Le Point
par Alister Doyle
OSLO (Reuters) - La communauté internationale, qui se réunira du 29 novembre au 10 décembre à Cancun pour débattre du changement climatique, cherchera à éviter que cette conférence de l'Onu ne soit paralysée par le bras de fer entre la Chine et les Etats-Unis, les deux plus gros pollueurs.
La plupart des pays participants nourrissent peu d'espoirs quant au succès de cette conférence des ministres de l'Environnement dans la station balnéaire mexicaine depuis l'incapacité du sommet de Copenhague, l'an dernier, à produire un traité pour lutter contre le réchauffement de la planète.
La conférence de Cancun servira de test à la faculté des Nations unies de réconcilier les intérêts de la Chine et des Etats-Unis, les deux puissances qui émettent le plus de gaz à effets de serre (GES), avec ceux des 192 autres participants, qui disposent tous d'un droit de veto.
"Nous devrons prendre quelques mesures pour avancer, ou les gens vont perdre foi dans le système des Nations unies", souligne Rajendra Pachauri, chef de la commission des spécialistes climatiques de l'Onu.
"Je suis un peu déprimé au sujet de Cancun", confie l'ancien vice-président américain Al Gore, militant écologiste de premier plan. "Le problème ne s'éloigne pas, il a plutôt tendance à s'aggraver, ajoute celui qui a partagé en 2007 le prix Nobel de la paix avec le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) pour leur contribution commune à la lutte contre le réchauffement climatique.
"PLUS DUR APRÈS 2012"
Les négociateurs de Cancun s'efforceront de s'entendre sur des "blocs d'accord", comme par exemple un "fonds vert" pour canaliser l'aide vers les pays pauvres, un mécanisme pour partager les nouvelles technologies énergétiques dites propres et une entente sur la protection des forêts tropicales, qui absorbent les GES.
Les espoirs d'un accord global contraignant se sont évanouis en partie en raison de l'incapacité de Washington et de Pékin au cours de cette année de s'entendre sur de nouvelles actions et des réticences du Sénat américain de ratifier un traité dans les années qui viennent.
"Il y a une impasse totale aux Etats-Unis, ce qui veut dire que la Chine ne va pas faire de geste", prédit Johan Rockstrom, directeur de l'Institut d'Environnement de Stockholm.
Une telle inaction augmente les risques de changement climatiques abrupts comme la fonte de la calotte polaire ou du permafrost.
Le monde a conclu l'actuelle convention des Nations unies sur le climat en 1992. Mais, pour l'actualiser, la Chine estime que le président Barack Obama doit aller au-delà de sa proposition de réduire d'ici 2020 les émissions de GES de 17% de moins que leurs niveaux de 2005.
Washington rétorque que la Chine doit, elle, durcir son plan "volontaire" de réduction d'émissions de carbone de 40% à 45% d'ici à 2020, par rapport à 2005.
Ce bras de fer éclipse les autres sujets de tension entre pays riches et pauvres.
Pour Alden Meyer, de l'"Union des savants concernés", le monde a sous-estimé les obstacles aux Etats-Unis, où Barack Obama risque de perdre en 2012 sa majorité démocrate au Sénat, même s'il est réélu. Pour ratifier un traité international, il faut le vote de 67 sénateurs sur 100.
"C'est probable que ce sera plus dur encore après 2012."
LES GES À UN NIVEAU SANS PRÉCÉDENT
Tous les pays industriels, sauf les Etats-Unis, soutiennent le Protocole de Kyoto, qui prévoit de réduire avant 2008-12 de 5,2% les niveaux d'émission de CO2 par rappport à 1990.
Avant l'échéance de la fin 2012, ils devront décider quelle suite à donner au Protocole.
Beaucoup d'espoirs reposent maintenant sur un accord au Sommet de la Terre prévu à Rio de Janeiro en 2012.
Soulignant l'urgence d'une action résolue, l'Organisation météorologique mondiale a annoncé mercredi que les concentrations des principaux GES dans l'atmosphère ont atteint leur niveau le plus élevé depuis l'aube de l'ère industrielle.
Les concentrations de dioxyde de carbone (CO2), de méthane et de protoxyde d'azote (N2O) ont continué d'augmenter en 2009 - dernière année d'observation prise en compte - malgré la crise économique mondiale, a souligné l'OMM, qui dépend de l'Onu, dans son dernier bulletin sur les GES.
L'augmentation des quantités de GES dans l'atmosphère y provoque une hausse des radiations, ce qui réchauffe la surface de la Terre et provoque des changements climatiques.
Il faudra un siècle environ pour que le CO2 disparaisse de l'atmosphère en cas d'arrêt total des émissions de GES.
Avec Laura MacInnis à Genève et Gerard Wynn à Londres, Eric Faye, Jean-Loup Fiévet et Marc Delteil pour le service français, édité par Gilles Trequesser
http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/bras-de-fer-sino-americain-previsible-a-cancun-sur-le-climat-27-11-2010-1267689_240.php
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samedi 27 novembre 2010
Madagascar : début des essais techniques dans la centrale électrique du projet Ambatovy
AFRISCOOP
Les essais techniques dans la centrale électrique du projet Ambatovy de production de nickel et de cobalt, dans son usine à Toamasina à l'est de Madagascar, commenceront dans quelques jours, selon communiqué rendu public vendredi par le projet.
Les essais techniques concernent les trois chaudières de l'usine par le nettoyage des conduites par l'évacuation de vapeur à haute pression dans le circuit de tuyauterie à travers un silencieux.
La mise en service de l'usine de calcaire, les usines de séparation d'air et d'hydrogène, les systèmes de chargement et de déchargement par trains et autorails ainsi que l'installation de stockage d'ammonium est également inclus dans les essais.
Le responsable de communication du projet a annoncé que ces essais techniques "ne présentent aucun danger aussi bien pour les employés d'Ambatovy que pour la communauté et qui respectent les normes internationales établies ainsi que les bonnes pratiques en la matière".
Avant ces essais, des séances d'information seront dans le programme du projet afin d'expliquer aux publics et riverains l'importance et la portée de chaque essai technique et faire dissiper les éventuels soucis.
Notons que la phase de construction du projet Ambatovy est à 80%. Une fois les travaux de constr
uction finis, l'on procède à la phase des essais techniques et la phase d'exploitation du nickel et du cobalt peut commencer vers le début de l'année 2011. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve5327
Les essais techniques concernent les trois chaudières de l'usine par le nettoyage des conduites par l'évacuation de vapeur à haute pression dans le circuit de tuyauterie à travers un silencieux.
La mise en service de l'usine de calcaire, les usines de séparation d'air et d'hydrogène, les systèmes de chargement et de déchargement par trains et autorails ainsi que l'installation de stockage d'ammonium est également inclus dans les essais.
Le responsable de communication du projet a annoncé que ces essais techniques "ne présentent aucun danger aussi bien pour les employés d'Ambatovy que pour la communauté et qui respectent les normes internationales établies ainsi que les bonnes pratiques en la matière".
Avant ces essais, des séances d'information seront dans le programme du projet afin d'expliquer aux publics et riverains l'importance et la portée de chaque essai technique et faire dissiper les éventuels soucis.
Notons que la phase de construction du projet Ambatovy est à 80%. Une fois les travaux de constr
uction finis, l'on procède à la phase des essais techniques et la phase d'exploitation du nickel et du cobalt peut commencer vers le début de l'année 2011. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve5327
mercredi 24 novembre 2010
Malaisie : Total acquiert une participation dans un permis d'exploration en eaux profondes
LCI
Total (Paris:FP) (LSE:TTA) (NYSE:TOT) annonce la signature d'un accord avec la compagnie nationale Petronas pour l'acquisition d'une participation de 85% dans le permis SK317B, au large des côtes malaises. Selon les termes de cet accord, Total opère le permis aux côtés de son partenaire Petronas Carigali, qui détient les 15% restants.
Situé à environ 100 kilomètres des côtes de Sarawak, le bloc SK317B s'étend sur plus de 700 kilomètres carrés, par des profondeurs d'eau de 200 à 1 000 mètres. Le programme de travail durant la période d'exploration prévoit une campagne d'acquisition de données sismiques et des opérations de forage par grande profondeur d'eau, un domaine dans lequel Total dispose d'une expertise reconnue.
Suite à cette signature, Jean-Marie Guillermou, directeur Asie-Pacifique à Total Exploration & Production a déclaré : « Cette acquisition illustre la volonté de Total d'étendre son domaine minier dans de nouvelles zones ou sur de nouvelles thématiques tout en développant ses partenariats avec les compagnies nationales comme Petronas ».
Total E&P Malaisie
Total est présent en Malaisie au travers d'une participation, acquise en 2008, de 70% dans un contrat de partage de production qui couvre les permis PM303 et PM324, situés au large de la péninsulemalaise, en partenariat avec Petronas Carigali (30%). Opérateur sur ces deux permis, Total a déjà mené une campagne d'acquisition de données sismiques en 2009 et débutera en 2011 une campagne de forage d'exploration dans des conditions de haute pression et haute température (HP/HT).
Total Exploration & Production en Asie - Pacifique
Avec 250 000 barils équivalents pétrole par jour, la région Asie - Pacifique a représenté 11% de la production totale et plus de 50% de la production de Gaz Naturel Liquéfié (GNL) du Groupe en 2009. Le Groupe est fortement implanté en Indonésie, où il opère le bloc de la Mahakam depuis 1970, et où il est l'un des premiers producteurs de gaz naturel du pays. Total produit également du gaz en Thaïlande, au Myanmar et dans le Sultanat de Brunei.
En exploration, le Groupe a diversifié ses positions en prenant des participations en Australie, au Cambodge, en Malaisie et au Vietnam. En Australie, Total détient en outre une participation de 24% dans le projet GNL Ichthys, en partenariat avec Inpex, et vient d'acquérir une participation de 20% dans le projet GLNG aux côtés de Santos et Petronas. En Chine, le Groupe a signé un contrat avec China National Petroleum Corporation pour évaluer les ressources en gaz naturel du bloc Sulige Sud.
Total est l'un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Ses 96 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de cette industrie : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles et trading. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande énergétique mondiale, présente et future. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. www.total.com
http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW101119_00005590&numligne=0&date=101119
Total (Paris:FP) (LSE:TTA) (NYSE:TOT) annonce la signature d'un accord avec la compagnie nationale Petronas pour l'acquisition d'une participation de 85% dans le permis SK317B, au large des côtes malaises. Selon les termes de cet accord, Total opère le permis aux côtés de son partenaire Petronas Carigali, qui détient les 15% restants.
Situé à environ 100 kilomètres des côtes de Sarawak, le bloc SK317B s'étend sur plus de 700 kilomètres carrés, par des profondeurs d'eau de 200 à 1 000 mètres. Le programme de travail durant la période d'exploration prévoit une campagne d'acquisition de données sismiques et des opérations de forage par grande profondeur d'eau, un domaine dans lequel Total dispose d'une expertise reconnue.
Suite à cette signature, Jean-Marie Guillermou, directeur Asie-Pacifique à Total Exploration & Production a déclaré : « Cette acquisition illustre la volonté de Total d'étendre son domaine minier dans de nouvelles zones ou sur de nouvelles thématiques tout en développant ses partenariats avec les compagnies nationales comme Petronas ».
Total E&P Malaisie
Total est présent en Malaisie au travers d'une participation, acquise en 2008, de 70% dans un contrat de partage de production qui couvre les permis PM303 et PM324, situés au large de la péninsulemalaise, en partenariat avec Petronas Carigali (30%). Opérateur sur ces deux permis, Total a déjà mené une campagne d'acquisition de données sismiques en 2009 et débutera en 2011 une campagne de forage d'exploration dans des conditions de haute pression et haute température (HP/HT).
Total Exploration & Production en Asie - Pacifique
Avec 250 000 barils équivalents pétrole par jour, la région Asie - Pacifique a représenté 11% de la production totale et plus de 50% de la production de Gaz Naturel Liquéfié (GNL) du Groupe en 2009. Le Groupe est fortement implanté en Indonésie, où il opère le bloc de la Mahakam depuis 1970, et où il est l'un des premiers producteurs de gaz naturel du pays. Total produit également du gaz en Thaïlande, au Myanmar et dans le Sultanat de Brunei.
En exploration, le Groupe a diversifié ses positions en prenant des participations en Australie, au Cambodge, en Malaisie et au Vietnam. En Australie, Total détient en outre une participation de 24% dans le projet GNL Ichthys, en partenariat avec Inpex, et vient d'acquérir une participation de 20% dans le projet GLNG aux côtés de Santos et Petronas. En Chine, le Groupe a signé un contrat avec China National Petroleum Corporation pour évaluer les ressources en gaz naturel du bloc Sulige Sud.
Total est l'un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Ses 96 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de cette industrie : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles et trading. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande énergétique mondiale, présente et future. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. www.total.com
http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW101119_00005590&numligne=0&date=101119
mardi 23 novembre 2010
Organisation du 4ème Salon des énergies renouvelables et de l’environnement en Afrique, en avril 2011 à Dakar
AFRIQUE AVENIR
APA-Dakar(Sénégal) La 4ème édition du Salon international des énergies renouvelables et de l'environnement en Afrique, organisé par Expo carrefour Afrique (Excaf), se tiendra du 27 au 30 avril 2011 à Dakar, a appris APA auprès de l'organisateur.
« Le Salon sera un cadre africain de promotion des nouvelles technologies dans les différentes filières des énergies renouvelables et de l'environnement », avance Ibrahima DIAGNE, président directeur général d'Excaf.
Il ajoute que le salon qui aura lieu au parc des Expositions du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES) comprend trois volets.
Le premier est une exposition internationale ouverte aux entreprises, aux organisations internationales, aux organismes et structures de recherche et d'études, provenant d'horizons divers et évoluant dans les différentes filières.
Le 2ème volet est un colloque international dont les thèmes seront axés sur les préoccupations majeures des pays africains face à la situation énergétique et à la problématique environnementale actuelles et sur les solutions alternatives adaptées au contexte africain.
Le dernier volet sera constitué de rencontres de partenariat dont l'objectif principal est de promouvoir les investissements dans les filières des énergies renouvelables et les différents secteurs de l'environnement en Afrique.
« Lors de la précédente édition, la diversité des exposants provenant de différents pays et des organisations internationales (ONUDI - FABER - CDE) ont offert aux professionnels et visiteurs les résultats de leurs recherches et expériences sur les énergies renouvelables et l'environnement » rappelle M. Diagne.
C'est fort de ce résultat, poursuit-il que « nous nous proposons de poursuivre nos efforts de promotion et d'appui des dits secteurs par la programmation de la 4ème édition ».
MS/moma/APA
17-11-2010
http://www.afriqueavenir.org/2010/11/17/organisation-du-4eme-salon-des-energies-renouvelables-et-de-l%E2%80%99environnement-en-afrique-en-avril-2011-a-dakar-2/
APA-Dakar(Sénégal) La 4ème édition du Salon international des énergies renouvelables et de l'environnement en Afrique, organisé par Expo carrefour Afrique (Excaf), se tiendra du 27 au 30 avril 2011 à Dakar, a appris APA auprès de l'organisateur.
« Le Salon sera un cadre africain de promotion des nouvelles technologies dans les différentes filières des énergies renouvelables et de l'environnement », avance Ibrahima DIAGNE, président directeur général d'Excaf.
Il ajoute que le salon qui aura lieu au parc des Expositions du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES) comprend trois volets.
Le premier est une exposition internationale ouverte aux entreprises, aux organisations internationales, aux organismes et structures de recherche et d'études, provenant d'horizons divers et évoluant dans les différentes filières.
Le 2ème volet est un colloque international dont les thèmes seront axés sur les préoccupations majeures des pays africains face à la situation énergétique et à la problématique environnementale actuelles et sur les solutions alternatives adaptées au contexte africain.
Le dernier volet sera constitué de rencontres de partenariat dont l'objectif principal est de promouvoir les investissements dans les filières des énergies renouvelables et les différents secteurs de l'environnement en Afrique.
« Lors de la précédente édition, la diversité des exposants provenant de différents pays et des organisations internationales (ONUDI - FABER - CDE) ont offert aux professionnels et visiteurs les résultats de leurs recherches et expériences sur les énergies renouvelables et l'environnement » rappelle M. Diagne.
C'est fort de ce résultat, poursuit-il que « nous nous proposons de poursuivre nos efforts de promotion et d'appui des dits secteurs par la programmation de la 4ème édition ».
MS/moma/APA
17-11-2010
http://www.afriqueavenir.org/2010/11/17/organisation-du-4eme-salon-des-energies-renouvelables-et-de-l%E2%80%99environnement-en-afrique-en-avril-2011-a-dakar-2/
Attempted Madagascar coup unlikely to affect Ambatovy
MINING REVIEW
Seoul, South Korea --- MININGREVIEW.COM --- 22 November 2010 - The attempted coup in Madagascar is unlikely to have a major impact on plans to start production of nickel from the US$4.65 billion (R32.5 billion) Ambatovy mine in the first half of next year.
.
In an e-mailed statement issued here, the state-run minerals explorer Korea Resources Corporation said it was watching developments closely. The Seoul-based company is part of a group that holds 27.5% of the project.
Madagascar's army is trying to persuade about 20 rebel officers to turn themselves in after their attempt to overthrow President Andry Rajoelina failed last Wednesday. The dissident officers are at an army base near the international airport, north of the capital, Antananarivo. "Even if the airport is closed, it won't affect ongoing work on the project, since most of the construction materials are delivered by ship," Korea Resources said.
Canada's Sherritt International Corporation has a 40% stake in the Ambatovy project on the Indian Ocean island, while a Korean group led by Korea Resources and Japan's third-largest trading company, Sumitomo Corporation, each hold 27.5%.
"At the moment, there's no impact on the development plan, Koji Furui, a spokesman for Tokyo-based Sumitomo, confirmed by phone.
http://www.miningreview.com/node/18794
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In an e-mailed statement issued here, the state-run minerals explorer Korea Resources Corporation said it was watching developments closely. The Seoul-based company is part of a group that holds 27.5% of the project.
Madagascar's army is trying to persuade about 20 rebel officers to turn themselves in after their attempt to overthrow President Andry Rajoelina failed last Wednesday. The dissident officers are at an army base near the international airport, north of the capital, Antananarivo. "Even if the airport is closed, it won't affect ongoing work on the project, since most of the construction materials are delivered by ship," Korea Resources said.
Canada's Sherritt International Corporation has a 40% stake in the Ambatovy project on the Indian Ocean island, while a Korean group led by Korea Resources and Japan's third-largest trading company, Sumitomo Corporation, each hold 27.5%.
"At the moment, there's no impact on the development plan, Koji Furui, a spokesman for Tokyo-based Sumitomo, confirmed by phone.
http://www.miningreview.com/node/18794
dimanche 21 novembre 2010
News: FRANCE ISRAËL - PETROLE OFFSHORE - REVELATIONS : TOTAL ENFIN EN ISRAËL DANS UN "CONSEIL CONSULTATIF " DE I.D.T. LIE AU PHILANTROPE ET BUSINESSMAN HOWARD JONAS.
IsraelValley
Par Jonathan-Simon Sellem
Golda Meir répétait souvent une blague juive sur le pétrole : «Pourquoi donc Moïse nous a-t-il fait attendre 40 ans dans le désert pour nous emmener dans le seul pays du Moyen-Orient sans pétrole ?» Aujourd’hui, quelques hommes d’affaires parmi les plus puissants au monde prennent les paris. Ils pensent qu’Israël pourrait cacher la première réserve de pétrole au monde. Et cela, ce n’est pas une blague… Ils investissent des sommes considérables pour creuser le sol…
Howard Jonas est un grand philanthrope connu essentiellement pour sa réussite dans le secteur des télécommunications. La semaine dernière, il a lâché une petite bombe: « Nous croyons qu’Israël a plus de pétrole que l’Arabie Saoudite. Il pourrait y avoir 500 milliards de barils dans le sol israélien contre 260 milliards pour les Saoudiens».
Jonas a donc mis sur pied une équipe d’investissement de rêve. Cette semaine, le magnat des médias Rupert Murdoch et Lord Jacob Rothschild, de la célèbre famille de banquiers, ont placé leur pile de jetons avec Jonas. Plus tôt cette année, un autre grand philanthrope juif, Michael Steinhardt, s’est joint à cette aventure…
«Les sceptiques disent que ce groupe est pareil à un moulin à vent», affirme l’initiateur du projet. «Mais regardez assez longtemps, voyez que les moulins ressemblent aux machines de forage pétrolier… »
Avant Israël, Jonas a tenté d’extraire du pétrole pendant 10 ans des terres gouvernementales du Colorado. Fort de ses réussites, il a obtenu l’accord d’Israël pour creuser un réservoir de schiste de 238 km² dans le bassin de Shfela. Malgré les luttes contre les écologistes, les recherches devraient commencer dans les prochains jours…
Le pétrole, cependant, n’est pas liquide dans le schiste. Il est argileux. Ce qui est dommage puisque le processus de transformation du schiste solide comme un roc en liquide est coûteux, long et difficile, pour ne pas mentionner qu’il pourrait, selon les critiques, conduire à des émissions de gaz excessives, à endommager la nappe phréatique et, globalement, abîmer une partie de l’environnement. Mais qu’importe pour l’instant, la recherche de l’or noir prime sur tout.
L’Union pour la Défense Environnementale d’Israël a donc tenté d’empêcher les forages. Mais devant les tribunaux, c’est bien avec l’argument de défense (militaire et économique) qui a fait que Jonas a remporté son pari. L’indépendance énergétique : le rêve de tous les pays !
Jonas, un sioniste orthodoxe, considère le projet comme une solution parfaite pour arranger bien des problèmes. En attendant, le cours de l’action IDT (nom de la compagnie de forage), vient de gagner 200% de cote en 1 an avec la seule nouvelle venant d’Israël. L’action vaut aujourd’hui plus de 20$.
Aujourd’hui, il imagine la production commerciale du pétrole. «Cela prendra 11 ou 12 ans après les découvertes… Et encore, dans les meilleurs délais… Mais imaginez un peu !»
Il est de notoriété publique que les grandes compagnies pétrolières ont hésité à forer en Israël à cause de la pression du boycott arabe et les relations étroites entre leurs dirigeants et les décideurs arabes. Et pourtant, le géant pétrolier français Total a investi avec Jonas et vient également de rejoindre le conseil consultatif d’IDT. Harold Vinager, ancien directeur scientifique de Royal Dutch Oil et ancien conseiller de Dick Cheney, a également rejoint le groupe.
Néanmoins, ce sont les sionistes religieux, tels que Jonas ou encore des groupes chrétiens sionistes, qui ont été à la pointe de l’exploration pétrolière en Israël. Ces derniers groupes ont cité des versets de la Bible qu’ils disent référer à de vastes réserves pétrolières sous la terre promise, ajoutant que l’indépendance énergétique d’Israël est le succès au prélude d’Ezéchiel (scénario de la rédemption finale).
Si Jonas, Steinhardt, Rothschild et le reste sont capables de changer le schiste souterrain d’Israël en première réserve de pétrole au monde, modifiant ainsi l’équilibre géopolitique et économique du Moyen-Orient, ils seront des héros… Bien au-delà de ce que l’on peut aujourd’hui imaginer ! Et là, on dira peut-être que Moïse savait ce qu’il faisait !
http://www.israelvalley.com/news/2010/11/20/29260/france-israel-petrole-offshore-revelations-total-enfin-en-israel-dans-un-conseil-consultatif-de-i-d-t-lie-au-philantrope-
Par Jonathan-Simon Sellem
Golda Meir répétait souvent une blague juive sur le pétrole : «Pourquoi donc Moïse nous a-t-il fait attendre 40 ans dans le désert pour nous emmener dans le seul pays du Moyen-Orient sans pétrole ?» Aujourd’hui, quelques hommes d’affaires parmi les plus puissants au monde prennent les paris. Ils pensent qu’Israël pourrait cacher la première réserve de pétrole au monde. Et cela, ce n’est pas une blague… Ils investissent des sommes considérables pour creuser le sol…
Howard Jonas est un grand philanthrope connu essentiellement pour sa réussite dans le secteur des télécommunications. La semaine dernière, il a lâché une petite bombe: « Nous croyons qu’Israël a plus de pétrole que l’Arabie Saoudite. Il pourrait y avoir 500 milliards de barils dans le sol israélien contre 260 milliards pour les Saoudiens».
Jonas a donc mis sur pied une équipe d’investissement de rêve. Cette semaine, le magnat des médias Rupert Murdoch et Lord Jacob Rothschild, de la célèbre famille de banquiers, ont placé leur pile de jetons avec Jonas. Plus tôt cette année, un autre grand philanthrope juif, Michael Steinhardt, s’est joint à cette aventure…
«Les sceptiques disent que ce groupe est pareil à un moulin à vent», affirme l’initiateur du projet. «Mais regardez assez longtemps, voyez que les moulins ressemblent aux machines de forage pétrolier… »
Avant Israël, Jonas a tenté d’extraire du pétrole pendant 10 ans des terres gouvernementales du Colorado. Fort de ses réussites, il a obtenu l’accord d’Israël pour creuser un réservoir de schiste de 238 km² dans le bassin de Shfela. Malgré les luttes contre les écologistes, les recherches devraient commencer dans les prochains jours…
Le pétrole, cependant, n’est pas liquide dans le schiste. Il est argileux. Ce qui est dommage puisque le processus de transformation du schiste solide comme un roc en liquide est coûteux, long et difficile, pour ne pas mentionner qu’il pourrait, selon les critiques, conduire à des émissions de gaz excessives, à endommager la nappe phréatique et, globalement, abîmer une partie de l’environnement. Mais qu’importe pour l’instant, la recherche de l’or noir prime sur tout.
L’Union pour la Défense Environnementale d’Israël a donc tenté d’empêcher les forages. Mais devant les tribunaux, c’est bien avec l’argument de défense (militaire et économique) qui a fait que Jonas a remporté son pari. L’indépendance énergétique : le rêve de tous les pays !
Jonas, un sioniste orthodoxe, considère le projet comme une solution parfaite pour arranger bien des problèmes. En attendant, le cours de l’action IDT (nom de la compagnie de forage), vient de gagner 200% de cote en 1 an avec la seule nouvelle venant d’Israël. L’action vaut aujourd’hui plus de 20$.
Aujourd’hui, il imagine la production commerciale du pétrole. «Cela prendra 11 ou 12 ans après les découvertes… Et encore, dans les meilleurs délais… Mais imaginez un peu !»
Il est de notoriété publique que les grandes compagnies pétrolières ont hésité à forer en Israël à cause de la pression du boycott arabe et les relations étroites entre leurs dirigeants et les décideurs arabes. Et pourtant, le géant pétrolier français Total a investi avec Jonas et vient également de rejoindre le conseil consultatif d’IDT. Harold Vinager, ancien directeur scientifique de Royal Dutch Oil et ancien conseiller de Dick Cheney, a également rejoint le groupe.
Néanmoins, ce sont les sionistes religieux, tels que Jonas ou encore des groupes chrétiens sionistes, qui ont été à la pointe de l’exploration pétrolière en Israël. Ces derniers groupes ont cité des versets de la Bible qu’ils disent référer à de vastes réserves pétrolières sous la terre promise, ajoutant que l’indépendance énergétique d’Israël est le succès au prélude d’Ezéchiel (scénario de la rédemption finale).
Si Jonas, Steinhardt, Rothschild et le reste sont capables de changer le schiste souterrain d’Israël en première réserve de pétrole au monde, modifiant ainsi l’équilibre géopolitique et économique du Moyen-Orient, ils seront des héros… Bien au-delà de ce que l’on peut aujourd’hui imaginer ! Et là, on dira peut-être que Moïse savait ce qu’il faisait !
http://www.israelvalley.com/news/2010/11/20/29260/france-israel-petrole-offshore-revelations-total-enfin-en-israel-dans-un-conseil-consultatif-de-i-d-t-lie-au-philantrope-
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