canada


Le premier ministre russe Vladimir Poutine
Photo: AFP/ALEXEY DRUZHININ
Le premier ministre russe Vladimir Poutine inaugure la portion russe de l'oléoduc le 29 août 2010.

Le grand oléoduc reliant la Russie à la Chine a été officiellement mis en service samedi.

Selon l'agence Chine nouvelle, 42 000 tonnes de pétrole brut ont été acheminées dimanche matin par l'oléoduc. Ce grand ouvrage, qui sera complété en 2014, permettra d'acheminer chaque jour l'équivalent de 300 000 barils de pétrole entre le plus grand producteur mondial, la Russie, et le plus important important marché pour la vente d'énergie, la Chine.

Prenant sa source dans la ville de Skovorodino, en Sibérie, l'ouvrage se termine à Daqing, dans le nord-est de la Chine. Une fois complété, il sera d'une longueur de 4700 kilomètres, soit environ la distance entre Montréal et Vancouver.

Ce grand projet d'une valeur de 25 milliards de dollars est financé en partie par des prêts chinois. L'an dernier, la Chine a ravi aux États-Unis le titre de plus grand consommateur d'énergie au monde.

Pour le premier ministre de la Russie, Vladimir Poutine, qui avait inauguré la portion russe en août 2010, cet oléoduc permettra de diversifier les exportations russes qui sont habituellement destinées à l'Europe.

De plus, cette coopération entre la Chine et la Russie permet de reléguer au passé les décennies de différends politiques qui avaient terni leurs relations durant la guerre froide.

Jusqu'à présent, c'est par train que le pétrole était transporté entre les deux pays.

D'après un reportage de Vincent Frigon



http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/01/02/008-russie-chine-oleoduc.shtml

mardi 4 janvier 2011

La France, as de l'espionnage industriel

AFP

La France, plus encore que la Chine et la Russie, est le pays le plus actif en matière d'espionnage industriel chez ses alliés européens, rapporte aujourd'hui le journal norvégien Aftenposten sur la foi de télégrammes diplomatiques obtenus par WikiLeaks.

"L'espionnage français est tellement étendu que les dégâts pour l'économie allemande, dans leur totalité, sont plus importants que les dégâts provoqués par la Chine ou la Russie", selon une note non-datée de l'ambassade des Etats-Unis à Berlin. Aftenposten, qui a obtenu par un moyen non connu en décembre la totalité des 250.000 documents diplomatiques de WikiLeaks, reproduit aussi, en norvégien, les propos en ce sens du patron d'un groupe allemand cité par une note de l'ambassade.

"La France est l'empire du Mal en ce qui concerne le vol de technologies, et l'Allemagne le sait", aurait déclaré en octobre 2009 Berry Smutny, directeur général du petit fabricant allemand de satellites OHB Technology. OHB Technology s'est fait connaître du grand public en janvier 2010 en remportant aux dépens d'Astrium, filiale du géant EADS, un contrat pour la construction de plusieurs satellites destinés au programme de navigation Galileo, futur "GPS" européen.

Hier, Aftenposten avait déjà fait état d'une concurrence franco-allemande en matière de satellites espions. Selon des notes obtenues par WikiLeaks, l'Allemagne chercherait à développer, avec l'aide des Etats-Unis, son propre programme de satellites d'observation optique (HiROS) malgré les objections de la France qui pilote les efforts européens dans ce domaine avec ses satellites Hélios.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/04/97001-20110104FILWWW00385-la-france-as-de-l-espionnage-industriel.php

Eclipse partielle du Soleil ce mardi matin

metro

Eclipse de Lune, le 17 août 2008 à Skopje
Eclipse de Lune, le 17 août 2008 à Skopje
Photo : Robert Atanasovski/AFP
La première éclipse solaire de l'année 2011 débute mardi peu après le lever du jour en Afrique du Nord et en Europe, avec un maximum au nord de la Suède vers 8H50 GMT, mais le Soleil ne sera que partiellement caché.

En France, plus de la moitié voire les deux tiers du disque solaire, selon les régions, seront masqués par la Lune aux alentours de 08H00 GMT (9H00 locale).

Le cône de pénombre créé par la Lune touchera d'abord la surface de la Terre dans le nord de l'Algérie, vers 06H40 GMT, puis se déplacera vers l'est et permettra à la quasi totalité de l'Europe de l'ouest de profiter de l'éclipse partielle au lever du Soleil.

Les habitants du Caire, de Jérusalem, d'Istanbul et de Téhéran auront eux aussi la possibilité d'observer l'éclipse. En France, l'éclipse sera visible environ de 06H50 GMT à 09H30 GMT, selon les lieux, avec un pourcentage maximal d'"obscuration" vers 08H00 GMT.

L'observation de l'éclipse est dangereuse pour les yeux qu'il faut protéger par des lunettes spéciales, ont rappelé les autorités sanitaires françaises.

L'éclipse sera ensuite visible depuis la Russie centrale, le Kazakhstan, la Mongolie et le nord-ouest de la Chine, des régions du monde où son apparition correspondra au coucher du Soleil.

Elle s'achèvera lorsque la pénombre quittera la Terre, à 11H00 GMT.

Les éclipses solaires se produisent à la nouvelle Lune, lorsque la Terre passe dans le cône d'ombre ou le cône de pénombre de la Lune, qui s'interpose entre elle et les rayons du Soleil, masquant totalement ou partiellement ce dernier.

Lorsque la Terre ne fait que passer dans la pénombre de la Lune, il y éclipse partielle, comme ce sera le cas mardi. Le disque solaire semble alors grignoté par la Lune, sans être complètement occulté.

Quatre éclipses solaires partielles et deux éclipses lunaires totales sont prévues en 2011, une combinaison rare qui ne se produit que six fois au cours du 21e siècle.

La prochaine éclipse totale de Soleil interviendra le 13 novembre 2012 et traversera une partie de l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Pacifique sud et l'Amérique du Sud.







http://www.metrofrance.com/info/eclipse-partielle-du-soleil-ce-mardi-matin/akad!FXIGqJv3M2OUTbPghaidow/