ZDNet
Stratégie - Depuis quelques jours, Facebook ne pouvait plus puiser dans les carnets d’adresses Gmail de ses utilisateurs. Mais le réseau social a trouvé une parade pour contourner le blocage instauré par Google.
Le réseau social n'entend pas accéder à la demande de Google. Bien au contraire puisque Facebook vient de mettre en place une procédure de contournement lui permettant d'accéder de nouveau aux données Gmail des utilisateurs.
La semaine dernière, Google a décidé de modifier les conditions d'utilisation de ses API pour la portabilité des données de contacts. Auparavant, lors de l'inscription d'un internaute sur Facebook, l'importation de la liste contacts sur Gmail (ou Hotmail, Yahoo Mail...) était automatisée.
Une parade difficile à contrer pour Google
Depuis le changement de politique de Google, cette fonctionnalité était bloquée, ce qui interdisait alors à Facebook d'exploiter les carnets d'adresses de ses membres. Loin de répondre favorablement à la demande de réciprocité faite par Google, le réseau social américain a mis en place une parade.
Facebook propose désormais aux utilisateurs d'importer leurs contacts Gmail sous forme d'un fichier CSV. Certes, l'importation n'est plus automatisée, mais elle reste malgré tout facile à effectuer. Le contournement tire donc directement parti d'une fonctionnalité du webmail de Google mise à la disposition de ses internautes.
Google n'a pas pour le moment réagi officiellement à cette riposte. Interrogé par TechCrunch, un ingénieur de la firme a expliqué qu'un nouveau blocage serait techniquement possible, mais impacterait d'autres usages des CSV. Google est donc pour le moment dans l'impasse.
http://www.zdnet.fr/actualites/facebook-refuse-de-ceder-a-google-et-contourne-le-blocage-de-gmail-39755997.htm
google.com, pub-8770072612658242, DIRECT, f08c47fec0942fa0
mardi 9 novembre 2010
lundi 8 novembre 2010
Le convoi de déchets nucléaires est arrivé à destination
France 24
Après trois jours d'un trajet perturbé par des manifestations antinucléaires, le train de déchets radioactifs parti de La Hague est arrivé à destination, à Dannenberg, en Allemagne. Quelque 20 000 policiers ont été mobilisés pour cet acheminement.
Lire l'article>>
Après trois jours d'un trajet perturbé par des manifestations antinucléaires, le train de déchets radioactifs parti de La Hague est arrivé à destination, à Dannenberg, en Allemagne. Quelque 20 000 policiers ont été mobilisés pour cet acheminement.
Lire l'article>>
samedi 6 novembre 2010
vendredi 5 novembre 2010
Une ville sud-africaine veut acheter les urines de ses administrés
Libération
La ville de Durban, en Afrique du Sud, veut acheter les urines de ses administrés. L'enjeu: surmonter les réticences des gens à utiliser les toilettes sèches, installées par la mairie dans les quartiers pauvres.
«Si nous pouvons faire des toilettes sèches une source de revenus, les gens voudront les utiliser», affirme Neil Mac Leod, chef du service des eaux de la cité portuaire, située sur les rivages de l'Océan indien (est).
Le sujet des fluides corporels est tellement tabou que personne ne veut même l'évoquer. Interrogée, une jeune mère de famille accuse vaguement des «voleurs» d'avoir dérobé «la porte et la cuvette» de son lieu d'aisance, transformé en débarras.
«Les gens comparent ces WC avec ceux qui ont une chasse d'eau et ils ont l'impression qu'on leur a donné un système inférieur», explique Lucky Sibiya, éducateur au service des eaux de Durban. Dès qu'ils en ont les moyens, ils investissent dans une fosse septique et abandonnent les toilettes sèches, où il faut mettre du sable après chaque passage, s'efforcer de séparer les urines des excréments et vider les cuves régulièrement.
Pour cette raison, peu de villes se sont lancées dans l'installation à grande échelle de toilettes sèches. Durban a fait ce choix en 2002, quand une épidémie de choléra a mis en évidence le manque d'hygiène dans l'agglomération, où 1,3 des 4 millions d'habitants n'avaient accès à aucune forme de latrines.
Pour éviter de mettre en place toute une filière d'assainissement et économiser l'eau, la ville avait opté pour les toilettes sèches. Aujourd'hui, elle reste convaincue de la pertinence de son choix. «En Afrique du Sud, l'eau est rare, rappelle Teddy Gounden, responsable du projet. Nous ne pouvons pas nous permettre de jeter cette précieuse ressource dans les égoûts.»
Mais le principe de base est acquis. Chaque famille «productrice» recevrait 30 rands (3 euros) par semaine, une somme non négligeable dans un pays où 43% de la population vit avec moins de deux dollars par jour. Dans un deuxième temps, l'idée est de transformer aussi les excréments, qui finissent aujourd'hui souvent dans la nature... à l'encontre de tous les principes d'hygiène.
http://www.liberation.fr/monde/01012300623-une-ville-sud-africaine-veut-acheter-les-urines-de-ses-administres
Une toilette écologique à Cap-Haïtien (Haïti) (Creative Commons - Wikimédia/Rémi Kaupp)
«Si nous pouvons faire des toilettes sèches une source de revenus, les gens voudront les utiliser», affirme Neil Mac Leod, chef du service des eaux de la cité portuaire, située sur les rivages de l'Océan indien (est).
Réticences envers les toilettes sèches
Par souci d'hygiène et d'économie, Durban a doté les cours des quartiers délaissés d'environ 90.000 de ces toilettes à litière, qui n'utilisent pas une goutte d'eau. Mais la population boude. Dans le township d'Inanda, le spectacle est désolant: portes et toits arrachés, les cabanons servent d'annexe, quand ils ne sont pas complètement désossés.Le sujet des fluides corporels est tellement tabou que personne ne veut même l'évoquer. Interrogée, une jeune mère de famille accuse vaguement des «voleurs» d'avoir dérobé «la porte et la cuvette» de son lieu d'aisance, transformé en débarras.
«Les gens comparent ces WC avec ceux qui ont une chasse d'eau et ils ont l'impression qu'on leur a donné un système inférieur», explique Lucky Sibiya, éducateur au service des eaux de Durban. Dès qu'ils en ont les moyens, ils investissent dans une fosse septique et abandonnent les toilettes sèches, où il faut mettre du sable après chaque passage, s'efforcer de séparer les urines des excréments et vider les cuves régulièrement.
Un système vieux de plusieurs siècles
Ce système, inventé au Yémen il y a des siècles, «fonctionne très bien en zone rurale parce que l'engrais produit à partir de l'urine et des fèces est utilisé sur place», rappelle Pierre-Yves Oger, consultant en eau et assainissement basé en Afrique du Sud. «Mais en zone urbaine, il y a dissociation entre le producteur (d'excréments) et l'utilisateur des produits recyclés, et c'est très difficile de surmonter les blocages psychologiques», souligne-t-il.Pour cette raison, peu de villes se sont lancées dans l'installation à grande échelle de toilettes sèches. Durban a fait ce choix en 2002, quand une épidémie de choléra a mis en évidence le manque d'hygiène dans l'agglomération, où 1,3 des 4 millions d'habitants n'avaient accès à aucune forme de latrines.
Pour éviter de mettre en place toute une filière d'assainissement et économiser l'eau, la ville avait opté pour les toilettes sèches. Aujourd'hui, elle reste convaincue de la pertinence de son choix. «En Afrique du Sud, l'eau est rare, rappelle Teddy Gounden, responsable du projet. Nous ne pouvons pas nous permettre de jeter cette précieuse ressource dans les égoûts.»
3 euros par semaine pour chaque famille
Pour convaincre les habitants, la ville envisage d'installer des réceptacles de 20 litres pour récupérer contre rémunération les urines - riches en azote, phosphore et potassium - en vue de leur transformation en engrais. Les modalités exactes du projet doivent encore être définies, en partenariat avec le laboratoire suisse Eawag et la fondation Bill et Melinda Gates.Mais le principe de base est acquis. Chaque famille «productrice» recevrait 30 rands (3 euros) par semaine, une somme non négligeable dans un pays où 43% de la population vit avec moins de deux dollars par jour. Dans un deuxième temps, l'idée est de transformer aussi les excréments, qui finissent aujourd'hui souvent dans la nature... à l'encontre de tous les principes d'hygiène.
http://www.liberation.fr/monde/01012300623-une-ville-sud-africaine-veut-acheter-les-urines-de-ses-administres
Déchets radioactifs à Metz : le convoi de tous les dangers
Le Graoully déchaîné
Pendant que nos élus et gouvernements européens font de l’ultra communication autour de l’écologie, très à la mode en ce moment, que l’on nous culpabilise d’oublier de faire du tri sélectif, de ne pas mettre nos appareils électriques en veille, de laisser couler l’eau de la douche quand on se shampoigne - oui, ça va jusque là !- on assiste aux pollutions irréversibles de nos chéres multinationales Après les catastrophes écologiques ayant eu pour conséquences les marées noires, voilà que l’on transporte des déchets hautement dangereux à travers la France jusqu’en Allemagne
Contournant Paris alors que la capitale est sur le trajet - tiens donc ! - le tracé de ce convoi "exceptionnel " passera par Metz demain ! Et peutêtre par Forbach, mais ça nous le saurons que demain car Areva se méfiant des militants écolos allemands, nous ne savons encore où sera franchie la frontière
L’usine Areva de La Hague, cette sympathique société déjà sous le coup d’une plainte de Greenpeace pour être passé outre la réglementation des lieux pouvant entreposer des déchets nucléaires, est en plus complétment irresponsable.
En effet ces wagons contiennent le plus dangereux convoi jamais transporté : " la radioactivité contenue dans le convoi s’élèverait à 3000 PBq (Peta Becquerel), soit dix fois plus que celle dégagée par la catastrophe de Tchernobyl en 1986, qui avait atteint 260 PBq." (analyses officielles de greenpeace) Et il franchira allégrement de nombreuses villes françaises...
Nos comparses allemands, qui auront le grand privilège d’accueillir à Gorleben ce convoi , centre non adapté en plus pour ce type de déchets, se réuniront au passage du train pour bloquer ce dernier Trente mille personnes sont attendues... S’il vous prenait l’envie d’imiter nos amis frontaliers, voiçi le trajet précis du convoi ferroviaire.
jeudi 4 novembre 2010
Le français Total, cinquième groupe mondial d'énergie (étude)
AFP
La compagnie pétrolière Total figure au cinquième rang des groupes d'énergie les plus performants, après l'américain ExxonMobil, le britannique BP, le russe Gazprom et le brésilien Petrobras, selon une étude de la société d'information énergétique Platts diffusée mardi.
La compagnie pétrolière Total figure au cinquième rang des groupes d'énergie les plus performants, après l'américain ExxonMobil, le britannique BP, le russe Gazprom et le brésilien Petrobras, selon une étude de la société d'information énergétique Platts diffusée mardi.
Inscription à :
Articles (Atom)