Le Monde
La Boston Review a organisé dans son numéro même des réactions nourries aux propos de Kentaro Toyama que nous évoquions la semaine dernière.
COMMENT SE PRÉSERVER DE L'UTOPIE TECHNOLOGIQUE ?
Le Cassandre Evgeny Morozov, qui s'apprête à publier un livre sur la Désillusion Internet, boit du petit lait : "Les décideurs peuvent croire qu'en reconnaissant tout simplement l'échec des technologies précédentes, ils s'assurent que leurs nouvelles initiatives évitent le même sort. Si seulement c'était aussi simple que ça ! La longue histoire de l'utopisme technologique nous enseigne le contraire. Les promesses non tenues des technologies du passé dérangent rarement les partisans les plus fervents des nouveautés les plus à la pointe, qui estiment que leur outil est véritablement différent de tous ceux qui les ont précédés. Et parce que la croyance populaire dans la première puissance mondiale économique qu'est la technologie est souvent basée sur des mythes plutôt que des données recueillies avec soin ou une évaluation rigoureuse, il est facile de voir pourquoi l'utopisme technologique est si omniprésent : les mythes, à la différence des théories scientifiques, sont à l'abri de la preuve."
Le rythme de l'innovation laisse peu de temps à l'auto-réflexion. Au lieu d'analyser les échecs passés des gadgets d'hier, les innovateurs passionnés sont déjà en train d'essayer les technologies qui seront cool demain, explique Evgeny Morozov. Mais si l'utopie technologique est là pour rester, comment faire pour sauvegarder nos politiques et les projets de son influence pernicieuse?
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dimanche 28 novembre 2010
samedi 27 novembre 2010
28e édition du Festival International du Film d’Environnement
ECO TOURISME Magazine
Mis en ligne par Stéphane Clerc le 23 novembre 2010
Mis en ligne par Stéphane Clerc le 23 novembre 2010
Du 24 au 30 novembre prochain se tiendra la 28ème édition du Festival International du Film d'Environnement (FIFE) au cinéma La Pagode à Paris et en Ile-de-France. Durant une semaine, plus de 140 films et documentaires seront projetés (fictions, courts-métrages, avant-premières, etc.) en provenance du monde entier (38 pays représentés). Organisé par la Région Île-de-France, le Festival international du film d'environnement est destiné à sensibiliser le public à l'éco-citoyenneté en l'incitant à la réflexion et à l'action notamment à travers des débats participatifs. Gratuit et ouvert à tous, le FIFE a été créé en 1982 et s'est internationalisé au fil des ans tout en s'ouvrant à des thématiques plus sociétales comme le développement durable et solidaire.
Dans le cadre de la programmation du 28e Festival international du film d'environnement, plus de 2000 documentaires, courts métrages et fictions ont été visionnés par l'équipe du Fife. Les 140 œuvres sélectionnées doivent permettre au festival d'évoquer le plus largement possible les thématiques internationales actuelles sur l'environnement et sont jugées sur l'adéquation entre la forme artistique et le fond. Les thèmes de l'édition 2010 sont très variés : Habitat et construction, Désastre pétrolier, Des idées pour demain, Les poisons du quotidien… Des thèmes qui convergent vers la question cruciale de la survie de l'homme sur une planète en danger.
Comme chaque année, des rencontres seront organisées à l'issue des séances afin de permettre au public, aux réalisateurs et aux équipes de films de confronter leurs idées, partager leurs expériences et nourrir leur réflexion sur les différents thèmes abordés lors des projections.
A l'issue du festival, plusieurs prix seront décernés. Présidé par la journaliste Isabelle Giordano, le jury est composé de spécialistes de l'environnement, du cinéma et de journalistes. 2 prix spéciaux seront également remis par un jury de lycéens et le jury du personnel de la région IDF.
Lieux :
- Cinéma La Pagode, 57 bis rue de Babylone, Paris 7ème (métro St-François Xavier)
- Cinéma La Clef, 34 rue Daubenton, Paris 5ème (métro Censier-Daubenton)
- Ciné 104, 104 av Jean Lolive, Pantin (métro Hoche)
- Cinéma Le Capitole, 3 rue Ledru-Rollin, Suresnes (tramway Suresnes-Longchamp)
Entrée gratuite.
http://www.ecotourisme-magazine.com/28e-edition-du-festival-international-du-film-denvironnement/
Dans le cadre de la programmation du 28e Festival international du film d'environnement, plus de 2000 documentaires, courts métrages et fictions ont été visionnés par l'équipe du Fife. Les 140 œuvres sélectionnées doivent permettre au festival d'évoquer le plus largement possible les thématiques internationales actuelles sur l'environnement et sont jugées sur l'adéquation entre la forme artistique et le fond. Les thèmes de l'édition 2010 sont très variés : Habitat et construction, Désastre pétrolier, Des idées pour demain, Les poisons du quotidien… Des thèmes qui convergent vers la question cruciale de la survie de l'homme sur une planète en danger.
Comme chaque année, des rencontres seront organisées à l'issue des séances afin de permettre au public, aux réalisateurs et aux équipes de films de confronter leurs idées, partager leurs expériences et nourrir leur réflexion sur les différents thèmes abordés lors des projections.
A l'issue du festival, plusieurs prix seront décernés. Présidé par la journaliste Isabelle Giordano, le jury est composé de spécialistes de l'environnement, du cinéma et de journalistes. 2 prix spéciaux seront également remis par un jury de lycéens et le jury du personnel de la région IDF.
Infos pratiques :
Dates : du mercredi 24 au mercredi 30 novembre 2010Lieux :
- Cinéma La Pagode, 57 bis rue de Babylone, Paris 7ème (métro St-François Xavier)
- Cinéma La Clef, 34 rue Daubenton, Paris 5ème (métro Censier-Daubenton)
- Ciné 104, 104 av Jean Lolive, Pantin (métro Hoche)
- Cinéma Le Capitole, 3 rue Ledru-Rollin, Suresnes (tramway Suresnes-Longchamp)
Entrée gratuite.
http://www.ecotourisme-magazine.com/28e-edition-du-festival-international-du-film-denvironnement/
Bras de fer sino-américain prévisible à Cancun sur le climat
Le Point
par Alister Doyle
OSLO (Reuters) - La communauté internationale, qui se réunira du 29 novembre au 10 décembre à Cancun pour débattre du changement climatique, cherchera à éviter que cette conférence de l'Onu ne soit paralysée par le bras de fer entre la Chine et les Etats-Unis, les deux plus gros pollueurs.
La plupart des pays participants nourrissent peu d'espoirs quant au succès de cette conférence des ministres de l'Environnement dans la station balnéaire mexicaine depuis l'incapacité du sommet de Copenhague, l'an dernier, à produire un traité pour lutter contre le réchauffement de la planète.
La conférence de Cancun servira de test à la faculté des Nations unies de réconcilier les intérêts de la Chine et des Etats-Unis, les deux puissances qui émettent le plus de gaz à effets de serre (GES), avec ceux des 192 autres participants, qui disposent tous d'un droit de veto.
"Nous devrons prendre quelques mesures pour avancer, ou les gens vont perdre foi dans le système des Nations unies", souligne Rajendra Pachauri, chef de la commission des spécialistes climatiques de l'Onu.
"Je suis un peu déprimé au sujet de Cancun", confie l'ancien vice-président américain Al Gore, militant écologiste de premier plan. "Le problème ne s'éloigne pas, il a plutôt tendance à s'aggraver, ajoute celui qui a partagé en 2007 le prix Nobel de la paix avec le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) pour leur contribution commune à la lutte contre le réchauffement climatique.
"PLUS DUR APRÈS 2012"
Les négociateurs de Cancun s'efforceront de s'entendre sur des "blocs d'accord", comme par exemple un "fonds vert" pour canaliser l'aide vers les pays pauvres, un mécanisme pour partager les nouvelles technologies énergétiques dites propres et une entente sur la protection des forêts tropicales, qui absorbent les GES.
Les espoirs d'un accord global contraignant se sont évanouis en partie en raison de l'incapacité de Washington et de Pékin au cours de cette année de s'entendre sur de nouvelles actions et des réticences du Sénat américain de ratifier un traité dans les années qui viennent.
"Il y a une impasse totale aux Etats-Unis, ce qui veut dire que la Chine ne va pas faire de geste", prédit Johan Rockstrom, directeur de l'Institut d'Environnement de Stockholm.
Une telle inaction augmente les risques de changement climatiques abrupts comme la fonte de la calotte polaire ou du permafrost.
Le monde a conclu l'actuelle convention des Nations unies sur le climat en 1992. Mais, pour l'actualiser, la Chine estime que le président Barack Obama doit aller au-delà de sa proposition de réduire d'ici 2020 les émissions de GES de 17% de moins que leurs niveaux de 2005.
Washington rétorque que la Chine doit, elle, durcir son plan "volontaire" de réduction d'émissions de carbone de 40% à 45% d'ici à 2020, par rapport à 2005.
Ce bras de fer éclipse les autres sujets de tension entre pays riches et pauvres.
Pour Alden Meyer, de l'"Union des savants concernés", le monde a sous-estimé les obstacles aux Etats-Unis, où Barack Obama risque de perdre en 2012 sa majorité démocrate au Sénat, même s'il est réélu. Pour ratifier un traité international, il faut le vote de 67 sénateurs sur 100.
"C'est probable que ce sera plus dur encore après 2012."
LES GES À UN NIVEAU SANS PRÉCÉDENT
Tous les pays industriels, sauf les Etats-Unis, soutiennent le Protocole de Kyoto, qui prévoit de réduire avant 2008-12 de 5,2% les niveaux d'émission de CO2 par rappport à 1990.
Avant l'échéance de la fin 2012, ils devront décider quelle suite à donner au Protocole.
Beaucoup d'espoirs reposent maintenant sur un accord au Sommet de la Terre prévu à Rio de Janeiro en 2012.
Soulignant l'urgence d'une action résolue, l'Organisation météorologique mondiale a annoncé mercredi que les concentrations des principaux GES dans l'atmosphère ont atteint leur niveau le plus élevé depuis l'aube de l'ère industrielle.
Les concentrations de dioxyde de carbone (CO2), de méthane et de protoxyde d'azote (N2O) ont continué d'augmenter en 2009 - dernière année d'observation prise en compte - malgré la crise économique mondiale, a souligné l'OMM, qui dépend de l'Onu, dans son dernier bulletin sur les GES.
L'augmentation des quantités de GES dans l'atmosphère y provoque une hausse des radiations, ce qui réchauffe la surface de la Terre et provoque des changements climatiques.
Il faudra un siècle environ pour que le CO2 disparaisse de l'atmosphère en cas d'arrêt total des émissions de GES.
Avec Laura MacInnis à Genève et Gerard Wynn à Londres, Eric Faye, Jean-Loup Fiévet et Marc Delteil pour le service français, édité par Gilles Trequesser
http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/bras-de-fer-sino-americain-previsible-a-cancun-sur-le-climat-27-11-2010-1267689_240.php
par Alister Doyle
OSLO (Reuters) - La communauté internationale, qui se réunira du 29 novembre au 10 décembre à Cancun pour débattre du changement climatique, cherchera à éviter que cette conférence de l'Onu ne soit paralysée par le bras de fer entre la Chine et les Etats-Unis, les deux plus gros pollueurs.
La plupart des pays participants nourrissent peu d'espoirs quant au succès de cette conférence des ministres de l'Environnement dans la station balnéaire mexicaine depuis l'incapacité du sommet de Copenhague, l'an dernier, à produire un traité pour lutter contre le réchauffement de la planète.
La conférence de Cancun servira de test à la faculté des Nations unies de réconcilier les intérêts de la Chine et des Etats-Unis, les deux puissances qui émettent le plus de gaz à effets de serre (GES), avec ceux des 192 autres participants, qui disposent tous d'un droit de veto.
"Nous devrons prendre quelques mesures pour avancer, ou les gens vont perdre foi dans le système des Nations unies", souligne Rajendra Pachauri, chef de la commission des spécialistes climatiques de l'Onu.
"Je suis un peu déprimé au sujet de Cancun", confie l'ancien vice-président américain Al Gore, militant écologiste de premier plan. "Le problème ne s'éloigne pas, il a plutôt tendance à s'aggraver, ajoute celui qui a partagé en 2007 le prix Nobel de la paix avec le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) pour leur contribution commune à la lutte contre le réchauffement climatique.
"PLUS DUR APRÈS 2012"
Les négociateurs de Cancun s'efforceront de s'entendre sur des "blocs d'accord", comme par exemple un "fonds vert" pour canaliser l'aide vers les pays pauvres, un mécanisme pour partager les nouvelles technologies énergétiques dites propres et une entente sur la protection des forêts tropicales, qui absorbent les GES.
Les espoirs d'un accord global contraignant se sont évanouis en partie en raison de l'incapacité de Washington et de Pékin au cours de cette année de s'entendre sur de nouvelles actions et des réticences du Sénat américain de ratifier un traité dans les années qui viennent.
"Il y a une impasse totale aux Etats-Unis, ce qui veut dire que la Chine ne va pas faire de geste", prédit Johan Rockstrom, directeur de l'Institut d'Environnement de Stockholm.
Une telle inaction augmente les risques de changement climatiques abrupts comme la fonte de la calotte polaire ou du permafrost.
Le monde a conclu l'actuelle convention des Nations unies sur le climat en 1992. Mais, pour l'actualiser, la Chine estime que le président Barack Obama doit aller au-delà de sa proposition de réduire d'ici 2020 les émissions de GES de 17% de moins que leurs niveaux de 2005.
Washington rétorque que la Chine doit, elle, durcir son plan "volontaire" de réduction d'émissions de carbone de 40% à 45% d'ici à 2020, par rapport à 2005.
Ce bras de fer éclipse les autres sujets de tension entre pays riches et pauvres.
Pour Alden Meyer, de l'"Union des savants concernés", le monde a sous-estimé les obstacles aux Etats-Unis, où Barack Obama risque de perdre en 2012 sa majorité démocrate au Sénat, même s'il est réélu. Pour ratifier un traité international, il faut le vote de 67 sénateurs sur 100.
"C'est probable que ce sera plus dur encore après 2012."
LES GES À UN NIVEAU SANS PRÉCÉDENT
Tous les pays industriels, sauf les Etats-Unis, soutiennent le Protocole de Kyoto, qui prévoit de réduire avant 2008-12 de 5,2% les niveaux d'émission de CO2 par rappport à 1990.
Avant l'échéance de la fin 2012, ils devront décider quelle suite à donner au Protocole.
Beaucoup d'espoirs reposent maintenant sur un accord au Sommet de la Terre prévu à Rio de Janeiro en 2012.
Soulignant l'urgence d'une action résolue, l'Organisation météorologique mondiale a annoncé mercredi que les concentrations des principaux GES dans l'atmosphère ont atteint leur niveau le plus élevé depuis l'aube de l'ère industrielle.
Les concentrations de dioxyde de carbone (CO2), de méthane et de protoxyde d'azote (N2O) ont continué d'augmenter en 2009 - dernière année d'observation prise en compte - malgré la crise économique mondiale, a souligné l'OMM, qui dépend de l'Onu, dans son dernier bulletin sur les GES.
L'augmentation des quantités de GES dans l'atmosphère y provoque une hausse des radiations, ce qui réchauffe la surface de la Terre et provoque des changements climatiques.
Il faudra un siècle environ pour que le CO2 disparaisse de l'atmosphère en cas d'arrêt total des émissions de GES.
Avec Laura MacInnis à Genève et Gerard Wynn à Londres, Eric Faye, Jean-Loup Fiévet et Marc Delteil pour le service français, édité par Gilles Trequesser
http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/bras-de-fer-sino-americain-previsible-a-cancun-sur-le-climat-27-11-2010-1267689_240.php
Madagascar : début des essais techniques dans la centrale électrique du projet Ambatovy
AFRISCOOP
Les essais techniques dans la centrale électrique du projet Ambatovy de production de nickel et de cobalt, dans son usine à Toamasina à l'est de Madagascar, commenceront dans quelques jours, selon communiqué rendu public vendredi par le projet.
Les essais techniques concernent les trois chaudières de l'usine par le nettoyage des conduites par l'évacuation de vapeur à haute pression dans le circuit de tuyauterie à travers un silencieux.
La mise en service de l'usine de calcaire, les usines de séparation d'air et d'hydrogène, les systèmes de chargement et de déchargement par trains et autorails ainsi que l'installation de stockage d'ammonium est également inclus dans les essais.
Le responsable de communication du projet a annoncé que ces essais techniques "ne présentent aucun danger aussi bien pour les employés d'Ambatovy que pour la communauté et qui respectent les normes internationales établies ainsi que les bonnes pratiques en la matière".
Avant ces essais, des séances d'information seront dans le programme du projet afin d'expliquer aux publics et riverains l'importance et la portée de chaque essai technique et faire dissiper les éventuels soucis.
Notons que la phase de construction du projet Ambatovy est à 80%. Une fois les travaux de constr
uction finis, l'on procède à la phase des essais techniques et la phase d'exploitation du nickel et du cobalt peut commencer vers le début de l'année 2011. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve5327
Les essais techniques concernent les trois chaudières de l'usine par le nettoyage des conduites par l'évacuation de vapeur à haute pression dans le circuit de tuyauterie à travers un silencieux.
La mise en service de l'usine de calcaire, les usines de séparation d'air et d'hydrogène, les systèmes de chargement et de déchargement par trains et autorails ainsi que l'installation de stockage d'ammonium est également inclus dans les essais.
Le responsable de communication du projet a annoncé que ces essais techniques "ne présentent aucun danger aussi bien pour les employés d'Ambatovy que pour la communauté et qui respectent les normes internationales établies ainsi que les bonnes pratiques en la matière".
Avant ces essais, des séances d'information seront dans le programme du projet afin d'expliquer aux publics et riverains l'importance et la portée de chaque essai technique et faire dissiper les éventuels soucis.
Notons que la phase de construction du projet Ambatovy est à 80%. Une fois les travaux de constr
uction finis, l'on procède à la phase des essais techniques et la phase d'exploitation du nickel et du cobalt peut commencer vers le début de l'année 2011. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve5327
mercredi 24 novembre 2010
Malaisie : Total acquiert une participation dans un permis d'exploration en eaux profondes
LCI
Total (Paris:FP) (LSE:TTA) (NYSE:TOT) annonce la signature d'un accord avec la compagnie nationale Petronas pour l'acquisition d'une participation de 85% dans le permis SK317B, au large des côtes malaises. Selon les termes de cet accord, Total opère le permis aux côtés de son partenaire Petronas Carigali, qui détient les 15% restants.
Situé à environ 100 kilomètres des côtes de Sarawak, le bloc SK317B s'étend sur plus de 700 kilomètres carrés, par des profondeurs d'eau de 200 à 1 000 mètres. Le programme de travail durant la période d'exploration prévoit une campagne d'acquisition de données sismiques et des opérations de forage par grande profondeur d'eau, un domaine dans lequel Total dispose d'une expertise reconnue.
Suite à cette signature, Jean-Marie Guillermou, directeur Asie-Pacifique à Total Exploration & Production a déclaré : « Cette acquisition illustre la volonté de Total d'étendre son domaine minier dans de nouvelles zones ou sur de nouvelles thématiques tout en développant ses partenariats avec les compagnies nationales comme Petronas ».
Total E&P Malaisie
Total est présent en Malaisie au travers d'une participation, acquise en 2008, de 70% dans un contrat de partage de production qui couvre les permis PM303 et PM324, situés au large de la péninsulemalaise, en partenariat avec Petronas Carigali (30%). Opérateur sur ces deux permis, Total a déjà mené une campagne d'acquisition de données sismiques en 2009 et débutera en 2011 une campagne de forage d'exploration dans des conditions de haute pression et haute température (HP/HT).
Total Exploration & Production en Asie - Pacifique
Avec 250 000 barils équivalents pétrole par jour, la région Asie - Pacifique a représenté 11% de la production totale et plus de 50% de la production de Gaz Naturel Liquéfié (GNL) du Groupe en 2009. Le Groupe est fortement implanté en Indonésie, où il opère le bloc de la Mahakam depuis 1970, et où il est l'un des premiers producteurs de gaz naturel du pays. Total produit également du gaz en Thaïlande, au Myanmar et dans le Sultanat de Brunei.
En exploration, le Groupe a diversifié ses positions en prenant des participations en Australie, au Cambodge, en Malaisie et au Vietnam. En Australie, Total détient en outre une participation de 24% dans le projet GNL Ichthys, en partenariat avec Inpex, et vient d'acquérir une participation de 20% dans le projet GLNG aux côtés de Santos et Petronas. En Chine, le Groupe a signé un contrat avec China National Petroleum Corporation pour évaluer les ressources en gaz naturel du bloc Sulige Sud.
Total est l'un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Ses 96 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de cette industrie : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles et trading. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande énergétique mondiale, présente et future. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. www.total.com
http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW101119_00005590&numligne=0&date=101119
Total (Paris:FP) (LSE:TTA) (NYSE:TOT) annonce la signature d'un accord avec la compagnie nationale Petronas pour l'acquisition d'une participation de 85% dans le permis SK317B, au large des côtes malaises. Selon les termes de cet accord, Total opère le permis aux côtés de son partenaire Petronas Carigali, qui détient les 15% restants.
Situé à environ 100 kilomètres des côtes de Sarawak, le bloc SK317B s'étend sur plus de 700 kilomètres carrés, par des profondeurs d'eau de 200 à 1 000 mètres. Le programme de travail durant la période d'exploration prévoit une campagne d'acquisition de données sismiques et des opérations de forage par grande profondeur d'eau, un domaine dans lequel Total dispose d'une expertise reconnue.
Suite à cette signature, Jean-Marie Guillermou, directeur Asie-Pacifique à Total Exploration & Production a déclaré : « Cette acquisition illustre la volonté de Total d'étendre son domaine minier dans de nouvelles zones ou sur de nouvelles thématiques tout en développant ses partenariats avec les compagnies nationales comme Petronas ».
Total E&P Malaisie
Total est présent en Malaisie au travers d'une participation, acquise en 2008, de 70% dans un contrat de partage de production qui couvre les permis PM303 et PM324, situés au large de la péninsulemalaise, en partenariat avec Petronas Carigali (30%). Opérateur sur ces deux permis, Total a déjà mené une campagne d'acquisition de données sismiques en 2009 et débutera en 2011 une campagne de forage d'exploration dans des conditions de haute pression et haute température (HP/HT).
Total Exploration & Production en Asie - Pacifique
Avec 250 000 barils équivalents pétrole par jour, la région Asie - Pacifique a représenté 11% de la production totale et plus de 50% de la production de Gaz Naturel Liquéfié (GNL) du Groupe en 2009. Le Groupe est fortement implanté en Indonésie, où il opère le bloc de la Mahakam depuis 1970, et où il est l'un des premiers producteurs de gaz naturel du pays. Total produit également du gaz en Thaïlande, au Myanmar et dans le Sultanat de Brunei.
En exploration, le Groupe a diversifié ses positions en prenant des participations en Australie, au Cambodge, en Malaisie et au Vietnam. En Australie, Total détient en outre une participation de 24% dans le projet GNL Ichthys, en partenariat avec Inpex, et vient d'acquérir une participation de 20% dans le projet GLNG aux côtés de Santos et Petronas. En Chine, le Groupe a signé un contrat avec China National Petroleum Corporation pour évaluer les ressources en gaz naturel du bloc Sulige Sud.
Total est l'un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Ses 96 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de cette industrie : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles et trading. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande énergétique mondiale, présente et future. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. www.total.com
http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW101119_00005590&numligne=0&date=101119
mardi 23 novembre 2010
Organisation du 4ème Salon des énergies renouvelables et de l’environnement en Afrique, en avril 2011 à Dakar
AFRIQUE AVENIR
APA-Dakar(Sénégal) La 4ème édition du Salon international des énergies renouvelables et de l'environnement en Afrique, organisé par Expo carrefour Afrique (Excaf), se tiendra du 27 au 30 avril 2011 à Dakar, a appris APA auprès de l'organisateur.
« Le Salon sera un cadre africain de promotion des nouvelles technologies dans les différentes filières des énergies renouvelables et de l'environnement », avance Ibrahima DIAGNE, président directeur général d'Excaf.
Il ajoute que le salon qui aura lieu au parc des Expositions du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES) comprend trois volets.
Le premier est une exposition internationale ouverte aux entreprises, aux organisations internationales, aux organismes et structures de recherche et d'études, provenant d'horizons divers et évoluant dans les différentes filières.
Le 2ème volet est un colloque international dont les thèmes seront axés sur les préoccupations majeures des pays africains face à la situation énergétique et à la problématique environnementale actuelles et sur les solutions alternatives adaptées au contexte africain.
Le dernier volet sera constitué de rencontres de partenariat dont l'objectif principal est de promouvoir les investissements dans les filières des énergies renouvelables et les différents secteurs de l'environnement en Afrique.
« Lors de la précédente édition, la diversité des exposants provenant de différents pays et des organisations internationales (ONUDI - FABER - CDE) ont offert aux professionnels et visiteurs les résultats de leurs recherches et expériences sur les énergies renouvelables et l'environnement » rappelle M. Diagne.
C'est fort de ce résultat, poursuit-il que « nous nous proposons de poursuivre nos efforts de promotion et d'appui des dits secteurs par la programmation de la 4ème édition ».
MS/moma/APA
17-11-2010
http://www.afriqueavenir.org/2010/11/17/organisation-du-4eme-salon-des-energies-renouvelables-et-de-l%E2%80%99environnement-en-afrique-en-avril-2011-a-dakar-2/
APA-Dakar(Sénégal) La 4ème édition du Salon international des énergies renouvelables et de l'environnement en Afrique, organisé par Expo carrefour Afrique (Excaf), se tiendra du 27 au 30 avril 2011 à Dakar, a appris APA auprès de l'organisateur.
« Le Salon sera un cadre africain de promotion des nouvelles technologies dans les différentes filières des énergies renouvelables et de l'environnement », avance Ibrahima DIAGNE, président directeur général d'Excaf.
Il ajoute que le salon qui aura lieu au parc des Expositions du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES) comprend trois volets.
Le premier est une exposition internationale ouverte aux entreprises, aux organisations internationales, aux organismes et structures de recherche et d'études, provenant d'horizons divers et évoluant dans les différentes filières.
Le 2ème volet est un colloque international dont les thèmes seront axés sur les préoccupations majeures des pays africains face à la situation énergétique et à la problématique environnementale actuelles et sur les solutions alternatives adaptées au contexte africain.
Le dernier volet sera constitué de rencontres de partenariat dont l'objectif principal est de promouvoir les investissements dans les filières des énergies renouvelables et les différents secteurs de l'environnement en Afrique.
« Lors de la précédente édition, la diversité des exposants provenant de différents pays et des organisations internationales (ONUDI - FABER - CDE) ont offert aux professionnels et visiteurs les résultats de leurs recherches et expériences sur les énergies renouvelables et l'environnement » rappelle M. Diagne.
C'est fort de ce résultat, poursuit-il que « nous nous proposons de poursuivre nos efforts de promotion et d'appui des dits secteurs par la programmation de la 4ème édition ».
MS/moma/APA
17-11-2010
http://www.afriqueavenir.org/2010/11/17/organisation-du-4eme-salon-des-energies-renouvelables-et-de-l%E2%80%99environnement-en-afrique-en-avril-2011-a-dakar-2/
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